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Page créée en mars 2012
La Vierge dans le tableau «L'Annonciation»

L'église Saint-Vincent est de style gothique et date du XVe siècle. Son aspect extérieur peut dérouter un peu : son clocher a été refait en 1869 ; les murs extérieurs ont été entièrement restaurés en 2002-2003. Hormis la façade, on y voit davantage l'image d'une maison que celle d'un édifice religieux.
À l'origine, l'église Saint-Vincent dépendait de l’abbaye de Déols, comme sa voisine romane Saint-Martin. Ardentes, c'était en fait deux bourgs indépendants : Ardentes-Saint-Vincent et Ardentes-Saint-Martin. À partir du XVIIe siècle, une certaine prospérité économique s'installa grâce à la présence d'importantes forges dont la production était réputée. En 1839, les deux bourgs furent réunis. L'église Saint-Vincent devint paroissiale, Saint-Martin devint chapelle.
Dans l'église même, le croisillon sud du transept date du XVe siècle, le croisillon nord, du XIXe. Le beau retable du chœur fait voir un tableau de l'Annonciation. Les vitraux, peu nombreux, mais remarquables, viennent des ateliers des maîtres-verriers de la région (Charles Jurie à Bourges et Jules Fournier à Tours).

Saint Vincent dans le vitrail de Jules Fournier (atelier de Tours, 1884)
Vue d'ensemble de la nef de Saint-Vincent
Vue d'ensemble de la nef de Saint-Vincent
Vue d'ensemble de l'église Saint-Vincent à Ardentes
Vue d'ensemble de l'église Saint-Vincent à Ardentes
Le portail de Saint-Vincent date du XVe siècle
Le portail de Saint-Vincent date du XVe siècle
Le chevet de l'église (partie restaurée en 2002)
Le chevet de l'église (partie restaurée en 2002)
Les clés de voûte de l'église portent les blasons des grandes familles ardentaises
Les clés de voûte de l'église portent les blasons
des grandes familles ardentaises
Chapelle de la Vierge dans le croisillon sud du transept
Chapelle de la Vierge dans le croisillon sud du transept
Cette chapelle date du XVe siècle
Statue de la Vierge à l'Enfant
Statue de la Vierge à l'Enfant
Chapelle de la Vierge
Vitrail moderne à figures géométriques
Vitrail moderne
à figures géométriques
La chaire à prêcher est en nid d'abeille
La chaire à prêcher est en nid d'abeille
Vitrail moderne à l'effigie du Sacré-Cœur
Vitrail moderne à l'effigie du Sacré-Cœur
Tableau dans la nef
Tableau dans la nef
Tableau dans le transept
Tableau dans le transept
Saint Nicolas?
La chapelle du Sacré-Cœur dans le croisillon nord du transept
La chapelle du Sacré-Cœur dans le croisillon nord du transept
La chapelle nord date du XIXe siècle
Tableau dans la nef : «L'Assomption de la Vierge»
Tableau dans la nef : «L'Assomption de la Vierge»
On peut y lire : «DONNÉ par l'EMPEREUR, 1859»
Vitrail de la Vierge à l'Enfant
Vitrail de la Vierge à l'Enfant
Atelier de Charles Jurie à Bourges, 1905

Bien que déjà présentes - et peut-être déjà fort importantes à l'époque gallo-romaine, les forges d'Ardentes démarrent vraiment en 1667 avec l'aménagement du cours de l'Indre, puis la construction de la Forge Basse et de la Forge de l'Isle. Elles comptent cinq cents ---»»

Tableau «L'Assomption de la Vierge» (détail)
Tableau «L'Assomption de la Vierge» (détail)
Vitrail «L'agneau pascal» sur la façade
Vitrail «L'agneau pascal» sur la façade
Vitrail de la Vierge à l'Enfant (partiel)
Vitrail de la Vierge à l'Enfant (partiel)
Atelier de Charles Jurie à Bourges, 1905

---»» ouvriers au début du XVIIIe siècle, elles en auront mille cinq cents en 1757. Les forges d'Ardentes sont parmi les plus importantes du royaume, tant pour la quantité que pour la qualité de fabrication de leurs fers. Le bourg d'Ardentes Saint-Martin était renommé pour ses faux en «acier de Styrie». Les cinq mille hectares de la forêt du Poinçonnet toute proche apportaient aux forges le combustible indispensable. Depuis, le progrès technologique a fait fermer les forges, mais grâce à la forêt, l'industrie du bois a remplacé celle du fer.
Source : panneau affiché près de l'église

Le chœur et le retable de l'église Saint-Vincent
Le chœur et le retable de l'église Saint-Vincent
Vitrail de saint Vincent dans le chœur
Vitrail de saint Vincent dans le chœur
Atelier Jules Fournier à Tours, 1884
Tableau du retable «L'Annonciation», auteur inconnu
Tableau du retable
«L'Annonciation», auteur inconnu
Vitrail de saint Vincent (partie centrale)
Vitrail de saint Vincent (partie centrale)
Atelier Jules Fournier à Tours, 1884
Statue de la Vierge à l'Enfant dans le chœur
Statue de la Vierge à l'Enfant dans le chœur
Vitrail de saint Loup dans le chœur
Le retable (partie centrale)
Le retable (partie centrale)
Tableau dans le retable du chœur «L'Annonciation» (détail)
Tableau dans le retable du chœur
«L'Annonciation» (détail)
Auteur inconnu

À DROITE ---»»»

Piéta dans le croisillon nord du transept


«««--- À GAUCHE

Vitrail de saint Loup dans le chœur
Atelier Jules Fournier à Tours, 1884
Vue d'ensemble de la nef depuis la tribune
Vue d'ensemble de la nef depuis la tribune
Piéta dans le croisillon nord du transept
La nef vue du chœur
La nef vue du chœur
Vitrail de saint Loup (partie centrale)
Vitrail de saint Loup (partie centrale)
Atelier Jules Fournier à Tours, 1884

Documentation : Site de la municipalité d'Ardentes + panneau à l'extérieur de l'église
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