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Page créée en nov. 2013
«L'Annonciation» de Joseph Montesanto, 1760, détail

Les textes les plus anciens dont on dispose (Xe siècle) font référence à l'église Saint-Maurice à Gray-la-Ville. Au XIe siècle, on mentionne le château, situé sur le promontoire de l'actuelle ville de Gray. Peu à peu, une bourgade s'établit autour, au bord de la Saône. Au XIIe siècle, un lieu de culte est construit, regardé, jusqu'aux années 1500, comme une fille de l'église de Gray-la-Ville. Cette église fut entièrement ravagée par les troupes de Louis XI en 1477 et 1479.
L'église actuelle a été mise en chantier en 1478, en commençant par le chœur. Les sources donnent Mathieu Legrand comme architecte, puis, pour la construction de la nef, de Philippe Lenfant. Celle-ci est voûtée en 1527 avec force liernes et tiercerons. En 1532, c'est le portail occidental qui est achevé. Puis le clocher et sa flèche en 1559. Enfin, en 1571, la tour d'escalier du transept sud. Au XIXe siècle, des tribunes seront ajoutées dans le transept. En juin 1940, l'église fut sévèrement touchée par les combats. Le clocher perdit sa toiture, refaite en 1950 avec des tavaillons en châtaigner.
L'église de Gray est rendue célèbre dans la région par la présence en ses murs d'une statuette «miraculeuse» de Notre-Dame, datée du début du XVIIe siècle. Elle l'est aussi par celle du cœur de saint Pierre Fourier, supérieur des chanoines réguliers de Saint-Augustin en 1632 et exilé à Gray par Richelieu en 1636. Cette double présence valut à l'église Notre-Dame d'être érigée en basilique par le pape Pie XII en juillet 1948.
Sur le plan artistique, on notera la présence dans l'abside d'un Arbre de Jessé sculpté dans le tympan du vitrail axial. Par sa hauteur, 11 mètres, cet Arbre est unique en Europe. Enfin, signalons que le très beau retable du XVIIe siècle en bois doré de l'église Saint-Maurice à Gray-la-Ville se trouvait dans le chœur de la basilique jusqu'en 1973.

Statue de saint Pierre Fourier (absidiole sud)
Vue d'ensemble de l'église Notre-Dame à Gray : une nef et  deux bas-côtés enrichis de chapelles latérales
Vue d'ensemble de l'église Notre-Dame à Gray : une nef et deux bas-côtés enrichis de chapelles latérales.
Une restauration de fond a été menée en 1994-1996. L'église a été fermée pendant deux ans.
La façade et le clocher de la basilique
La façade et le clocher de la basilique.
La façade à trois portails et parvis couvert a été achevée en 1863.
Le chevet de la basilique est la partie la plus ancienne
Le chevet de la basilique est la partie la plus ancienne
(fin du XVe siècle). On remarque, à gauche, un imposant
contrefort qui enjambe la rue.
Le clocher et ses lanternons
Le clocher et ses lanternons. Les lattes de châtaigner le font briller en noir et
argent sous le soleil.
Statues du portail central (XVIe siècle)
Le portail central est riche de six statues dues au ciseau du sculpteur Grandgirard (vers 1863).
On peut voir ainsi : saint Fiacre, saint Eloi, saint Ferréol, saint Ferjeux, saint Vincent de Paul et saint
François-Xavier. Les consoles qui les soutiennent datent du milieu du XVIe siècle.
Le fronton du portail central
Le fronton du portail central (années 1860).
Le portail sud et sa statue de saint Pierre Fourier dans le trumeau
Le portail sud et sa statue de saint Pierre Fourier dans le trumeau.
Le transept sud et sa tour d'escalier achevée en 1571.
Le transept sud et sa tour d'escalier achevée en 1571.
On peut voir un cadran solaire dans les parties hautes de la tour.

Le narthex, avec ses portails et ses statues, a été dessiné par l'architecte Victor Baille dans les années 1840. Il en a déterminé lui-même l'iconographie.

Statue indéterminée
.Statue de la Vierge sur le pignon ouest.
Œuvre de Constant Grandgirard (vers 1860)
La nef et l'élévation du côté sud
La nef et l'élévation du côté sud.
Le Christ en croix de la nef est daté du XVe siècle
Le Christ en croix de la nef est daté du XVe siècle.
«Jeanne d'Arc et ses voix», 1895, dans une chapelle latérale nord
«Jeanne d'Arc et ses voix», 1895, dans une chapelle latérale nord.
Vitrail de la maison Maréchal et Champigneulle de Metz.

Les vitraux de l'église. En 1660, lors des combats pour la prise de Gray par les troupes de Louis XIV, toutes les fenêtres de l'église perdirent leur remplage, à l'exception de la baie axiale constituée par un Arbre de Jessé. Les vitraux actuels datent de la campagne de réfection qui eut lieu en 1848. La plupart sont des vitraux figuratifs. Le seul vitrail d'origine, situé dans la chapelle de Vandenesse (absidiole sud) représente les armes des seigneurs de Vandenesse.

Original bénitier creusé dans la pierre
Original bénitier creusé dans la pierre
d'un pilier de l'avant-nef.
Statue de saint Roch avec un ange et un chien
Statue de saint Roch avec un ange et un chien.
Groupe sculpté polychrome daté de 1587.
Le visage du Christ en croix
Le visage du Christ en croix
(XVe siècle)
«LE CHRIST AU TOMBEAU» DE LULIER (XVIe SIÈCLE)
Figures sur le retable du XIXe siècle
Figures sur le retable du XIXe siècle.
«Le Christ au tombeau» dans une chapelle latérale nord
«Le Christ au tombeau» dans une chapelle latérale nord.
Œuvre attribuée à Claude Arnoux dit Lulier (vers 1553), albâtre.
Le retable date du XIXe siècle.
«Le Christ au tombeau» : le visage du Christ mort et l'ange
«Le Christ au tombeau» : le visage du Christ mort et l'ange.
«Le Christ au tombeau» : l'ange aux pieds du Christ mort
«Le Christ au tombeau» : l'ange aux pieds du Christ mort.
LA CHAIRE À PRÊCHER DE 1612
La chaire à prêcher de Martin Chaumont date de 1612
La chaire à prêcher de Martin Chaumont date de 1612.
La cuve de la chaire à prêcher (1612)
La cuve de la chaire à prêcher (1612).
Les statuettes sont du XVIIIe siècle.
Inscription sur le premier pilier sud de la nef
Inscription sur le premier pilier sud de la nef.
Elle relate le début du chantier pour la construction de la croisée (juillet 1509).
«Jeanne d'Arc et ses voix», détail
«Jeanne d'Arc et ses voix», détail.
Vitrail de la maison Maréchal et Champigneulle de Metz.

La chaire à prêcher de 1612 est signée Martin Chaumont. Il en reste la partie la plus importante : la cuve et le culot (quoique les statuettes de la cuve soient du XVIIIe siècle). L'escalier n'est plus celui d'origine. Il a été remplacé en 1766 par J.F. Georgeon qui est aussi l'auteur de la ferronnerie. Enfin, l'abat-son date aussi du XVIIIe siècle.

Le culot de la chaire à prêcher de style Renaissance (Martin Chaumont, 1612)
Le culot de la chaire à prêcher de style Renaissance (Martin Chaumont, 1612).
L'ange au-dessus de l'abat-son de la chaire
L'ange au-dessus de l'abat-son de la chaire
à prêcher, XVIIIe siècle.
Chapelle latérale nord Saint–Nicolas
Chapelle latérale nord Saint-Nicolas.

La photo ci-dessus donne une idée de la disposition d'ensemble des six chapelles latérales. Assez larges, elles possèdent deux vitraux à figures géométriques (à l'exception de la première chapelle latérale nord qui possède le vitrail historié de Jeanne d'Arc). À l'extrémité est, on trouve un retable et un tableau ; à l'extrémité ouest, un confessionnal (souvent au fronton sculpté). Enfin, au centre, une statue.

Confessionnal avec un beau fronton sculpté, XIXe siècle
Confessionnal avec un beau fronton sculpté, XIXe siècle.
Confessionnal, XIXe siècle
Confessionnal, XIXe siècle.
À DROITE ---»»»
On retrouve la disposition générale des chapelles latérales.
Bas–relief relatant l'apparition du Sacré Cœur à Marguerite–Marie Alacoque
Bas-relief relatant l'apparition du Sacré Cœur à Marguerite-Marie Alacoque
à Paray-le-Monial, œuvre de Constant Grandgirard, 1878.
Chapelle latérale sud dite du Sacré Cœur.
Chapelle latérale nord Sainte–Thérèse
Chapelle latérale nord Sainte-Thérèse.
Vitrail à figures géométriques, XIXe siècle
Vitrail à figures géométriques, XIXe siècle.
Le remplage supérieur est occupé par
la scène de l'Apparition du Christ à
Marguerite-Marie Alacoque.
Inscription du début du XVIe siècle
Inscription du début du XVIe siècle
gravée sur un pilier de la nef.

Traduction du texte sur le pilier :
«L'an 1517 le 8 juillet fut fondée cette chapelle pour noble homme maître Jean Boutechoux secrétaire de l'empereur pour la première pierre posée par Hugues et Claude ses fils»

Vitrail à figures géométriques, XIXe siècle
Vitrail à figures géométriques, XIXe siècle.
«La Vierge remettant le collier à sainte Thérèse d'Avila»
«La Vierge remettant le collier à sainte Thérèse d'Avila».
Tableau attribué à Ludovico Mazzanti, 1ère moitié du XVIIIe siècle.
Confessionnal XIXe siècle
Confessionnal XIXe siècle.
Le fronton représente la scène du retour du fils prodigue.
«Saint Nicolas protégeant la Saône et la ville de Gray»
«Saint Nicolas protégeant la Saône et la ville de Gray», tableau attribué
à Charles Couche, 1820 (chapelle latérale nord Saint-Nicolas).
Le bas–côté nord avec la chaire à prêcher
Le bas-côté nord avec la chaire à prêcher. À gauche, la chapelle Notre-Dame de Gray.
Peinture murale du XVIe siècle sur un pilier de la nef
Peinture murale du XVIe siècle sur un pilier de la nef.
Sainte Reine et sainte Cyre tiennent des phylactères où leur nom est inscrit.
«L'Immaculée Conception», détail
«L'Immaculée Conception», détail.
Tableau de Jean Devosge.
Vierge à l'Enfant, statue en bois
Vierge à l'Enfant, statue en bois.
XIXe ou XXe siècle.
Sculpture d'une sainte ou d'une reine avec trois pains dans un pilier nord de la nef
Sculpture de sainte Élisabeth de Hongrie dans un
pilier nord de la nef (début du XXe siècle).
«Descente de croix», tableau daté de 1635
«Descente de croix», tableau daté de 1635 et
attribué à Horace Leblanc, peintre lyonnais.
Le tableau montre à droite saint François, saint patron de l'Ordre
des Capucins et, à gauche, saint Jean-Baptiste.
Ce tableau a sans doute été exécuté
pour le couvent des Capucins de Gray.
«Vierge de pitié», tableau attribué à Jérôme Maublanc, XVIIe siècle
«Vierge de pitié», tableau attribué à Jérôme Maublanc, XVIIe siècle.
La Vierge de pitié dans le tableau de Jérôme Maublanc
La Vierge de pitié dans le tableau de Jérôme Maublanc ci-dessus.

«««--- Anne-Marie Debief, l'un des auteurs de la brochure sur l'église, citée en référence, nous signale aimablement que l’histoire de Gray - de manière assez surprenante - est liée à sainte Élisabeth de Hongrie. Une fresque la représente dans la chapelle de l’Hôtel-Dieu tandis qu'un reliquaire à son effigie se trouve parmi les objets conservés à la basilique.

Le bas–côté sud avec la chapelle latérale du Sacré Cœur à droite
Le bas-côté sud avec la chapelle latérale du Sacré Cœur à droite
et la chapelle absidiale Saint-Pierre-Fourier à gauche.
«Notre-Dame de Gray», vitrail de 1873
«Notre-Dame de Gray», vitrail de 1873.
Peintre verrier C. Levêque de Beauvais.
Il relate quelques miracles dus à Notre-Dame de Gray.
Croisillon nord du transept
Croisillon nord du transept.
Les tribunes du transept datent du XIXe siècle. La paroi est recouverte d'ex voto du XIXe et du XXe siècle en remerciement à N.-D. de Gray.
«L'Immaculée Conception»
«L'Immaculée Conception»
Tableau attribué à Jean Devosge, XVIIIe siècle.
(Copie d'un tableau de Pierre Cortone.)
LES CHAPELLES ABSIDIALES
La chapelle Notre-Dame de Gray dans l'absidiole nord
La chapelle Notre-Dame de Gray dans l'absidiole nord.

La chapelle Notre-Dame de Gray abrite la statuette miraculeuse du même nom, datée de 1613 et sculptée dans le chêne. L'histoire religieuse de la Haute-Saône lui attache quelques miracles. Autrefois exposée au couvent des Capucins de Gray, elle donna lieu à de nombreux pélerinages. Notre-Dame de Gray est une Vierge couronnée, ce qui n'est pas une fantaisie locale, mais un privilège accordé par le pape à la suite d'une étude en bonne et due forme. En effet, il faut la preuve de l'existence d'un culte ancien ainsi que la relation d'événements extraordinaires, jugés miraculeux, pour autoriser une couronne. La première demande fut faite par le curé de Gray en 1869. En vain. Le dossier dut être étoffé avec une compilation rigoureuse des témoignages des frères Capucins entre 1620 et 1789. L'autorisation papale fut finalement accordée en 1907.

La procession de 1851
La procession de 1851 en remerciement à la Vierge protectrice,
lors de l'épidémie de choléra de 1849.
Détail du vitrail «Notre-Dame de Gray» (daté de 1873).
La chapelle de Vandenesse (absidiole sud) abrite les fonts baptismaux du XIXe siècle.
La chapelle de Vandenesse (absidiole sud) abrite les fonts baptismaux du XIXe siècle.
«L'Annonciation» de Joseph Montesanto, 1760
«L'Annonciation» de Joseph Montesanto, 1760.
Cette toile a été ramenée de Rome par C. Natoire.

Pierre Fourier, né en 1565, est fils d'un marchand drapier. Il étudie six ans chez les Jésuites, puis rejoint les chanoines réguliers de Saint-Augustin. Il en devient le supérieur pour le duché de Lorraine en 1632. À trente ans, il est curé de Mattaincourt. L'Histoire a retenu sa grande piété et son dévouement pour les pauvres, ainsi que la création d'une caisse mutuelle pour éviter que ses paroissiens n'empruntent aux usuriers. Fidèle au duc de Lorraine (alors que Louis XIII essaie d'annexer la province), il est exilé par Richelieu à Gray (possession espagnole) en 1636. Là, pendant quatre ans (il meurt en 1640), il se dévoue pour ses paroissiens, relevant leur courage en temps de guerres ou de peste. Il est béatifié en 1730 et canonisé en 1897 par le pape Léon XIII.

Fonts baptismaux, XIXe siècle
Fonts baptismaux, XIXe siècle.
La statue de saint Pierre Fourier
La statue de saint Pierre Fourier
par Constant Grandgirard, 1898.
Chapelle Saint-Pierre-Fourier
Chapelle Saint-Pierre-Fourier
dans l'absidiole sud.
Chapelle de Saint–Pierre–Fourier et chapelle de Vandenesse
Chapelle de Pierre Fourier et chapelle de Vandenesse
Absidiole nord.
Piéta, XIXe siècle, auteur inconnu
Piéta, XIXe siècle, auteur inconnu.
Chapelle de Vandenesse.
Vitrail de Notre-Dame de Gray
Vitrail de Notre-Dame de Gray
Relation d'un miracle survenu en 1676.
«L'Annonciation» de Joseph Montesanto, 1760. Détail,  La Vierge
«L'Annonciation» de Joseph Montesanto, 1760. Détail, La Vierge.
Vitrail de Notre-Dame de Gray
Vitrail de Notre-Dame de Gray :
Relation d'un miracle.
Vitrail avec, dans la partie haute, les armoiries
Vitrail avec, dans la partie haute, les armoiries
de la famille de Vandenesse (XVIe siècle).
«L'Annonciation» de Joseph Montesanto, 1760. Détail,  l'archange Gabriel
«L'Annonciation» de Joseph Montesanto, 1760. Détail : l'archange Gabriel.
LE CHŒUR, LES STALLES ET L'ARBRE DE JESSÉ
Le chœur de la basilique Notre-Dame et ses vitraux XIXe siècle
Le chœur de la basilique Notre-Dame, ses vitraux XIXe siècle et son Arbre de Jessé.
Peinture murale Renaissance d'un ange avec traces de polychromie
Peinture murale Renaissance d'un ange avec traces de polychromie
au-dessus de la porte de la sacristie (restauré).
L'Immaculée Conception au milieu des rois de Juda
L'Arbre de Jessé en pierre
Le vitrail encadré par l'Arbre de Jessé
en pierre (XVIe siècle) relate des
épisodes de la vie de la Vierge.
La Présentation de la Vierge au temple dans l'Arbre de Jessé
La Présentation de la Vierge au temple dans l'Arbre de Jessé.
(Vitrail des épisodes de la vie de la Vierge, XIXe siècle.)

Le très original Arbre de Jessé de la basilique Notre-Dame s'étale sur une hauteur de 11,10 mètres, ce qui en fait le plus grand d'Europe. Les sources indiquent qu'il est certainement dû aux sculpteurs de Brou qui apportèrent leur concours lors de la construction de l'église (1ère moitié du XVIe siècle) et qui travaillèrent dans les deux Bourgogne (la Franche-Comté est aussi appelée comté de Bourgogne, par opposition au duché de Bourgogne qui désigne la Bourgogne actuelle).

Le maître-autel dans le chœur date de la fin du XXe siècle
Le maître-autel dans le chœur date de la fin du XXe siècle.
On remarquera Jessé couché au bas du vitrail axial et la porte de la sacristie d'époque Renaissance.
Les stalles sont du XVIe siècle. Elles ont été  restaurées en 1988.
Les stalles sont du XVIe siècle. Elles ont été restaurées en 1988.
«««--- À GAUCHE
Vitrail axial du chœur : L'Immaculée Conception adorée par deux anges (XIXe siècle)
au milieu des rois de Juda de l'Arbre de Jessé du XVIe siècle.
Le haut de l'Arbre de Jessé
Sculpture sur bois
Sculpture sur bois
d'une stalle (XVIe siècle).
Vitrail de la baie axiale : La Vision d'Isaïe
Vitrail de la baie axiale : la Vision d'Isaïe.
«««--- À GAUCHE
Le haut de l'Arbre de Jessé
(XVIe siècle) et le vitrail
du XIXe siècle.
L'Arbre de Jessé se termine,
au centre du tympan,
par Marie et l'Enfant.

À DROITE ---»»
Le bas de l'Arbre de Jessé
(sans Jessé couché).
Le vitrail du XIXe siècle relate
l'épisode de la vision d'Isaïe.
L'ORGUE DE TRIBUNE
L'orgue de tribune de la basilique Notre-Dame remonte à 1728.
L'orgue de tribune de la basilique Notre-Dame remonte à 1728.

L'orgue d'origine est dû au facteur Valentin (1728). Il a été amplement modifié depuis : transformé en 1758 par les facteurs Riepp de Dijon, restructuré par Callinet en 1834, remodifié par la maison Jacquot en 1869 et enfin par Cavaillé-Coll en 1927. Le buffet a été créé au XVIIIe siècle et restauré au XXe.

Angelots sur une tourelle du buffet
Angelots sur une tourelle du buffet.
Ange souffleur sur l'orgue
Ange souffleur sur l'orgue.
Pot à feu sur une tourelle
Pot à feu sur une tourelle.
Sculpture sur le positif dorsal de l'orgue de tribune (XVIIIe siècle)
Sculpture sur le positif dorsal de l'orgue de tribune (XVIIIe siècle).
Le rose au-dessus de l'orgue de tribune
Le rose au-dessus de l'orgue de tribune.
XIXe siècle.
La nef et l'orgue de tribune vus du chœur
La nef et l'orgue de tribune vus du chœur.

Documentation : Brochure «Basilique Notre-Dame de Gray» disponible dans l'église
+ renseignements aimablement communiqués par Anne-Marie Debief, l'un des auteurs de la brochure.
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