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L'histoire commence au Ve siècle
lorsque l'ermite Ursus (Ours) fonde un monastère sur le promontoire
rocheux qui abrite la cité royale de Loches. En 965, Geoffroy
Grisonnelle, père de Foulques Nerra, fait construire la collégiale
Notre-Dame du Château pour abriter une relique : la ceinture
de la Vierge. Le monument actuel est l'uvre du prieur Thomas
Pactius. Il date principalement du XIIe siècle : on
consolida une nef charpentée construite au XIe siècle.
La Collégiale Saint-Ours est d'un très beau style
roman avec de nombreux chapiteaux ornés de motifs floraux,
d'animaux fantastiques et de personnages. Elle possède un
portail polychrome entièrement sculpté, mais très
mutilé. La Collégiale offre à la vue un profil
unique en France : les deux clochers à flèche
sont séparés par deux coupoles pyramidales à
huit pans (appelées localement «dubes»), reconstruites
à l'identique au XIXe siècle.
Avant la Révolution, l'édifice était dénommé
collégiale Notre-Dame. Il devint ensuite l'église
paroissiale Saint-Ours, qui était le vocable d'une église
détruite, située en contrebas. En 2005, le tombeau d'Agnès Sorel y a été replacé
conformément à la volonté de la Dame de Beauté.
Depuis la Révolution, les tribulations de ce tombeau furent
nombreuses. Prosper Mérimée, inspecteur général
des monuments historiques, en fait un rapport
à son ami Ludovic Vitet en juillet 1841.
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La nef romane du XIIe siècle de la collégiale Saint-Ours.
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Architecture
de la collégiale. L'ancienne nef charpentée
du XIe siècle a été reprise vers 1160-1170
à la fois à l'intérieur et à l'extérieur.
Les murs latéraux du XIe siècle ont été
renforcés par de solides contreforts extérieurs.
Tandis que, à l'intérieur, on les a épaissis
légèrement. Puis on a construit les six supports
(réunis deux par deux par des arcs brisés) où
sont venues reposer les parties basses des deux coupoles pyramidales
(appelées localement «dubes»).
Sur ces supports, on a accroché les pendentifs trapézoïdaux
qui permettent de
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passer du carré (des parties
hautes de la nef) à l'hexagone (des coupoles). Ces
parties trapézoïdales sont bien visibles sur la
photo ci-dessus.
Ce procédé de couverture d'une nef est unique.
Ces parties, reconstuites à l'identique au XIXe siècle,
sont similaires aux flèches des deux clochers, quoique
d'une élévation moindre.
À noter que les passages en plein cintre qui ouvrent
la nef vers les bas-côtés datent de 1855 (on
en voit trois sur la photo ci-dessus).
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La collégiale et son profil si particulier vue depuis le Logis
Royal.
La tête de chien au premier plan se trouve sur l'escalier nord
du Logis. Escalier construit au XIXe siècle.
«««--- À GAUCHE
La plus célèbre image de la collégiale : son
chevet roman vu depuis la route qui longe l'Indre |
Le portail de la façade et ses chapiteaux romans |
La façade et sa tour-porche datent
des XIe et XIIe siècles. |
La Collégiale Saint-Ours et son chevet offrent
de nuit un spectacle magnifique |
Détails d'un des clochers romans avec arcades, chapiteaux et
modillons |
Modillons romans sur une corniche du chevet |
Vue d'ensemble avec les bas-côtés et le chevet
En 1841, Mérimée se plaint qu'on ait eu «la sauvagerie
de couvrir en ardoise une moitié de ses jolies coupoles. L'autre
moitié est en pierre blanche et l'effet est celui d'un polichinelle
napolitain moitié blanc moitié gris» ! |
Le portail roman et ses chapiteaux
sur le côté nord |
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Porche roman du XIIe siècle dans le narthex
Les mutilations ont endommagé gravement une partie importante
de la sculpture.
La partie supérieure est sensée représenter la
Vierge en majesté, saint Joseph, les rois mages, etc. |
Voussures du portail du narthex (XIIe siècle)
Monstres et animaux fabuleux... |
Voussures du portail du narthex (XIIe siècle) |
Voussures du portail du narthex (XIIe siècle)
Un monstre fait le poirier en repliant les jambes.
On peut voir un thème semblable sur un chapiteau de la Collégiale
Saint-Denis à Amboise. |
Voussures du portail du narthex (XIIe siècle) |
Voussures du portail du narthex (XIIe siècle)
En 1997, un historien de l'art a identifié les sculptures de
la voussure extérieure à une allégorie des sept
arts libéraux. Ce sont des jeunes femmes qui accompagnent la
belle Phililogia lors de ses noces avec Mercure. |
Chapiteaux dans le narthex (XIIe siècle)
Ci-dessus et à droite ---»»» |
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La nef et l'élévation sud avec les quatre tableaux des
scènes de la Passion |
Chapelle des fonts baptismaux
Vitrail XIXe siècle des ateliers Lobin à Tours
«Le Baptême de Jésus» (partie centrale)
Cliquez sur le vitrail pour afficher
la totalité en gros plan
Aucun vitrail d'époque médiévale
n'a subsisté à Loches. |
Autel des morts avec sa magnifique sculpture
en néogothique flamboyant du XIXe siècle
(Bas-côté nord) |
Vitrail des ateliers Lobin à Tours
XIXe siècle
(Entrée de l'église) |
Quatre étapes de la Passion du Christ
Tableau : «Le Christ aux outrages» (XVIe ou XVIIe siècle)
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Quatre
étapes de la Passion du Christ. La nef de
la Collégiale Saint-Ours expose quatre intéressants
tableaux du XVIe ou du XVIIe siècle relatifs à
la Passion du Christ. On y découvre les costumes de
l'époque (avec les culottes à mi-jambes) et
surtout une perspective, qui est correctement rendue, avec
des vues urbaines au second plan. Trois tableaux sur les quatre
sont donnés dans cette page.
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Autel des morts
Détail de la sculpture néogothique : La Vierge et deux
anges |
Le trapèze d'une des deux «dubes»
qui recouvrent la nef |
Tableau «L'Assomption de la Vierge» de David Theniers
Le Jeune, 1663
(tableau classé au titre des Monuments Historiques)
Le vieillard au premier plan a été identifié
comme étant
le Grand Condé, alors âgé.
David Theniers fut le premier directeur de l'Académie
des Beaux-Arts d'Anvers. |
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Bas-côté sud de la Collégiale
Médaillon ancien «Le Calvaire» |
Bas-côté sud de la collégiale
Une baie avec deux médaillons |
Les
médaillons dans les vitraux. Le bas-côté
sud de la collégiale est percé de cinq
baies où figurent des médaillons qui paraissent
très anciens. Ils proviennent de l'ancienne église
Saint-Ours détruite en 1804. Placés dans
des chapelles de la collégiale - en même
temps que celle-ci recevait le vocable de «Saint-Ours»,
ils ont été remplacés par les vitraux
des ateliers Lobin à Tours au XIXe siècle.
Redécouverts au début du XXe, ils ont
subi une restauration avant d'être replacés
dans des vitraux neufs. Leur état actuel est
inquiétant. La qualité du dessin mériterait
une restauration plus poussée et une protection.
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Chapiteau roman à animaux fantastiques dans la nef (XIIe siècle)
À DROITE ---»»»
Bas-côté sud de la Collégiale
Médaillon ancien «Saint Gilles et le donateur»
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Tableau «Le Pamoison de la Vierge»
Bas-côté sud, auteur anonyme, XIXe siècle |
Chapiteau roman avec deux chiens entrelacés
À droite, Bas-côté sud de la Collégiale
---»»»
Médaillon ancien «La charité de saint Martin»
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Mérimée
et la Collégiale Saint-Ours. Le romancier
s'est grandement intéressé à Loches
où il est passé plusieurs fois : la collégiale
et le donjon avaient besoin de travaux. En 1845, la
Commission des Monuments historiques prend la décision
de réaliser un chaînage sur une des tours
qui est branlante. En 1847 aura lieu la réfection
du clocher et la restauration générale.
En 1850, Mérimée écrit : «L'église
Saint-Ours a été complètement réparée
quatre ans auparavant. À mon dernier voyage,
les travaux étaient terminés. l'église
paraissait en excellente situation».
Source : «La route de Mérimée
(correspondance & patrimoine)», Les Éditions
du Huitième jour.
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Tableau «L'Assomption de la Vierge» de Theniers le Jeune,
1663
Détail : La Vierge |
Quatre étapes de la Passion du Christ
Tableau : «Ecce homo»
(XVIe ou XVIIe siècle) |
«Notre Dame de la Délivrance»
Terre cuite, croisillon sud du transept
Les femmes allaient prier devant elle
le jour de leurs relevailles, d'où son nom.
(XVIIe siècle avec polychromie moderne) |
Chapelle Saint-Joseph dans le bas-côté nord (XIXe siècle)
Une des rares chapelles latérales de la Collégiale |
Tableau :«Marie-Madeleine»
Bas-côté sud, auteur anonyme, XIXe siècle |
Bas-côté sud de la Collégiale
Médaillon ancien «Saint Christophe et l'Enfant Jésus»
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Tableau : «Marie, l'Enfant Jésus et Jean-Baptiste»
(partie centrale)
Bas-côté sud, auteur anonyme, XIXe siècle |
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Vue d'ensemble du gisant d'Agnès Sorel |
Gisant d'Agnès Sorel
Le visage et les anges en gros plan |
Les tribulations
du gisant. Un panneau du Logis Royal nous apprend
qu'il a été restauré au XIXe siècle,
mais qu'il a depuis beaucoup souffert. Des goujons en fer
ont provoqué l'éclatement des parties restituées.
Une entreprise (en 1970) les remplaça par du cuivre.
Ce faisant, on a pu s'assurer que le gisant était bien
en albâtre et qu'une grande partie de la statue primitive
était d'origine, à part les mains et les bras
et, sur les angelots, une partie des ailes. Le panneau se
termine par un mot de l'historien local André Montoux
qui espère qu'un jour on replacera enfin le gisant
là où il doit être : dans la collégiale.
Ce qui a été fait en 2005.
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Gisant d'Agnès Sorel
«««--- À gauche, les béliers au pied
du gisant |
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En juillet
1841, Prosper Mérimée, inspecteur général
des Monuments historiques, est à Loches.
Il écrit à son ami Ludovic Vitet, président
de la Commission : «Vous savez que le tombeau d'Agnès
Sorel est à Loches. Il avait été placé
dans l'église Saint-Ours et peu après la mort
de la dame, les chanoines scandalisés demandèrent
à Louis XI la permission de l'enlever. Louis XI répondit
qu'il y consentait pourvu que MM les chanoines restituassent
les donations faites à l'église de Saint-Ours
par Agnès, sur quoi les chanoines se turent. Dans la
Révolution on s'est montré plus prude que feu
Louis XI, et l'on a transporté le tombeau un peu estropié
à la sous-préfecture, c.a.d. au château
de Loches. Les ossements furent dispersés et M. Denon,
conservateur, etc. cassa la tête avec sa botte et recueillit
les dents pour en faire cadeau à ses amis. Tant il
y a qu'aujourd'hui ce tombeau est dans une petite chambre
fort humide, dont les murs sont pourris de salpêtre.
Le crépissage tombe en grandes plaques, etc. etc. Le
curé de Saint-Ours, homme d'esprit, voudrait qu'on
remît
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Mademoiselle Agnès dans
son église. Le sous-préfet ne demanderait pas
mieux, malgré les profits que sa cuisinière
tire de cette exhibition. On espère avoir le consentement
de l'évêque ; mais il est à craindre que
les dames de Loches qui sont d'une vertu très farouche
ne jètent les hauts cris. C'est une affaire à
examiner. De toute façon, il faudra que nous donnions
quelque chose soit pour faire mettre en état décent
la petite chambre où est le tombeau, soit pour le faire
réinstaller à Saint-Ours. J'ai engagé
le sous-préfet à vous envoyer un devis et un
projet à cette occasion. L'autre jour vinrent deux
paysannes qui demandèrent à voir le tombeau.
Elles se mirent à genoux en criant. Ah! la jolie sainte,
disaient-elles. Fait-elle des miracles et de quoi guérit-elle?»
Source : «La naissance des
Monuments historiques, la correspondance de Prosper Mérimée
avec Ludovic Vitet (1840-1848)», Éditions
du Comité des travaux historiques et scientifiques,
Ministère de l'Éducation nationale.
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LE CHUR
ET LES ABSIDIOLES |
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Vue d'ensemble du chur de la Collégiale Saint-Ours |
Arc triomphal d'entrée de croisée
Chapiteau roman
Époque médiévale |
Vitrail de l'abside
La Vierge et l'Enfant (Lobin, XIXe siècle) |
Statue dans le chur
Saint Ours, XIXe siècle?
«««--- Cliquez sur le vitrail pour afficher
la partie supérieure en gros plan.
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Arc triomphal d'entrée de croisée.
Chapiteau roman
Époque médiévale |
Deux stalles dans le chur ornées de médaillons
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Le maître-autel et son retable doré
Il date vraisemblablement du XIXe siècle. |
Les chapiteaux
romans du chur et des absidioles. Pour les
spécialistes du roman, les traces de peinture rouge
que l'on trouve sur les chapiteaux du chur et des absidioles
sont la preuve qu'ils sont bien de la période médiévale.
Tous ceux de l'absidiole nord sont reconnus comme authentiques,
comme ceux des consoles des demi-colonnes que l'on voit dans
l'arc triomphal d'entrée de croisée. Cette sculpture
remarquable est à base de motif végétal
- leur auteur y a parfois ajouté des écailles
de monstres ou des plumages d'oiseaux.
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Le chur avec l'arc triomphal et, sur les consoles, ses sculptures
romanes authentiques
(celle de la demi-colonne gauche est visible sur l'image ci-dessus)
Sur la photo, la croisée «s'ouvre» sur l'absidiole
nord qui abrite la chapelle Notre-Dame de Beautertre. |
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Absidiole nord
Chapelle «Notre-Dame de Beautertre»
Ses chapiteaux romans sont considérés comme
authentiques par les spécialistes de l'art médiéval. |
Croisillon nord du transept
Tableau : «Un trait de la vie de saint Ours»
d'Ernestine Schwind, 1852
(Commande de l'État)
Le tableau illustre la lutte entre le pouvoir temporel et le
pouvoir spirituel.
On remarquera que le peintre a représenté saint
Ours la main droite et son index pointés vers le ciel,
et le goth Silarius la main droite dirigée vers le sol. |
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Statue en bois de «Notre-Dame de Beautertre» |
Notre-Dame
de Beautertre. Une histoire locale raconte
que, il y a 900 ans, un paysan vit l'un de ses bufs
lécher un grand coudrier et ne plus manger. Intrigué,
le pâtre découvre une statue de la sainte
Vierge sculptée dans l'épaisseur de l'arbre.
Il la découpe et la rapporte chez lui. La foule
se presse ; les prières adressées à
la statue sont la source de nombreux miracles. Une chapelle
est élevée, un prêtre est nommé.
Et les faveurs de la Vierge continuent. La Révolution
détruit le sanctuaire. La statue miraculeuse
trouve alors un asile dans la collégiale de Loches.
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Tableau : «Saint Pierre»
Absidiole sud, auteur anonyme, XIXe siècle |
Ernestine
Schwind : «Un trait de la vie de saint Ours»,
1852. Ce tableau illustre la dispute entre
saint Ours et le goth Silarius à propos d'un
moulin (histoire rapportée par Grégoire
de Tours). Saint Ours fonde son prieuré à
Loches (Ve siècle), puis fait construire un moulin
sur l'Indre. Mais le goth Silarius, qui a la garde du
château, le convoite. Saint Ours refuse de céder
son bien. Silarius fait alors construire un moulin en
amont avec une retenue d'eau suffisante pour entraver
la marche de celui de saint Ours. Le moine se mit en
prière... et le moulin de Silarius ne tarda pas
à s'écrouler!
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Chapelle de la Vierge
Vitrail des ateliers Lobin à Tours, daté de 1881
Ses médaillons illustrent l'histoire de Notre-Dame de
Beautertre.
Cliquez sur le vitrail pour l'afficher en gros plan. |
Chapiteau roman dans la Chapelle Notre-Dame de Beautertre
(XIIe siècle) |
Chapiteau roman dans le chur
(XIIe siècle) |
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Chapelle Notre-Dame de Beautertre
Vitrail des ateliers Lobin à Tours, XIXe siècle
Médaillon : La construction de la chapelle de Beautertre |
Quatre étapes de la Passion du Christ
Tableau : «Le procès de Jésus» (XVIe ou
XVIIe siècle) |
Statue
dans le chur
XIXe siècle? |
La nef de Saint-Ours vue du chur |
Le chur de Saint-Ours et l'élévation nord de la
nef |
Documentation : «Loches, Secrets de pierres»
d'Odile Ménard (ISBN 2-9523838-0-4) + Panneaux exposés
dans l'église
+ «La route de Mérimée (correspondance & patrimoine)»,
Les Éditions du Huitième jour (ISBN : 2-914-119-48-8) |
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