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Page créée en oct. 2013
La Vierge au bouquet, XVIe siècle, école troyenne (détail)

L'histoire débute par une église carolingienne qui devient un prieuré de bénédictins. Ceux-ci sont originaires de l'abbaye de Saint-Claude dans le Jura. Le remaniement complet de cette église, vers 1170, a conduit à l'édifice actuel. L'église Saint-Pierre de Bar-sur-Aube date donc de la fin du XIIe siècle. Jusqu'à la Révolution, elle sera à la fois prieurale et paroissiale : les moines se réservent le chœur, le transept et les chapelles rayonnantes ; les fidèles se contentent de la nef et des bas-côtés. Clairvaux, qui est à quinze kilomètres, a imprégné le style de l'église : très dépouillé, sans chapiteaux historiés ni grandes fresques, et avec des vitraux blancs. Ainsi en décident l'idéal cistercien et l'esprit de saint Bernard. Les quelques vitraux que l'on y voit de nos jours datent du XIXe siècle. Ils embellissent l'abside et le transept. Dans une chapelle latérale, on peut voir un beau retable de Jean-Baptiste Bouchardon (1667-1742), autrefois maître-autel de la collégiale Saint-Maclou. Enfin, l'église Saint-Pierre est riche d'une remarquable collection de statues du XVIe siècle, issue de l'école troyenne.
Point pittoresque : les côtés sud et ouest sont enrichis d'une galerie en bois du XIVe siècle appelée le «halloy». C'était jadis un aître, c'est-à-dire un abri-cimetière. Les sources rapportent que, à l'époque des foires de Champagne, les marchands de Provins y abritaient leurs étals. Cette galerie en bois est encore bien conservée.
Notons enfin que la Révolution transforma l'église en temple théophilantropique, puis en magasin à fourrage. Lors de la campagne de France de 1814 menée par Napoléon Ier pour repousser les armées d'invasion, on y entassa des soldats blessés pour les soigner. Le mobilier leur servit de bois de chauffage. Ils le brûlèrent entièrement.

Christ aux outrages, XVIe siècle, école troyenne (détail)
Vue d'ensemble de l'église Saint-Pierre de Bar-sur-Aube
Vue d'ensemble de l'église Saint-Pierre de Bar-sur-Aube
depuis le haut des marches de l'entrée.
Vue de l'église et du «halloy» (galerie en bois du XIVe siècle)
Vue de l'église et du «halloy» (galerie en bois du XIVe siècle).
Le portail principal sur la façade occidentale
Le portail principal sur la façade occidentale.
Conforme aux règles cisterciennes, il est très dépouillé.
Le halloy du côté sud
Le halloy du côté sud.
Le Christ en croix entre les arcades
Le Christ en croix entre les arcades
Daté de 1804, il vient de la collégiale Saint-Maclou
Statue de saint Roch
Statue de saint Roch
Pierre, XVIe siècle sur le côté droit sud.
Pittoresque chevet d'église!
Pittoresque chevet d'église.
Le chevet de Saint-Pierre est remarquable : son couvrement, d'un seul
tenant, enserre les chapelles rayonnantes et le déambulatoire.
Paysage champêtre au bord de l'Aube à Bar-sur-Aube
Paysage champêtre au bord de l'Aube à Bar-sur-Aube.

La collégiale Saint-Maclou est aujourd'hui fermée. Son mobilier et ses statues du XVIe siècle ont rejoint l'église Saint-Pierre. Jadis, les chanoines de la collégiale désignaient, en leur sein, les prêtres qui officiaient à Saint-Pierre. La collégiale est née de la chapelle du château des comtes de Champagne. Elle a été agrandie aux XIIe et XIVe siècles. Sa façade (1740) s'inspire de celle du cloître de Clairvaux qui venait d'être reconstruite.

La collégiale Saint-Maclou
La collégiale Saint-Maclou
est aujourd'hui fermée.
La façade date de 1740.
Élévations nord de la nef
Élévations nord de la nef.

L'architecture de l'église Saint-Pierre est de style roman bourguignon. Il faut l'interpréter comme un style de transition puisque l'élévation de la nef est clairement romane alors que la voûte est gothique. On remarquera l'alternance entre les piliers gros et petits.
Au deuxième niveau, la suite d'arcades étroites est aveugle. Il n'y a pas de triforium.

L'entrée de l'église Saint–Pierre
Le sol de l'église Saint-Pierre est au niveau de
l'église carolingienne d'avant le XIIe siècle.
Il faut descendre sept marches pour entrer dans la nef.
Les marches de l'entrée (venant d'anciennes pierres tombales)
Les marches de l'entrée (venant d'anciennes pierres tombales).

La construction de l'église actuelle a conservé le sol de l'église carolingienne. La nef se situe neuf marches au-dessous du niveau de la rue (sept pour l'entrée et deux pour le Halloy). Les marches viennent d'anciennes pierres tombales. On y voit encore de nombreuses inscriptions funéraires (photo ci-dessus). Le sol de la nef possède une soixantaine de pierres tombales du XIIIe au XVIIIe siècle. Fait rare : on y trouve non seulement des prélats et des seigneurs, mais aussi de nombreux artisans et commerçants (bouchers, cordonniers, tailleurs de pierre, etc.) N'ayant pas d'armoiries, ils ont fait graver leur outil de travail dans un écusson improvisé.

Dalle funéraire dans la nef : Homme et femme de l'époque médiévale
Dalle funéraire dans la nef : Homme et femme de l'époque médiévale.
Dalle funéraire avec un poisson
Dalle funéraire avec un poisson.
Détail pratique : ces dalles sont très souvent cachées par les chaises.
Mesure matrice dans l'entrée de l'église
Mesure matrice dans l'entrée de l'église
(vers 1570)

La «mesure matrice», figée dans la pierre du côté nord de l'église près de l'entrée, servait d'étalon à une mesure de volume locale : le boisseau de Bar-sur-Aube, qui accusait 23,99 litres. On l'utilisait en cas de contestation entre vendeur et acheteur.

Vitrail Les pèlerins d'Emmaüs
Vitrail Les pèlerins d'Emmaüs
XIXe siècle.
Clé de voûte à feuillage
Clé de voûte à feuillage.
Vitrail du XIXe siècle
Vitrail du XIXe siècle
Le bas–côté nord vu depuis l'entrée
Le bas-côté nord vu depuis l'entrée. Les chapiteaux - cisterciens - sont très dépouillés.
Dalle funéraire dans la nef
Dalle funéraire dans la nef.
Chapelle Saint-Paul ou des Vignerons
Chapelle Saint-Paul ou des Vignerons
et sa voûte en anse de panier
Statues de saint Paul, de la «Vierge mère au globe» et de saint Nicolas (XVIe siècle)
Statues de saint Paul, de la «Vierge mère au globe» et de saint Nicolas (XVIe siècle)

Les chapelles latérales de l'église Saint-Pierre datent des XVe et XVIe siècle. Deux sont remarquables pour leur voûte : celle de Saint-Paul, en anse de panier, est ornée de liernes garnis de pampres et de têtes de personnage (photo ci-dessous) ; celle des fonts baptismaux possède une riche voûte d'ogives.

Chapelle des fonts baptismaux
Chapelle des fonts baptismaux
et son retable dédié à saint Jean-Baptiste
La voûte en anse de panier
La voûte en anse de panier
de la chapelle des Vignerons (XVe ou XVIe siècle).
Tête d'homme et pampres dans la voûte
Tête d'homme et pampres dans la voûte
de la chapelle des Vignerons.
L'autel de la chapelle latérale Saint-Joseph
L'autel de la chapelle latérale Saint-Joseph.
Les instruments de sainte Germaine
Les instruments de sainte Germaine
Rondel d'un vitrail XIXe siècle.
Les instruments de sainte Germaine
Les instruments de sainte Germaine
Rondel d'un vitrail XIXe siècle.
Statue de sainte Barbe et donateur, Pierre, traces de polychromie,  XVIe siècle,
Statue de sainte Barbe et donateur, Pierre, traces de polychromie, XVIe siècle,
Vitrail avec deux rondels
Vitrail avec deux rondels
dans une chapelle latérale, XIXe siècle.
Saint Nicolas évêque
Saint Nicolas évêque
Pierre, XVIe siècle
(vient de la collégiale Saint-Maclou)
Statue de saint Sébastien
Statue de saint Sébastien
Pierre polychrome badigeonnée
Fin du XVIe siècle,
Statue de sainte Madeleine myrophore Pierre, XVIe siècle
Statue de sainte Madeleine myrophore Pierre, XVIe siècle.
(Vient de la collégiale Saint-Maclou.)
Statue de sainte Germaine
Statue de sainte Germaine
,Bois naturel et dorure
XIXe siècle.
Le Christ en croix de la chapelle Saint-Joseph
Le Christ en croix de la chapelle Saint-Joseph
Bronze, XVIIIe siècle.
Statue de saint Denis céphalophore, Pierre peinte et dorée, XVIIe siècle
Statue de saint Denis céphalophore, Pierre peinte et dorée, XVIIe siècle (Vient de la collégiale Saint-Maclou.)
Vitrail à figures
Vitrail à figures
géométriques
XIXe siècle
LE RETABLE DE JEAN-BAPTISTE BOUCHARDON

Le retable en bois doré dans la chapelle Saint-Joseph est attribué à Jean-Baptiste Bouchardon (1667-1742), sculpteur natif de Chaumont. Cette œuvre a été commandée par les marguilliers de l'église Saint-Pierre en 1733, puis installée en 1736. En 1801, le retable est transféré à la collégiale Saint-Maclou pour y servir de maître-autel. Cette église étant depuis peu désaffectée, il a été restauré, puis installé en 2008 dans une chapelle latérale de l'église Saint-Pierre.

Retable de Jean-Baptiste Bouchardon (1736)
Retable de Jean-Baptiste Bouchardon (1736)

Sainte Germaine en regardée comme la patronne de Bar-sur-Aube, mais son culte reste purement local. Qui était-elle? On ne sait pas exactement. La tradition rapporte l'existence d'une jeune fille qui, à l'époque des Vandales, vers 407-410, «préféra la mort à la souillure», lit-on sur une petite affiche de l'église. Ses mœurs, parait-il, auraient été exemplaires. Elle fut décapitée par les Vandales.

Statue de saint Paul
Statue de saint Paul
Retable de Bouchardon.
Statue de saint Pierre
Statue de saint Pierre
Retable de Bouchardon.
Un ange adorateur
Un ange adorateur
Retable de Bouchardon.
Un ange adorateur
Un ange adorateur
Retable de Bouchardon.
Statue de saint Jean-Baptiste
Statue de saint Jean-Baptiste
Bois polychrome, fin XVIIe - début XVIIIe.
Le dais du retable
Le dais du retable.
Angelots dans le retable
Le tabernacle du retable de Bouchardon
Le tabernacle du retable de Bouchardon.
«««--- Angelots dans le retable.
Saint Paul
Saint Paul
Vitrail dans l'abside
XIXe siècle.
LE TRANSEPT, RETABLE ET STATUES
Le transept nord et l'autel de la Vierge (XIXe siècle)
Le transept nord et l'autel de la Vierge (XIXe siècle)
À droite, l'entrée du chœur.
Vitrail «Le Couronnement de la Vierge», XIXe siècle
Vitrail «Le Couronnement de la Vierge», XIXe siècle.
L'autel de la Vierge et ses trois statues : saint Antoine et son cochon, la Vierge à l'Enfant au chapelet, et saint Pie V
L'autel de la Vierge et ses trois statues : saint Antoine et son cochon, la Vierge à l'Enfant au chapelet, et saint Pie V
Retable néo-gothique conçu par l'architecte diocésain Barthélemy (1874).
La Vierge à l'Enfant au chapelet
La Vierge à l'Enfant au chapelet
Autel de la Vierge, XIXe siècle.
«Jeanne d'Arc»
«Jeanne d'Arc»
Tableau dans le transept, auteur inconnu.
Quinze bas-reliefs illustrent les mystères du Rosaire
Quinze bas-reliefs illustrent les mystères du Rosaire
dans l'autel de la Vierge
Ici, Assomption et Descente de l'Esprit Saint.
Élévations dans le transept nord
Élévations dans le transept nord.
«La Vierge consolatrice»
«La Vierge consolatrice»
Tableau dans le transept nord
Auteur inconnu.
Statue de la Vierge mère au bouquet
Statue de la Vierge mère au bouquet
Pierre polychrome, XVIe siècle.
Statue de la Vierge mère au bouquet (détail)
Statue de la Vierge mère au bouquet (détail).
L'une des plus belles statues de l'église.
Christ aux liens
Christ aux liens
Pierre polychrome, fin du XVIe siècle.
Le Christ aux liens (détail)
Le Christ aux liens (détail)
Statue de la Vierge mère au bouquet
Statue de la Vierge mère au bouquet
Le visage de la Vierge.
LE DÉAMBULATOIRE ET LES CHAPELLES RAYONNANTES
L'entrée dans le déambulatoire nord
L'entrée dans le déambulatoire nord
avec sa grille.
Statue de saint Maclou évêque
Statue de saint Maclou évêque
Pierre, XVIe siècle
(Vient de la collégiale Saint-Maclou.)
Chapelle rayonnante Sainte-Catherine
Chapelle rayonnante Sainte-Catherine.
Elle donne un bon aperçu du dépouillement
de toutes les chapelles du déambulatoire.
Statue de l'Éducation de la Vierge
Statue de l'Éducation de la Vierge.
Pierre polychrome, XVIe siècle
Atelier du maître de Chaource.
Chapelle rayonnante Saint-Bernard
Chapelle rayonnante Saint-Bernard
Statue de saint Bernard ( XIXe siècle) sur l'autel
et statue de saint Maur (XVIe siècle) sur le mur
Le visage d'Anne dans la statue de l'Éducation de la Vierge, XVIe  siècle
Le visage d'Anne dans la statue de l'Éducation de la Vierge, XVIe siècle
L'aspect calme, contemplatif du visage est la marque du «Maître
de Chaource». Voir la sainte Marthe à Sainte-Madeleine à Troyes.
Statue d'une Vierge de pitié
Statue d'une Vierge de pitié
Pierre polychrome
Fin du XVIe - début du XVIIe siècle
Le déambulatoire nord
Le déambulatoire nord
Le style est très sobre. Clairvaux, troisième fille de Cîteaux,
source de l'ordre cistercien, n'est qu'à quinze kilomètres.
Statue d'une Vierge de pitié
Statue d'une Vierge de pitié
Fin du XVIe - début du XVIIe siècle
(détail)
Chapelle rayonnante
Chapelle rayonnante
Saint-Jean-Baptiste
Statue d'une Vierge à l'Enfant en majesté
Statue d'une Vierge à l'Enfant en majesté
Bois marouflé et peint
XIIIe siècle
Statue de sainte Syre ou de sainte Savine
Statue de sainte Syre ou de sainte Savine
Pierre badigeonnée
XVIe siècle
Statue de Vierge à l'Enfant au raisin, début XVIIe siècle
Statue de Vierge à l'Enfant au raisin
Début du XVIIe siècle
(Vient de la collégiale Saint-Maclou)
Statue de sainte Reine, Pierre polychrome, fin XVIe - début XVIIe siècle (détail)
Statue de sainte Reine, Pierre polychrome, fin XVIe - début XVIIe siècle (détail)
LE CHŒUR DE L'ÉGLISE SAINT-PIERRE
Le chœur de l'église Saint-Pierre
Le chœur de l'église Saint-Pierre.

Avec son autel en marbre blanc et brun et ses piliers légèrement ocre, le chœur de l'église Saint-Pierre dégage une profonde impression de paix et de contemplation. La couleur ocre est récente. Les restaurateurs ont voulu recréer l'atmosphère du Moyen Âge : on utilisait alors un lait de chaux coloré avec de la poussière de brique pour badigeonner les surfaces.

L'entrée du chœur
Les grandes piles qui marquent l'entrée du chœur
sont ornées de deux statues du XVIe siècle.
Statue de saint Pierre dans le chœur (détail)
Statue de saint Pierre dans le chœur (détail)
Pierre, fin du XVIe - début du ,XVIIe siècle.
Fresque murale datée du début du XIVe siècle
Saint Pierre
Saint Pierre
Vitrail de l'abside.
L'Enfant Jésus adoré par deux moines
L'Enfant Jésus adoré par deux moines
Tableau dans le transept, auteur inconnu.

«««---««--- On voit dans la photo du chœur (à gauche) la présence d'une fresque
murale (donnée ci-dessous) au deuxième niveau de l'élévation.
Le chœur polygonal à sept pans et trois niveaux
Le chœur polygonal à sept pans et trois niveaux.
Statue de saint Pierre dans le chœur
Statue de saint Pierre dans le chœur
Pierre, fin du XVIe - début du ,XVIIe siècle.
«««--- Fresque murale datée du début du XIVe siècle sur le deuxième niveau de l'élévation dans le chœur.
Elle est d'inspiration byzantine. Sa découverte est récente.
CI-DESSOUS, trois vitraux du XIXe siècle dans l'abside.
Statue de saint Paul dans le chœur
Statue de saint Paul dans le chœur
Pierre, XVIIe siècle.
Statue d'une Vierge à l'Enfant
Statue d'une Vierge à l'Enfant
Chêne nature, XIXe siècle.
Saint Jean-Baptiste
Saint Jean-Baptiste
Le Sacré Cœur
Le Sacré Cœur
Sainte Marie-Madeleine
Sainte Marie-Madeleine

Histoire. Le comté de Champagne absorba la seigneurie de Bar quand Thibaud Ier épousa la comtesse de Bar. Les célèbres foires de Champagne débutèrent vers 1190 au temps de Thibaud II. Elles se succédaient scrupuleusement dans le même ordre : Lagny en janvier-février ; Bar-sur-Aube en février-mars ; Provins vers mai-juin ; Troyes en juillet-août (la «foire chaude») ; Provins à nouveau en septembre/octobre et enfin Troyes en novembre/décembre (la «foire froide»). Une foire durait de deux à trois semaines. Les marchands venaient de Flandre, d'Italie, de l'Empire, mais jamais d'Angleterre car les Anglais avaient leurs propres foires. On faisait du négoce de draps, de cuirs et autres matières non périssables. Assurant la richesse du comté, les foires possédèrent une personnalité juridique avec leur sceau (1247). En 1260, elles cessent d'être les «foires du comte Thibaud» pour devenir les «foires de Champagne et de Brie». Source : Le Moyen Âge en question de Sylvain Gouguenheim, Éditions Tallandier.

L'ORGUE DE TRIBUNE
L'orgue de tribune
L'orgue de tribune provient de l'abbaye de Remiremont dans les Vosges.
Il a été restauré en 1845 dans son esprit d'origine.
Cas rare : il relie la facture de Cliquot à celle de Cavaillé-Coll.
Renommées et pot à feu sur le positif
Renommées et pot à feu sur le positif
Personnage ailé sur la tourelle centrale (Ste Cécile?)
Personnage ailé sur la tourelle centrale (Ste Cécile?)
Ornementations en bois sur le positif
Ornementations en bois sur le positif.
Pot à feu sur le positif
Pot à feu sur le positif.
Vitrail signé «F. Simon, verrier à Vendeuvre»
Vitrail signé «F. Simon, verrier à Vendeuvre»
L'objet représenté correspond-il
aux tables de la Loi?
La nef et l'orgue de tribune vus depuis le chœur
La nef et l'orgue de tribune vus depuis le chœur.

Documentation : «Église Saint-Pierre, Bar-sur-Aube», feuillet de l'Office de Tourisme.
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