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L'église Saint-Jean-Bosco est
l'une des plus décorées de Paris : peintures murales,
fresques, mosaïques, vitraux, statues, tout se conjugue et
s'enrichit mutuellement du sol à la voûte selon un
schéma conçu vers 1933 par l'atelier parisien des
frères Mauméjean. Le style balance, selon l'historien
Simon Texier, entre un «gothique art déco» et
un «néo-gothico-grec». Quoi qu'il en soit, pour
tous les amateurs d'art sacré contemporain, une visite de
l'église Saint-Jean-Bosco s'impose.
L'église est construite de 1933 à 1937 par l'architecte
Dumitru Rotter (1878-1937) dans le cadre des Chantiers du
cardinal. En 1937, après la mort de l'architecte, son fils
René achèvera l'ouvrage. Le matériau en est
le béton armé ; l'espace entre les piliers porteurs
est couvert par la brique. Depuis l'origine, l'église est
gérée par la congrégation des Salésiens,
créée par Jean Bosco (1815-1888) et consacrée
par le Vatican en 1860.
Le premier abbé de la paroisse, le très actif père
Vincent Siméoni (1875-1953), prit en main le chantier avec
les maîtres d'uvre. Son projet initial était
grandiose, mais seule l'église fut bâtie. La construction
dura quatre ans. Quant à la décoration, elle ne fut
achevée que pendant l'Occupation. Cette lenteur traduit les
difficultés de financement et les tiraillements incessants
entre les intervenants. Ce même problème de financement
conduira aussi aux changements des ateliers de maîtres-verriers
chargés de la décoration de l'édifice.
En 1859, en fondant l'Oratoire Saint-François-de-Sales, don
Bosco et les Salésiens se destinent à l'accueil et
à l'éducation des jeunes garçons, souvent orphelins.
En 1872, c'est le tour des jeunes filles. Avec Marie-Dominique Mazarello,
Jean Bosco va créer les Filles de Marie-Auxiliatrice (appelées
Salésiennes). Les très beaux autels
du transept de l'église, couverts des mosaïques de Mauméjean,
sont consacrés au fondateur des Salésiens et à
Marie-Auxiliatrice. Voir plus bas des encarts sur la construction,
la décoration
et les vitraux
de l'église.
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Vue d'ensemble de la nef de l'église Saint-Jean-Bosco
Les piliers en béton armé prolongés en arcs-diaphragmes
donnent à l'église une monumentalité certaine. |
La façade et le côté gauche de l'église
Le clocher culmine à 52 mètres de hauteur.
La façade possède deux colonnes de claustras
formant résille,
ce qui a pour heureux effet d'alléger l'élancement.
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Statue de saint Jean Bosco accompagné d'un enfant
sur le parvis par Georges Serraz (1883-1964)
Cette statue n'était pas prévue dans le
plan d'origine. |
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Le parvis de l'église, rue Alexandre-Dumas
Au premier niveau, l'entrée de l'église
basse. |
La décoration du baptistère a été
conçue et créée par l'atelier Mauméjean
Frères. |
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Le baptistère
de l'église est magnifique. La scène du
baptême du Christ est entourée, à
gauche, du Massacre des Innocents, et, à droite,
du Martyre de saint Rogatien. Un point intéressant
: la mosaïque est parcourue par l'eau du Jourdain
qui s'écoule le long de la cuve baptismale jusqu'au
sol (voir photo ci-dessus). La grille qui ferme la chapelle
est due à Paul Kiss. Elle est ornée de
cabochons de céramique représentant, d'un
côté, la vie du saint, de l'autre, les
symboles qui lui correspondent.
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«Le Baptême du Christ» par Charles Mauméjean
Mosaïque du baptistère, détail. |
Le bas-côté droit vu depuis le transept avec le baptistère
Les confessionnaux ont été transformés
en vitrines exposant des objets du culte. |
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Statue de saint Jean Bosco
par Georges Serraz (1883-1964). |
Saint Paul et son glaive
Vitrail de l'atelier Mauméjean, 1937
C'est le modèle des vitraux
de la nef au niveau des tribunes. |
Statue de sainte Thérèse de l'Enfant Jésus
Atelier Serraz-Parvillée. |
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Confessionnal exposant des vêtements
sacerdotaux et des objets de culte. |
Autel latéral Sainte-Marthe
Les modèles des autels et de la chaire ont été
créés
par Mauméjean Frères. La réalisation a
été confiée
à la maison Guitard (années 1930). |
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La
construction de l'église. Le projet
initial, très ambitieux, voulait être le
point d'ancrage des Salésiens en France, un site
dédié à la gloire de saint Jean
Bosco. Sur un terrain de 4000 m2, la maquette présente
l'église à peu près telle qu'on
la connaît, entourée de deux corps de bâtiments
de quatre étages, séparés par des
cours. À Turin, l'église de la maison-mère
et ses bâtiments annexes incorporent une douzaine
de cours intérieures ! Paris se contenterait
donc de moins, mais on y verrait quand même des
écoles primaires et secondaires, des écoles
professionnelles avec internat et des salles de conférence.
La demande de permis de construire, déposée
en avril 1932, n'aboutit qu'en janvier 1933 : l'État
exigea des modifications et prit du temps pour accepter
un clocher de 52 mètres de haut. Turin, de son
côté, autorisa le père salésien
marseillais Vincent Siméoni (1875-1953), directeur
de l'Institut Saint-Léon, à engager les
travaux à la condition de trouver les financements.
Monté à Paris pour superviser l'opération,
celui-ci va se heurter bientôt à sa hiérarchie.
Qui finance le projet? Bien qu'il figure parmi les Chantiers
du cardinal, le diocèse n'avancera pas un sou
et tout viendra de la générosité
publique. La canonisation de Jean Bosco à Pâques
1934 contribuera d'ailleurs à l'épancher
un peu plus.
Les fonds manquent pour tout construire. On décide
de commencer par l'église et de continuer étape
par étape selon les disponibilités futures.
Pour les terrains, on verra donc plus tard. Mais le
père Siméoni veut avancer coûte
que coûte. Il demande l'aide des entrepreneurs
et veut se faire avancer un million de francs pour l'achat
des terrains, alors que l'église n'est pas terminée.
En fait, le père Siméoni a vu trop grand
: l'architecte et les entrepreneurs l'ont conduit à
grossir l'importance des travaux sans accord signé,
ni dépense chiffrée. En octobre 1937,
le père est remplacé par le père
Festou, provincial de l'ordre, qui doit terminer l'église.
Le gros uvre coûtera finalement 5,6 millions
de francs. La mise en place des décors intérieurs
subira aussi maintes péripéties, toujours
à cause du manque de fonds (voir plus
bas). En 1943, un ultime projet envisage la construction
d'une aile qui enjamberait une rue voisine, à
construire elle aussi. Mais il restera sans suite. Finalement,
c'est la modification de la voirie, dans les années
1960, qui aura raison de l'ambition initiale : les terrains
seront amputés et la rue voisine sera déviée
pour éviter l'église. Conséquence
: au lieu d'être au centre d'un ensemble de bâtiments,
le lieu de culte se trouve maintenant à l'angle
d'une rue. En outre, dès 1938, l'église
devient paroissiale. L'église haute est destinée
aux paroissiens, l'église basse est réservée
aux élèves.
Source : «Éloge du
décor : l'église Saint-Jean-Bosco à
Paris, sanctuaire national du père des orphelins»
de Valérie Gaudard, In Situ, Revue des
patrimoines, décembre 2009, le patrimoine religieux
des XIXe et XXe siècles.
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Élévations gauche dans la nef
Les piliers porteurs en béton créent une sorte
de compartimentage où les éléments décoratifs
viennent s'emboîter. |
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Vitrail exposé dans une chapelle et éclairé
électriquement
«Don Bosco montre Marie Auxiliatrice à Dominique Savio». |
Sainte Jeanne d'Arc
Vitrail de Jean Gaudin. |
La
décoration de l'église. Dans
l'ouvrage «Églises parisiennes du XXe siècle»,
l'historien d'art Simon Texier écrit : «Saint-Jean-Bosco
est sans doute avec Saint
Pierre-de-Chaillot, l'un des Chantiers du Cardinal
les plus réussis et les plus homogènes.
L'église a la grande chance d'avoir conservé
son décor d'origine dans sa presque totalité.»
Il est vrai que le décor y est omniprésent.
Les piliers de béton en arcs-diaphragmes ont
l'heureux effet de «casser» la permanence
de ce décor qui pourrait se révéler
étouffante. En fait, l'architecture équilibre
la décoration, si bien que nef, chur et
transept ne donnent pas l'impression d'une surcharge
décorative.
La décoration a été conçue
et, en très grande partie réalisée,
par l'atelier Mauméjean Frères : peintures,
fresques, mosaïques, vitraux, autels, chemin de
croix, crucifix du maître-autel, etc. Valérie
Gaudard, dans son article sur l'église (In
Situ, Revue des patrimoines) signale que certains
artistes intervenant sur le chantier de Saint-Jean-Bosco
officiaient déjà sur celui de l'église
salésienne de Nice dédiée à
Notre-Dame-Auxiliatrice. Le peintre-verrier ---»»»
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La chaire à prêcher créée par Mauméjean
Frères. |
Les
vitraux de Saint-Jean-Bosco.
Le manque de fonds chronique a frappé les peintres-verriers
appelés sur le chantier de l'église. À
l'origine du projet, Antoine Bessac devait réaliser
l'ensemble de la verrière, Mauméjean se
réservant toutefois les vitraux de la basse nef,
c'est-à-dire des chapelles latérales.
D'avril 1936 à juillet 1937, Bessac et son équipe
créent les vitraux du chur et du transept.
Mais ils s'aperçoivent bientôt qu'ils n'ont
nulle garantie d'être payés (!) et ils
quittent le chantier. Il faut redistribuer les cartes.
L'atelier de Jean Gaudin prend la relève et réalise
les vitraux de la basse nef et des tribunes. À
la basse nef, Gaudin s'emploie à respecter l'esprit
des maquettes prévues par Mauméjean. Pour
les tribunes, il suit les dessins dressés par
l'atelier d'Antoine Bessac. Mais, là encore,
le manque de fonds vient interrompre sa tâche.
Jean Gaudin prendra juste le temps de créer les
douze verrières de la basse nef (rappelons qu'il
y a six travées) et les six apôtres des
tribunes des trois travées qui sont proches du
chur. Les six autres apôtres des tribunes
(vers l'entrée) seront réalisés
par Mauméjean. En comparant les vitraux des apôtres
(abondamment fournis dans cette page), on perçoit
bien une différence dans le style : les créations
de Mauméjean ont une force stylistique que l'on
ne retrouve pas chez les autres. Terminons en disant
que le problème du financement va se prolonger
jusque sous l'Occupation, puisque les mosaïques
des autels du transept ne verront le jour qu'en 1943.
Source : «Éloge du
décor : l'église Saint-Jean-Bosco à
Paris, sanctuaire national du père des orphelins»
de Valérie Gaudard, In Situ, Revue des
patrimoines, décembre 2009, le patrimoine religieux
des XIXe et XXe siècles.
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Chemin de croix. Mosaïque de Mauméjean Frères
Station XI : «Jésus est attaché à la croix» |
---»»»
Antoine Bessac avait commencé à y réaliser,
depuis 1927, une verrière sur la vie de Jean
Bosco.
Les thèmes iconographiques retenus pour l'église
Saint-Jean-Bosco découlent du choix de l'abbé
Siméoni, père salésien plein de
dévotion pour la Vierge, comme d'ailleurs tous
les membres de cette congrégation. Pour Valérie
Gaudard (cf source), la société Mauméjean
Frères, alors au sommet de sa réputation,
a sûrement pris une part active dans ce choix.
Valérie Gaudard nous apprend que : «La
société Mauméjean Frères
a conçu l'ensemble du décor et réalisé
la totalité du décor peint, des mosaïques
et six vitraux des tribunes, les plus proches de la
façade sud. Elle est également l'auteur
de la chapelle des ---»»»
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Mosaïque Mauméjean : Le Christ sur la croix
(Cuve de la chaire à prêcher) |
Autel latéral Saint-Joseph. |
Chemin de croix. Mosaïque de Mauméjean Frères
Station VI : «Véronique essuie la face de Jésus». |
---»»»
fonts baptismaux, des décors des autels et de
la chaire. Elle a donné les
"maquettes" des vitraux de la basse nef.»
Le programme iconographique est tiré du Nouveau
Testament et s'étale sur trois registres de lecture.
Valérie Gaudard parle de trois phases, lisibles
de bas en haut : la phase purgative (le chemin
de croix des collatéraux) ; la phase illuminative
(les apôtres dans les vitraux des tribunes, la
Vierge et Jean Bosco dans le transept) ; enfin, le Rosaire
dans le plafond et le chur. Comme on le sait,
le Rosaire se compose de trois séries de mystères
: les mystères joyeux et douloureux, visibles
dans le pan incliné de la voûte, et les
mystères glorieux, visibles dans le chur
avec la Sainte-Trinité à la voûte
(sans illustration dans cette page).
Source : «Éloge
du décor : l'église Saint-Jean-Bosco à
Paris, sanctuaire national du père des orphelins»
de Valérie Gaudard, In Situ, Revue des
patrimoines, décembre 2009, le patrimoine religieux
des XIXe et XXe siècles.
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Saint Jacques le Mineur (partiel)
Vitrail de l'atelier Mauméjean Frères. |
La Vierge et un jeune garçon
Vitrail de l'atelier Mauméjean Frères. |
La voûte en perspective
---»»»
Les caissons sont décorés
des litanies de la Vierge |
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«L'Adoration des bergers»
Peinture murale sur le pan incliné de la voûte
Maquette de Charles Mauméjean. |
«Présentation de Jésus au temple»
Peinture murale sur le pan incliné de la voûte
Maquette de Charles Mauméjean. |
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Saint Simon le Zélote (partiel)
Vitrail de la tribune
Atelier de Charles Mauméjean. |
Saint Antoine de Padoue avec l'Enfant Jésus
Atelier Serraz-Parvillée. |
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Élévation du côté droit avec les caissons de la
voûte.
Le bandeau vitré qui surplombe le pan décoré
et qui éclaire les caissons est ici bien visible. |
Saint Paul (partiel)
Vitrail de la tribune
Atelier Jean Gaudin
Carton de Charles Mauméjean. |
«La Visitation»
Peinture murale sur le pan incliné de la voûte
Maquette de Charles Mauméjean |
Notre-Dame de la Salette.
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Saint Vincent de Paul. |
Vitraux des chapelles latérales,
atelier Jean Gaudin. |
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Vitrail de saint Louis
dans une chapelle latérale
Atelier Jean Gaudin |
Saint Matthieu (partiel)
Vitrail de la tribune
Atelier Jean Gaudin
Carton de Charles Mauméjean. |
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Peintures murales dans les compartiments du pan incliné de
la voûte.
Ici, les Mystères douloureux du Rosaire (c'est-à-dire la Passion
du Christ)
Maquettes de Charles Mauméjean. |
LES CHAPELLES
DU TRANSEPT |
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«Sainte Anne instruisant Marie»
Fresque rehaussée de mosaïques dans le transept gauche
(Atelier Mauméjean Frères). |
«Saint Jean Bosco recevant les
enseignements de sa mère»
Fresque rehaussée de mosaïques dans le transept droit (Mauméjean
Frères). |
Le transept droit est dédié à saint Jean
Bosco
Dans le vitrail, créé par Antoine Bessac, le Sacré-Cur
enveloppe
de son manteau les épisodes de la vie du saint. |
À DROITE ---»»»
Statue de don Bosco sur l'autel du transept droit
(Sculpteur inconnu, maison Guitard?) |
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Élévations droites de la nef avec les tribunes.
On voit le transept droit sur la gauche avec la statue de don
Bosco.
Les transepts de l'église ne sont pas saillants. |
Saint André (partiel)
Vitrail de la tribune, atelier Jean Gaudin
Carton de Charles Mauméjean. |
Saint Jean (partiel)
Vitrail de la tribune, atelier Jean Gaudin
Carton de Charles Mauméjean. |
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Le cardinal Verdier désigne don Bosco de la main.
(Mosaïque de Mauméjean Frères, transept droit) |
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Saint Jacques le Majeur (partiel)
Vitrail de la tribune
Atelier de Charles Mauméjean. |
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Autel dédié à saint Jean Bosco dans le transept droit
Le saint est entouré du cardinal Verdier, des pères
salésiens, des surs
auxiliatrices et de jeunes gens. L'«uvre»
de Turin domine la scène.
Atelier Mauméjean Frères (années 1930). |
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Vitrail du transept droit par Antoine Bessac
Le Sacré-Cur enveloppe dans son manteau
des scènes de la vie Jean Bosco. |
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Saint Jean Bosco reçu par le pape Pie IX
Vitrail d'Antoine Bessac dans le transept droit. |
L'AUTEL
DE MARIE-AUXILIATRICE |
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L'autel dédié à Marie-Auxiliatrice
dans le transept gauche (Atelier Mauméjean Frères). |
Saint Jean Bosco et les surs de la congrégation
de Marie-Auxiliatrice, détail
Vitrail d'Antoine Bessac dans le transept gauche. |
La victoire de Jean Sobieski à Vienne en 1683
Mosaïque de Mauméjean Frères dans l'autel
dédié à Marie-Auxiliatrice, détail. |
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LE CHUR
DE L'ÉGLISE SAINT-JEAN-BOSCO |
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Le chur de l'église Saint-Jean-Bosco avec ses vitraux
et ses peintures murales.
Au centre, le vitrail d'Antoine Bessac : Jean Bosco accueilli par
le Christ et la Vierge.
Contrairement au reste de l'église, on ne constate pas une
uniformité de la décoration : le vitrail central
d'Antoine Bessac, constitué de verres taillés en lamelles
étroites, adopte un style qui jure un peu avec le reste. |
Statue du Sacré Cur (partiel)
Atelier Georges Serraz-Simone Parvillée. |
«La Cène» par Mauméjean Frères
Peinture murale à côté du chur. |
«Les noces de Cana» par Mauméjean Frères
Peinture murale à côté du chur. |
Statue de saint Joseph (partiel)
Atelier Georges Serraz-Simone Parvillée . |
Le chur et ses peintures murales. Ici, les Noces de Cana. |
Peinture murale de Mauméjean Frères dans le chur
Vitrail d'Antoine Bessac : «La vocation de Jean Bosco». |
L'Apothéose de Jean Bosco accueilli au Ciel
par le Christ et la Vierge (Antoine Bessac)
Les vitraux de Bessac sont entourés de claustras. |
Peintures murales centrales de l'abside rehaussées de mosaïques
(Atelier Mauméjean)
Au centre, la Vierge en majesté. |
Le Christ en croix dans le chur
Ferronnerie modelée en relief par Mauméjean Frères. |
Le chur de l'église Saint-Jean-Bosco a été
conçu et réalisé par l'atelier Mauméjean
Frères.
Le vitrail central (l'Apothéose de Jean Bosco est d'Antoine
Bessac). |
«La Vierge en majesté» par Mauméjean Frères
au centre de l'abside
Les rehauts en mosaïque sont ici très visibles. |
«Saint Jean Bosco accueilli par le Christ et la Vierge»,
détail
Vitrail central du chur par Antoine Bessac. |
Saint Jude (partiel)
Vitrail de la tribune
Atelier Jean Gaudin
Carton de Charles Mauméjean. |
Chemin de croix de Mauméjean, station IV : «Jésus
rencontre sa Mère» (détail). |
L'orgue de tribune est dû au facteur Dargassies (1991). |
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Saint Philippe (partiel)
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Vitrail de la tribune
Atelier de Charles Mauméjean. |
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Saint Pierre (partiel)
Vitrail de la tribune
Atelier Jean Gaudin
Carton de Charles Mauméjean. |
La nef et l'orgue de tribune de l'église Saint-Jean-Bosco vus
depuis le chur. |
Documentation : «Paris d'église
en église» (Massin éditeur), ISBN :978-2-7072-0583-4
+ «Églises parisiennes du XXe siècle», Action
artistique de la Ville de Paris, ISBN 2-905-118-87-3, article de Simon
Texier
+ «Éloge du décor : l'église Saint-Jean-Bosco
à Paris, sanctuaire national du père des orphelins»
de Valérie Gaudard, In Situ, Revue des patrimoines,
décembre 2009, le patrimoine religieux des XIXe et XXe siècles. |
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