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Bien que ne possédant plus aucune
verrière Renaissance (voir plus
bas), l'église Saint-Vivien possède un cachet
artistique très séduisant, ainsi qu'une histoire architecturale
longue et passionnante. Au début du XIIIe siècle,
il y avait déjà à cet emplacement une petite
église gérée par les religieux de l'abbaye
Saint-Ouen. En 1230, un nouveau rempart vient englober le quartier
dans l'enceinte de la cité ; l'église devient paroissiale.
Au XIVe siècle, elle est entièrement rebâtie,
et consacrée en 1358. Mais elle reste de petite taille :
elle possède deux nefs en pierre, couvertes d'une voûte
en berceau de bois. Le clocher actuel est déjà présent.
Après la guerre de Cent Ans, à la faveur de la reprise
économique, l'église est allongée à
l'est tandis qu'une troisième nef est construite au sud.
Au XVIe siècle, on ajoute deux chapelles, toujours au sud.
Pour remplir ses caisses, la fabrique fait construire des maisons
de rapport le long des murs, assombrissant ainsi cruellement l'intérieur.
On décide donc de surélever le chur et la nef
centrale, surélévation qui reste en place jusqu'au
XIXe siècle.
Comme bien d'autres églises de Rouen, les Calvinistes dégradèrent
vilainement l'édifice en 1550. À la Révolution,
Saint-Vivien fut conservée dans la liste des églises
paroissiales, puis fermée sous la Terreur et transformée
en fabrique de salpêtre. Elle est rendue au culte en 1802
et redevient église paroissiale en 1829.
Saint-Vivien est l'une des églises de Rouen qui a été
le plus restaurée au XIXe siècle. En 1855, les voûtes
sont refaites et consolidées, le clocher est remanié
en 1861. Un incendie vient la frapper en 1935 : des boiseries, des
ornements et des livres saints disparaissent dans les flammes. La
toiture est alors refaite en béton.
Saint-Vivien est une très belle église halle : l'extérieur
allie des gothiques rayonnant et flamboyant très purs, et
son chur possède un magnifique retable dont l'Agonie
de Jésus de Millet-Desruisseaux (années 1690)
est la pièce maîtresse.
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Vue d'ensemble de la nef et du chur de l'église Saint-Vivien
à Rouen. |
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Le chevet et la chapelle du Sacré-Cur (XVIe siècle). |
Les
vitraux de Saint-Vivien sont pratiquement
tous du XIXe siècle. Pourtant, à la Renaissance,
on peut avancer sans crainte que l'église était
remplie de verrières contemporaines. On sait
beaucoup de choses sur les marchés passés
par la fabrique avec les peintres verriers rouennais
de la fin du XVIe à la fin du XVIIe siècle,
que ce soit pour la création ou l'entretien des
vitraux. Malheureusement, il n'en reste quasiment rien.
Les documents indiquent qu'il y avait un arbre de Jessé
et, dans la sacristie, un Ecce Homo. On sait
aussi que, en 1764, les verrières ont été
sérieusement endommagées par un violent
orage.
À l'heure actuelle, deux anciennes verrières
de l'église se trouvent dans les musées.
Le musée national du Moyen Âge, à
Paris, possède une lancette d'une adoration des
mages, datée aux alentours de 1475, tandis que
la chapelle du King's College à Cambridge
a acquis quatre autres fragments de ces fameuses verrières
Renaissance. Le reste des verrières a disparu.
Dans l'église elle-même, on ne peut voir
que «les débris du XVIe siècle réunis
en bordure de vitreries losangées du XXe siècle
[...] ou dans les écoinçons d'une baie
de la petite chapelle sud», lit-on dans le Corpus
Vitrearum consacré aux vitraux de Haute-Normandie.
Enfin, la voûte nord, refaite en plâtre
au XIXe siècle, cache d'autres fragments de bordure
et de soleils du XVe siècle réunis dans
une rose.
Au XIXe siècle, trois ateliers se sont partagé
les créations : deux rouennais, Gustave Moïse
et Jules Boulanger (1875 et 1893) et un parisien,
Laurent-Gsell. À part les traditionnels
vitraux à personnages, on trouve ainsi trois
grandes verrières dans la nef : au-dessus des
fonts, des scènes de la vie de saint Jean-Baptiste
par Boulanger (voir ci-dessous) ; dans la chapelle de
la Vierge, des scènes
de la vie de Jésus ; enfin, la grande fenêtre
du collatéral sud (partie droite sur la photo
de la façade occidentale au-dessus) reçoit
un très beau vitrail comportant quatre
scènes de la vie de saint Vivien. Cette verrière
de Saint-Vivien, créée au XIXe siècle,
a beaucoup souffert lors des bombardements de 1942.
Elle a été restaurée par l'atelier
Durand de 1984 à 1988.
Le vitrail à quatre lancettes des ateliers Boulanger
portant sur la vie de saint Jean-Baptiste possède
une caractéristique notable : les deux lancettes
latérales sont les copies exactes de deux tableaux
de la vie du saint donnés par un paroissien,
Auguste Dutuit. À la fin du XIXe siècle,
cet homme généreux, bienfaiteur de l'église,
participa par ses dons à la restauration de l'édifice
et à la création de vitraux. Le premier
couple tableau-vitrail est donné à gauche
; le second plus
bas.
Source : Les vitraux de Haute-Normandie,
Corpus Vitrearum.
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Scènes de la vie de Jean-Baptiste : Le baptême
de Jésus (lancettes 2 et 3).
Atelier rouennais de Jules Boulanger, 1893. |
Aigle et taureau des évangélistes Jean et Luc.
Détail du tympan du vitrail de la vie de saint Vivien. |
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Le collatéral nord (ou nef nord) et les fonts baptismaux.
Dans le fenestrage : la vie de saint Jean-Baptiste par Jules
Boulanger, 1893 . |
Les fonts baptismaux du XVIIIe siècle dans la nord. |
Ornement médiéval à la jonction du
faux entrait et du poinçon dans la voûte
de la nef nord.
Ci-dessus : deux anges tiennent un écusson dédié
au Sacré-Cur.
Ci-dessous : cinq anges présentent la Bible. |
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Le Bon Pasteur sur le couvercle
des fonts baptismaux. |
Le baptême de Jésus
Vitrail de la vie de saint Jean-Baptiste
par Jules Boulanger, 1893.
Avec le Martyre
de Jean-Baptiste, ce
vitrail est la copie exacte d'un tableau
anonyme offert à l'église à la fin
du
XIXe siècle. Cliquez ici
pour le voir. |
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La nef centrale vue de la nef nord. Au premier plan, la chaire à
prêcher de 1734. |
La chaire à prêcher
de Monard et de Claude Le Prince, 1734. |
L'Adoration des mages, tableau anonyme du XVIIIe siècle. |
Panneau central de la chaire à prêcher : «Jésus
parmi les Docteurs».
Ce panneau vient de l'église Saint-Michel. Il a été
transféré en 1791. |
LES DEUX COLLATÉRAUX
NORD |
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Saint Vivien.
Vitrail de la fin du XIXe siècle. |
La nef nord du XIVe siècle (à l'arrière-plan)
se scinde en deux collatéraux (au premier plan).
Ces deux collatéraux sont séparés par trois piliers
massifs. La partie qui va du grand tableau jusqu'au bord droit de
la photo a été ajoutée au XVe siècle. |
Selon les sources, ce tableau est soit «une Pentecôte»,
soit «une Dormition».
Il est attribué à La Champagne La Faye, artiste
de l'école de peinture de Caen, XVIIe siècle. |
Saint Vivien.
Vitrail du XIXe siècle, détail. |
Les deux collatéraux nord de Saint-Vivien. |
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Chemin de croix, station VI.
Véronique essuie la face de Jésus. |
Saint Jean-Baptiste prêchant.
Tableau anonyme reproduit par Jules Boulanger dans
une lancette de la verrière des fonts baptismaux.
Cliquer ici
pour voir la copie du tableau en vitrail. |
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La nef
nord de Saint-Vivien est une partie architecturale
très intéressante. Sur la photo ci-dessus, le
premier plan date du XIVe siècle (l'église a
été consacrée en 1358). La première
travée, une fois franchi le découpage en deux
collatéraux, est aussi du XIVe siècle. On voit
très bien, sur la gauche, la trappe permettant de faire
passer les cordes pour actionner les cloches. Le clocher du
XIVe, toujours en place, est donc juste au-dessus. Toute la
partie qui suit, jusqu'aux chapelles du chevet, a été
construite au XVe siècle, en tirant profit de la reprise
économique qu'a connue la France à la fin de
la guerre de Cent Ans.
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Saint Jacques
Vitrail du XIXe siècle, détail |
Saint Paul
Vitrail du XIXe siècle. |
Deux clés de voûte du XVe siècle
dans le collatéral nord. |
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Les chapiteaux du XIVe siècle de Saint-Vivien sont à
thème floral.
Ici, les feuilles rappellent les motifs de l'achillée
millefeuille. |
L'autel Saint-Joseph sur le chevet du premier collatéral
nord. |
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La Visitation, tableau attribué à Jean Jouvenet
(XVIIe siècle). |
Chapiteau du XIVe siècle avec feuilles de chêne. |
Présentation de l'Enfant Jésus au temple.
Tableau attribué à La Champagne La Faye,
artiste de l'école de peinture de Caen, XVIIe siècle. |
«««--
À GAUCHE
Le second collatéral nord
La première travée, qui correspond au niveau
de la trappe du
clocher, date du XIVe siècle. Le reste est du XVe
siècle.
Au fond, l'autel de la Sainte-Croix. |
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De gauche à droite, les chapelles des collatéraux nord
: chapelle Sainte-Croix, XVIIe siècle et chapelle Saint-Joseph,
début du XVIIIe siècle. |
Saint-Joseph
dans l'autel du même nom. |
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La nef vue depuis la chapelle de la Vierge (collatéral sud).
Ce collatéral sud a été construit au XVe siècle,
après la guerre de Cent Ans. |
Scènes de la vie de saint Vivien.
Vitrail de l'atelier Jules Boulanger, 1893. |
Le
vitrail de la vie de saint Vivien. Quelques-unes
des quatre scènes de cette grande verrière
sont données en gros plan ci-après. On
possède peu d'information sur la vie de saint
Vivien. On sait qu'il était évêque
de la ville de Saintes (vers la fin du IVe du siècle
et le début du Ve) et qu'il a défendu
les habitants contre les envahisseurs, ainsi que - paraît-il
- contre le montant des impôts exigés par
leur roi Théodoric.
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Chemin de croix, station IX.
Jésus tombe pour la troisième fois. |
Piéta en pierre sculptée.
1493. |
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En haut et en bas : deux croix de consécration
dans le collatéral sud. |
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Le collatéral
sud, construit au XVe siècle est riche
d'ouvrages remarquables. On y trouve, sur un mur, quatre
curieuses croix de consécration (représentant
les évangélistes?), et une Piéta
du XVe siècle, très expressive (donnée
ci-contre).
Le collatéral est bordé par une petite
chapelle, voûtée en pierre dès l'origine,
et dédiée à saint Mathurin, le
patron des drapiers (Saint-Vivien est en effet au cur
du quartier des drapiers rouennais). Elle est aujourd'hui
dédiée à saint Vincent de Paul.
Une seconde chapelle, plus vaste, dédiée
au Sacré-Cur, à été
bâtie au XVIe siècle. Elle est due à
la générosité d'un bourgeois de
Rouen, Guillaume de Feugueray.
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Le collatéral sud avec le grand vitrail des scènes de
la vie de saint Vivien (fin du XIXe siècle). |
Piéta en pierre sculptée sous un dais.
1493. |
Vitrail de la vie de saint Vivien, détail.
Atelier rouennais de Jules Boulanger, 1893 .
Saint Vivien comparaît-il devant le roi Théodoric? Quoi
qu'il en soit, le peintre verrier s'est laissé aller à
quelques fantaisies. Ainsi, le roi porte un étrange costume
digne des rois capétiens, tandis qu'un aide royal, sur sa droite,
est revêtu d'une tunique qui rappelle les pages d'Édouard
III d'Angleterre ! |
Statue de sainte Madeleine
dans le chevet sud. |
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Vitrail de la vie de saint Vivien, détail.
Atelier Jules Boulanger, 1893. |
L'autel de la Vierge sur le chevet du collatéral sud. |
Statue de la Vierge et l'Enfant, détail.
Autel de la Vierge. |
Statue de sainte Madeleine, détail. |
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Comment ne pas être sensible à la beauté dégagée
par cette rangée de piliers du XVe siècle,
légèrement teintés de crème et d'ocre
et enrichis de tableaux du chemin de croix ?
À n'en pas douter, un endroit où il fait bon penser
ou se recueillir. |
Vitrail de la vie de saint Vivien, détail.
Atelier Jules Boulanger, 1893. |
Scènes de la vie de Jésus.
La Nativité et la Présentation au Temple
Atelier rouennais de Gustave Moïse, 1875. |
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Scènes de la vie de Jésus : deux scènes
de la Passion.
Atelier rouennais de Gustave Moïse, 1875. |
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À GAUCHE
L'Assomption, tableau d'un peintre anonyme
XVIIIe siècle ? |
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Scènes de la vie de Jésus.
Vitrail de l'atelier rouennais de Gustave Moïse,
1875. |
Le pape ordonne un évêque.
Est-ce saint Vivien?
Atelier Laurent-Gsell ?
Ce vitrail de la fin du XIXe siècle
se situe dans la chapelle du Sacré-Cur. |
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LA POUTRE DE GLOIRE
DU XVIIIe SIÈCLE |
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La poutre de gloire du XVIIIe siècle est enrichie d'angelots.
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Le Christ de la poutre de gloire, XVIIIe siècle. |
La poutre
de gloire du XVIIIe siècle. Comme dans beaucoup
d'églises, l'ancien jubé de Saint-Vivien a été
détruit. Il le fut ici en 1761. Le jubé a été
remplacé par l'«Arcade du Crucifix»,
une sorte de poutre de gloire édifiée par le
sculpteur Cahaix et achevée en 1764. L'arc est orné
d'angelots polychromes. Le grand crucifix repose sur un globe
terrestre sur lequel s'enroule un serpent.
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LE CHUR
DE L'ÉGLISE SAINT-VIVIEN |
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L'Agonie de Jésus.
Groupe en marbre de Jacques Millet-Desruisseaux, années
1690. |
Statue de saint Romain
dans le chur.
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Statue de saint Pierre
dans le chur . |
L'Agonie de Jésus par Millet-Desruisseaux
Détail : l'ange tient le calice de la Foi. |
L'un des quatre anges soutenant la gloire
au-dessus de l'entablement du chur. |
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La Résurrection
École flamande ou allemande, XVIe siècle. |
Le chur de l'église.
La chapelle de la Vierge est sur la droite. |
L'ORGUE DE TRIBUNE
DE L'ÉGLISE SAINT-VIVIEN |
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L'orgue de tribune. |
L'orgue
de Saint-Vivien et son buffet sont très
anciens. Au XVIe siècle, l'ensemble se trouvait
dans la nef nord. Le buffet en lui-même, daté
de 1556, a été attribué à
l'espagnol Pierre de Estrada. Les panneaux de bois qui
le recouvrent représentent des anges et des femmes
qui jouent d'un instrument. On est ici dans le style
«première Renaissance». En 1659,
orgue et buffet sont installés au-dessus du grand
portail.
Au niveau des capacités instrumentales, on ajouta,
vers 1710, un petit positif sur le devant de l'appareil
pour lui redonner un second souffle. L'orgue a été
restauré au milieu du XXe siècle.
Source : Rouen aux cent clochers,
éditions PTC.
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Panneaux sculptés Renaissance sur le buffet d'orgue. |
Ornementation et statues
sur le positif et l'orgue de tribune. |
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À GAUCHE
Panneaux sculptés Renaissance sur le buffet d'orgue |
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L'Annonciation
Vitrail du XIXe siècle. |
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La nef et l'orgue de tribune vus depuis le chur. |
Documentation : «Rouen au 100 clochers»
de François Lemoine et Jacques Tanguy, éditions PTC
+ Dictionnaire des églises de France aux éditions Robert
Laffont, 1968 + «Haute-Normandie gothique» d'Yves Bottineau-Fuchs
aux éditions Picard
+ «Églises de Rouen» d'Edgard Naillon, aux éditions
Defontaine, 1941 + «Les vitraux de Haute-Normandie», Corpus
Vitrearum |
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