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Page créée en déc. 2013
Portrait de Charles-Eugène, duc de Wurtemberg (1728-1793)

Le musée du château des ducs de Würtemberg est un endroit presque refait à neuf ces derniers années. Vieille bâtisse multiséculaire, le château est passé par tous les aléas de l'Histoire, s'élargissant au cours des âges. L'arrivée de la poudre et des armes à feu, puis celle des canons modifient son aspect. Au début du XVe siècle, la tour Henriette est érigée ; à la fin du XVIe, c'est la tour Frédéric. En 1793, Montbéliard, terre en majorité protestante, est rattaché à la France. La même année, le château est pillé, affecté au Ministère de la Guerre, puis transformé en hôpital militaire. Délabré, il n'abrite aucune unité. Son aspect est à nouveau partiellement transformé tandis qu'éclot sa vocation culturelle et administrative.
Enfin, une restauration en bonne et due forme est entreprise entre 1978 et 2003 ; des fouilles archéologiques mettent à jour des vestiges de la période médiévale. Le musée du château offre aux visiteurs un panorama culturel sur plus de cinq siècles d'Histoire. Dans un cadre qui rappelle les célébrités qui y ont vécu (comme la future tsarine Maria Fedorovna), il expose des très beaux meubles en bois sculpté, des poêles en céramique, des tableaux et des souvenirs. Le château des ducs est un endroit instructif et divertissant, à ne pas manquer si vous passez à Montbéliard.

Sophie-Dorothée de Wurtemberg-Montbéliard, tsarine Maria Fedorovna
Salle Maria Fedorovna, impératrice de Russie (1759-1828)
Salle Maria Fedorovna, impératrice de Russie (1759-1828)
dans le bâtiment entre les deux tours
Vue traditionnelle du château des ducs de Würtemberg à Montbéliard
Vue traditionnelle du château des ducs de Würtemberg à Montbéliard
La porte d'entrée sur l'esplanade
La porte d'entrée sur l'esplanade

«««--- À GAUCHE
Tour Frédéric à gauche et
tour Henriette à droite
La tour Henriette et ses deux époques bien visibles
La tour Henriette et ses deux époques bien visibles

C'est la comtesse de Montbéliard, Henriette de Montfaucon, qui donna son nom à la tour. La partie inférieure, constituée de blocs de calcaire en saillie date de 1424. Elle est haute de 12 mètres, dont 9 sont visibles. Elle se terminait par une galerie de circulation sur hourds dont il reste une sorte de corniche en saillie (bien visible sur la photo de gauche). À la fin du XVIe siècle (et un écroulement très partiel du sommet de la tour), on ajouta deux étages : le Poêle d'audience et la grande bibliothèque. Les moellons calcaires avec lesquels ils sont bâtis sont recouverts d'un crépi.

La sculpture de l'ours dans la tour Henriette
La sculpture de l'ours dans la tour Henriette
Le fronton de la porte d'entrée avec les armoiries des ducs de Montbéliard
Le fronton de la porte d'entrée avec les armoiries des ducs de Montbéliard

Le premier comte de Montbéliard est Louis de Mousson, également comte de Bar en Lorraine (1ère moitié du XIe siècle). Vers le milieu du XIIe, Agnès de Mousson épouse Richard de Montfaucon. En 1397, lors des fiançailles d'Henriette de Montfaucon avec Eberhard de Würtemberg, les ramures de cerf, symbole des Würtemberg, sont ajoutées aux bars, symboles de la famille des Mousson.

La salle dite «Le château dans la ville»
La salle dite «Le château dans la ville»
Cheminée provenant de Neuchâtel–Uretière, XVIIe siècle
Cheminée provenant de Neuchâtel-Uretière, XVIIe siècle
Maquette du château au XVIIe siècle
Maquette du château au XVIIe siècle
Essai de reconstitution réalisé en 1826 par Frédéric Morel-Macler
Le grand fossé, couvert par un pont, que l'on voit dans la partie gauche, a été comblé en 1751.
Maquette du château en papier carton, vers 2000
Maquette du château en papier carton, vers 2000

Le château jusqu'à la Révolution. L'éperon rocheux où se situe le château est occupé depuis près de deux mille ans. Les fouilles semblent indiquer que, à l'époque gallo-romaine, s'y tenait une tour de guet, poste avancé de la cité d'Epamanduodurum, la plus importante de la région jusqu'au VIIIe siècle. Le château est mentionné pour la première fois dans une chronique de l'an 985 : il a été construit pour s'opposer aux invasions hongroises. Le «châtel-devant» est le premier construit. C'est la partie droite de la maquette ci-dessus. Il accueille d'abord la résidence comtale et l'église Saint-Maimbœuf. Au XIIe siècle, on commence à construire le «châtel-derrière» (partie gauche de la maquette et château actuel). La forteresse s'étend alors sur 290 mètres de long et sur une largeur qui varie de 23 à 60 mètres. Le châtel-devant et ses dépendances (écuries, granges, forges et arsenal) sert alors au casernement de la troupe, tandis que le châtel-derrière, pourvu d'appartements confortables, est la nouvelle résidence des comtes de Montbéliard. Un fossé avec pont-levis sépare les deux châteaux (visible sur la maquette ci-dessus).
Au début du XVe siècle, par le jeu des alliances politiques, le comté passe dans le domaine de la famille des ducs de Würtemberg. Le château s'adapte à l'évolution de l'armement. En 1424, Henriette de Montfaucon fait construire la tour Henriette, qui regarde vers la vieille ville. En 1508, le fort le Chat, situé juste en face du châtel-derrière, est aménagé pour la défense du site. (Le fort disparaîtra lors de la construction de la gare au XIXe siècle.) En 1594, on érige la tour Frédéric. Peu après, Heinrich Schickhardt introduit plusieurs améliorations (maison des gentilshommes, arsenal, pont-levis, machine hydraulique pour assurer l'approvisionnement en eau). En 1751, diverses réparations sont encore menées (tours, corps central, terrasse sud). Le fossé entre les deux châteaux est comblé.
Source : «Montbéliard de A à Z» de Pasqualini et Masson, Éditions Alan Sutton.

Salle de la Grande cuisine
Salle de la Grande cuisine
(C'est l'espace entre les deux tours et le rez-de-chaussée de la tour Frédéric.)
Vitrine d'assiettes de faïence
Vitrine d'assiettes de faïence
dans la salle de la Grande cuisine

LA TOUR HENRIETTE

Assiette de faïence représentant le château
Assiette de faïence représentant le château
Salle de la Grande cuisine
Vue de la salle d'armes dans la tour Henriette
Vue de la salle d'armes dans la tour Henriette
Casque de cuirassier
Casque de cuirassier, armet
Acier poli et laiton
Italie du nord, 1620
Salle d'armes de la tour Henriette
Vue de la salle d'armes dans la tour Henriette
Vue de la salle d'armes dans la tour Henriette
«Le Grand Pont et l'église Saint–Maimbœuf»
«Le Grand Pont et l'église Saint-Maimbœuf»
Charles Munnier, huile sur toile, fin XIXe siècle
Salle du Poêle d'audience
Salle du Poêle d'audience
Cette salle est ronde, d'un diamètre de 8,6 mètres. Son nom a deux origines :
le comte Frédéric Ier (1557-1608) y recevait ses hôtes en audience et elle était chauffée par un poêle.
La salle a été appelée ainsi dès l'époque du comte Frédéric. De très beaux meubles Renaissance y sont exposés.
Buffet de l'hôtel de ville, détail (salle du Poêle d'audience)
Buffet de l'hôtel de ville, détail (salle du Poêle d'audience)
Allégorie de l'Europe et de la guerre
Œuvre de Jérémie Carlin, 1600
Buffet de l'hôtel de ville, détail (salle du Poêle d'audience)
Buffet de l'hôtel de ville, détail (salle du Poêle d'audience)
Cyrus, l'Afrique et Alexandre le Grand
Œuvre de Jérémie Carlin, 1600
Bassin de Mars et bassin de la Tempérance
Bassin de Mars et bassin de la Tempérance
Salle du Poêle d'audience
Buffet Renaissance
Buffet Renaissance
Salle du Poêle d'audience

L'impact du protestantisme sur l'éducation dans le comté avant 1793. Le luthérianisme s'est répandu dans le comté dès l'époque de Martin Luther. Guillaume Farel, puis Pierre Toussain ont amené à eux la majorité de la population par la force de leur prêches et de leur argumentation. Le protestantisme place la Bible au centre de l'éducation religieuse. Il est donc indispensable de pouvoir la lire, non pas en latin, mais en langue «vulgaire». À Montbéliard, c'est le français qui sera la langue liturgique. Dès 1560 est édictée une ordonnance ecclésiastique : chaque paroisse devra posséder une école primaire pour enseigner les rudiments du français aux enfants de 6 à 14 ans - garçons et filles. À Montbéliard même se crée une école latine, appelée Gymnase. On y enseigne le latin, le grec et l'hébreu, mais pas les langues vivantes, donc pas l'allemand ! C'est

Les bassins de Mars et de la Tempérance sont en étain et d'un diamètre de 49 cm. Ils sont l'œuvre de François Briot (vers 1545 - après 1616), maître de la Monnaie du comte Frédéric. Pour le comte, Briot gravera des pièces et des médailles. Ce graveur d'orfèvrerie, maître dans son art, a été admiré pour ses deux bassins, qui sont des chefs-d'œuvre.

Colonne sculptée sur le buffet Renaissance
Colonne sculptée sur le buffet Renaissance
Salle du Poêle d'audience

d'autant plus surprenant que les élèves les plus doués - qui perçoivent des bourses - vont poursuivre leurs études à Tübingen, près de Stuttgart. Ainsi Georges Cuvier, arrivé à Tübingen à 14 ans, vers 1784, dut apprendre l'allemand en quatre mois pour pouvoir suivre les cours. La guerre de Trente Ans détruit ce beau programme d'écoles primaires. Mais il est reconstruit par les princes qui vont suivre. En 1724 démarre une nouvelle politique scolaire, plus ambitieuse encore que la précédente : paroisses, filiales et annexes possèdent chacune leur école primaire (à l'exception de quatre seigneuries où les autorités françaises font fermer les écoles). Les enfants doivent savoir lire et écrire en français, parfois compter. Bref, être instruits pour que vive le luthérianisme. En 1793, quand le comté est annexé par la France, 98% de la population est alphabétisée.
Source : «Montbéliard de A à Z» aux éditions Alan Sutton.

Buffet de l'hôtel de ville
Buffet de l'hôtel de ville
Œuvre de Jérémie Carlin, 1600
Salle du Poêle d'audience
Bassin de Mars, détail
Bassin de Mars, détail
Étain, fin du XVIe siècle
Salle du Poêle d'audience
Bassin de la Tempérance, détail
Bassin de la Tempérance, détail
Étain, fin du XVIe siècle
Salle du Poêle d'audience
Le trophée du tournoi de tennis féminin de Wimbledon est
une copie du bassin de la Tempérance de François Briot.
Buffet en faïence verte, détail
Buffet en faïence verte, détail
Salle du Poêle d'audience
Buffet en faïence verte
Buffet en faïence verte
Coffre Renaissance
Coffre Renaissance
Salle du Poêle d'audience

Ce coffre Renaissance est remarquable. Ces panneaux sculptés en noyer représentent des perspectives
architecturales. On y trouve la plus ancienne représentation connue du château de Montbéliard (après 1594).
Tel qu'on le voit, le coffre est un montage du XIXe siècle.

LA TOUR FRÉDÉRIC

Salle Léopold Eberhard dans la tour Frédéric
Salle Léopold Eberhard dans la tour Frédéric
«Le château de Montbéliard en 1897»
«Le château de Montbéliard en 1897»
J. Heck, Huile sur toile
Une vue de l'appartement des princesses
Une vue de l'appartement des princesses
dans la tour Frédéric
«Deux faucons, étude»
«Deux faucons, étude»
Nicasius Bernaerts (1620-1678)
Collection de Louis XIV, manufacture des Gobelins

L'appartement des princesses est issu de la modernisation des corps de logis entreprise lors de l'installation au château, en 1769, du frère du duc régnant. Le château était délaissé depuis 1723 (mort de Léopold Eberhard). Les meubles exposés évoquent la vie de cour au château de Montbéliard et à celui d'Étupes.

«Neptune et Cérès» de Simon Vouet (et atelier)
«Neptune et Cérès» de Simon Vouet (et atelier)
Huile sur toile, vers 1630-1635
Le marquis de Bourbonne arrive à Montbéliard
«21 septembre 1633, le marquis de Bourbonne arrive à
Montbéliard en qualité de gouverneur pour le roi de France»
Jules Vittini (1888-1968)
Huile sur contreplaqué
Cathèdre ou fauteuil seigneurial
Cathèdre ou fauteuil seigneurial
Époque Renaissance
Poêle en faïence (1884-1888)
Poêle en faïence (1884-1888)
avec décors en camaïeu brun

Le peintre Jules Vittini (1888-1968) n'est pas un enfant du pays de Montbéliard. Né à Ancône en Italie, il suit les cours de l'Académie royale des Beaux-Arts de Rome, puis décore la salle ducale du Vatican en 1921. Après trois ans passés comme décorateur à la Scala de Milan, il décide de fuir son pays et Mussolini. Établi dans le Haut-Doubs, on le trouve, en 1932, à Montbéliard où il se lie d'amitié avec Émile Blazer, un érudit du comté, également défenseur du château. Vittini organise les cérémonies du centenaire de la mort de Georges Cuvier (1932), fonde une école d'art au château et un atelier de décoration sur céramique. Plusieurs de ses tableaux historiques sont visibles au musée du château.
Source : «Mémoires d'un château, guide du circuit historique» édité par le musée.

«Portrait de Charles–Eugène, duc de Würtemberg
«Portrait de Charles-Eugène, duc de Würtemberg
(1728-1793), frère de Frédéric-Eugène»
Anonyme
Huile sur toile, XVIIIe siècle
Le château des ducs de Würtemberg
Le château des ducs de Würtemberg
peint sur le poêle de faïence
Camaïeu brun
(1884-1888)
«Vue de la Schliffe»
«Vue de la Schliffe»
Jules-Émile Zingg (1882-1942)
Huile sur toile, vers 1910
«««--- À GAUCHE
Le poêle en faïence a été transformé en 1966
pour fonctionner avec du fuel domestique. Il a été
restauré et remonté dans son intégralité en 2006.
«Vallée du Lomon» de Louis–Aimé Jappy (1840–1916)
«Vallée du Lomon» de Louis-Aimé Jappy (1840-1916)
Huile sur toile, 1879
Appartement des princesses
«Alexandre le Grand faisant des libations devant le tombeau d'Achille»
«Alexandre le Grand faisant des libations devant le tombeau d'Achille»
Jean-Georges Berdot (1614-1679)
Huile sur toile, milieu du XVIIe siècle

SALLE MARIA FEDOROVNA

Salle Maria Fedorovna
Salle Maria Fedorovna
Cette salle, avec son beau mobilier, a été très bien mise en valeur lors de la restauration de 1992.
Sophie–Dorothée de Wurtemberg–Montbéliard
Sophie-Dorothée de Wurtemberg-Montbéliard
Elle devint la tsarine Maria Fedorovna en 1796.
Tableau du peintre Lampi Giovanni Battista.
«Vue du château à la fin du XVIIIe siècle»
«Vue du château à la fin du XVIIIe siècle»
Alphonse Baumann (1826-1909)
Huile sur toile

Sophie-Dorothée, duchesse de Würtemberg-Montbéliard, naquit en 1759 à Stettin. Elle passa sa jeunesse au château de Montbéliard et à celui d'Étupes (propriété assez proche, construite au XVIIIe siècle et détruite en 1801). De cet âge, elle a laissée aux mémorialistes l'image d'une jeune fille belle, douce et spirituelle. Sophie-Dorothée n'a pas dix-sept ans quand elle épouse, en 1776, le grand-prince Paul de Russie. Cette union est une idée de son grand-oncle Henri de Prusse qui veut œuvrer au rapprochement entre la Russie et la Prusse. Sophie-Dorothée est obligée de se convertir à la religion orthodoxe Elle est baptisée sous le nom de Maria-Fedorovna et devient alors grande-duchesse de Russie. Au début des années 1780, elle et son mari parcourent l'Europe sous le nom du comte et de la comtesse du Nord.
En 1796, à la mort de Catherine II, son époux devient tsar sous le nom de Paul Ier. Il est assassiné en 1801. Entre-temps, Maria Fedorovna a donné naissance à dix enfants. Deux de ses quatre fils régneront tour à tour : Alexandre Ier, l'ennemi implacable de Napoléon Ier, puis Nicolas Ier.
Maria Fedorovna fut passionnée par les arts, conséquence de son éduction montbéliardaise. Elle se consacra aussi à des œuvres sociales, s'impliquant notamment dans l'éducation des petites filles et des sourds-muets. Elle décède en 1828 au château de Pavlosk, son fils Nicolaï Pavlovitch étant tsar sous le nom de Nicolas Ier.
Sources : «Mémoires d'un château, guide du circuit historique» édité par le musée et «Pays de Montbéliard de A à Z» de F. Pasqualini et F. Masson, Éd. Alan Sutton.

Poêle en faïence bleue
Poêle en faïence bleue
Salle Maria Fedorovna
Poêle en faïence bleue
Poêle en faïence bleue
Dessins sur la façade
Sculpture dans la «salle d'Art»
Sculpture dans la «salle d'Art»
Carreaux de faïence sur le poêle
Carreaux de faïence sur le poêle
Carreau de faïence sur le poêle
Carreau de faïence sur le poêle
«Scène champêtre dans un jardin»
«Scène champêtre dans un jardin»
Huile sur toile, peintre anonyme, fin du XVIIIe siècle
Le tableau représente la margravine de Brandebourg-Schwedt et sa sœur Philippine.
«Vue du château à la fin du XVIIIe siècle»
«Vue du château à la fin du XVIIIe siècle»
Alphonse Baumann (1826-1909)
Huile sur toile



À DROITE ---»»»
«Mercure» de Marius Montagne (1828-1879)
Marbre blanc 1869
«Portrait en pied de Paul Ier Petrovitch (1754–1801)»
«Portrait en pied de Paul Ier Petrovitch (1754-1801)
Huile sur toile, détail
Salle Maria Fedorovna
Le poêle en faïence
Le poêle en faïence
de la salle Maria Fedorovna
Carreau de faïence sur le poêle
Carreau de faïence sur le poêle
«Salle d'Art» près de la salle Maria Fedorovna
«Salle d'Art» près de la salle Maria Fedorovna
«Mercure» de Marius Montagne (1828-1879)

Source : «Mémoires d'un château», guide du circuit historique + «Pays de Montbéliard de A à Z» de Florian Pasqualini et Florent Masson, Éditions Alan Sutton, ISBN : 978-2-8138-0095-4 +
documents affichés dans le musée + «Pays de Montbéliard, Musées, Monuments, Promenades», Éditions du Patrimoine, ISBN : 978-2-7577-0048-8
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