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Au XIXe siècle, la population
de Rambouillet s'accroît. Sous-préfecture de la Seine-et-Oise
depuis 1811, la ville possède les bâtiments administratifs
nécessaires à sa fonction, mais sa petite église
médiévale fait pâle figure. Érigé
au XIIe siècle, l'édifice, très dégradé,
est de plus insuffisant pour l'accueil des fidèles. En 1847,
le curé, qui veut relancer l'idée d'une nouvelle église,
adresse au maire un rapport alarmant sur son délabrement.
Le projet traîne en longueur au point que, quelques années
plus tard, le curé sera reçu en audience à
ce sujet par Napoléon III.
En décembre 1860, le conseil municipal vote à l'unanimité
la construction d'une nouvelle église à l'emplacement
d'un ancien champ de vigne. L'architecte choisi est Alexandre de
Grigny (1815-1867), mais son dernier projet est critiqué
par l'architecte diocésain Hippolyte Blondel. C'est finalement
un concours public qui sélectionnera Anatole de Baudot
(1834-1915), architecte parisien, élève d'Eugène
Viollet-le Duc. Son projet propose un édifice néogothique
mâtiné de quelques aspects néoromans.
Même si l'empereur donne 100 000 francs de sa cassette personnelle,
les fonds disponibles ne sont pas lourds. Il faut donc construire
à l'économie : la voûte sera en berceau brisé
(ce qui limite son poids et permet d'alléger les structures)
; les piliers et les chapiteaux
seront en fonte ; la pierre de taille sera réservée
aux parties soutenant les plus fortes poussées ; pour le
reste, on utilisera la brique et la pierre de la région.
Le coût final est de 365 000 francs. L'empereur Napoléon
III vient en personne poser la première pierre le 14 avril
1868. L'église est consacrée en septembre 1871. Sur
le site de l'ancienne église, démolie en 1872, est
installé un marché aux volailles.
L'église Saint-Lubin et Saint-Jean-Baptiste de Rambouillet
possède quelques uvres d'art intéressantes qui
proviennent, la plupart du temps, de l'ancienne église. Parmi
les tableaux, notons La Conversion
de saint Hubert peint par Carl van Loo (1705-1765) à
la demande de Louis XV pour la chapelle du château de Saint-Hubert
(Le Perray-en-Yvelines) ; une Adoration
des bergers datée du XVIIIe siècle qui est
une variante d'un tableau de Guido Reni ; enfin, un Christ
en croix de Charles Thévenin (1764-1838).
Au XIXe siècle, seules les baies du chur
et du transept
ont reçu des vitraux historiés ou à personnages,
créés par l'atelier Oudinot. Dans le transept
: Annonciation,
Présentation
de Jésus au temple, Crucifixion,
et trois faits glorieux de trois saints (Lubin,
Césaire
et Hubert). Dans
le chur :
le Christ Sauveur
du Monde est entouré; de saint
Jean-Baptiste et de saint
Lubin. Dans les années 1960, l'atelier de Gabriel
Loire (1904-1996) a été sollicité pour
embellir les baies de la nef
avec de la dalle de verre. Les thèmes choisis illustrent
les sacrements (côté nord) et les dons de l'Esprit-Saint
(côté sud). Treize verrières ont été
réalisées par cet atelier. Huit sont données
plus bas.
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L'église Saint-Lubin et Saint-Jean-Baptiste vue depuis l'entrée.
Détail qui n'est pas fréquent : toutes les piles et
tous les chapiteaux
sont en fonte. |
Vue d'ensemble de l'église Saint-Lubin et Saint-Jean-Baptiste. |
Les contreforts néogothiques du premier niveau de la
nef sont ornés
d'une étonnante colonnette cylindrique qui n'est autre
qu'une gouttière. |
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Le chevet de l'église Saint-Lubin et Saint-Jean-Baptiste |
Le porche d'entrée est de style néogothique. |
Deux consoles avec bas-relief
sur le porche de la porte principale |
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Partie haute du clocher conçue par Anatole de Baudot, 1870.
Comme leurs grands précurseurs médiévaux, les
architectes néogothiques du XIXe siècle ont inséré
des sculptures
de têtes humaines ou fantastiques dans des endroits si élevés...
qu'on ne les voit pas depuis le sol ! |
Figure fantastique côté Nord. |
Figure fantastique côté Sud. |
Figure fantastique côté Est. |
Figure fantastique côté Ouest. |
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Figurine dans le
bras nord du transept. |
Élévation du bras nord du transept.
La double baie du second niveau est ornée de deux figurines. |
Figurine dans le
bras sud du transept. |
Figurine dans le
bras nord du transept. |
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LA NEF DE L'ÉGLISE
SAINT-LUBIN ET SAINT-JEAN-BAPTISTE |
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Élévations nord dans la nef.
Toutes les piles monocylindriques et tous les chapiteaux sont en fonte. |
QUATRE VITRAUX ILLUSTRANT LES SACREMENTS
(ATELIER DE GABRIEL LOIRE)
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La Confirmation. |
L'Eucharistie. |
Le Mariage. |
La Réconciliation. |
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Plan de l'église Saint-Lubin et Saint-Jean-Baptiste. |
Architecture
intérieure.
L'église Saint-Lubin présente un aspect
peu banal. La littérature parle d'un style néogothique,
mais celui-ci est en fait assez éclectique. L'élévation
du chur
montre des arcades dans les arcades, embellies
de trèfles et de baies tréflées,
ce qui rapproche plutôt le chur
du style roman.
Quoi qu'il en soit, l'idée directrice de l'architecte
Anatole de Baudot était d'alléger les
supports. Avec un double objectif : réduire le
coût de la construction (les fonds disponibles
n'étaient pas gros) et créer un espace
intérieur peu cloisonné.
Une voûte gothique en berceau brisé, fractionnée
par des arcs doubleaux, répondait à cet
impératif car la poussée était
alors minimale. Les arcs de la voûte retombent
sur des pilastres, eux-mêmes reposant sur une
pile monocylindrique en fonte. Les chapiteaux
de feuilles d'acanthe qui surmontent ces piles sont
eux aussi en fonte. L'entrée du chur
est marquée par le doublement de cette pile.
Même chose pour la sortie de la nef.
Anatole de Baudot était un élève
d'Eugène Viollet-le-Duc. C'est à ce dernier
que revient l'idée d'associer un matériau
moderne (la fonte) avec une structure néogothique.
L'architecte de Saint-Lubin a-t-il été
déçu du résultat ? Toujours est-il
qu'il ne renouvela jamais cette expérience.
Source : Images du Patrimoine,
Canton de Rambouillet publié par l'Inventaire
général (Ministère de la Culture),
1986.
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Les
vitraux de Gabriel Loire.
Pour l'église de Rambouillet, l'atelier de Gabriel
Loire (1904-1996) a réalisé 13 vitraux
en dalle de verre. La création s'est déroulée
sur deux périodes : 1963-1964 et 1990-1992.
Dans la nef, au côté nord, six verrières
illustrent des sacrements : Ordre, Confirmation, Eucharistie,
Mariage, Réconciliation et Extrême-onction.
Le sacrement du Baptême est illustré par
la verrière du baptistère dans l'absidiole
nord.
Au sud, les six vitraux illustrent les dons de l'Esprit-Saint.
: Sagesse, Intelligence (Justice), Conseil, Force, Science
et Piété.
La surface totale vitrée représente environ
46 m².
Source : site Web de l'atelier
de Gabriel Loire.
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CHEMIN DE CROIX
D'ALPHONSE GIMEL, 1985 |
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Station IV : Jésus rencontre sa mère. |
Station VI : Véronique essuie la face de Jésus. |
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Statue de saint Antoine de Padoue (XIXe siècle)
entre deux vitraux de Gabriel Loire. |
Bas-côté nord avec vue sur le Calvaire
de bronze. |
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La net et l'élévation sud avec les vitraux des «dons
de l'Esprit-Saint» de Gabriel Loire.
Les arcs doubleaux de la voûte retombent sur des pilastres accolés
sur un massif reposant sur une pile en fonte.
Le chapiteau de
feuilles d'acanthe qui surmonte cette pile est lui aussi en fonte. |
QUATRE VITRAUX ILLUSTRANT LES DONS DE
L'ESPRIT-SAINT (ATELIER DE GABRIEL LOIRE)
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La Piété. |
La Sagesse. |
L'Intelligence (ou la Justice). |
Le Conseil. |
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LE TRANSEPT DE
L'ÉGLISE SAINT-LUBIN ET SAINT-JEAN-BAPTISTE |
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Le chur et le bras sud du transept. |
«L'Adoration des bergers»
Tableau anonyme du XVIIIe siècle.
Copie réinterprétée d'un tableau de Guido Reni (1575-1642). |
LES ÉVANGÉLISTES AUX QUATRE
COINS DE LA CROISÉE
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La nef et le bras nord du transept.
Dans le transept, au second niveau du bras nord : la Vierge
couronnée à l'Enfant
est due au sculpteur François-Antoine Zoegger (1829-1885).
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Vierge couronnée à l'Enfant, détail
François-Antoine Zoegger (1829-1885). |
Monument aux Morts de la paroisse
dans l'absidiale nord.
Calvaire en bronze et baptistère. |
Vitrail : le Baptême
Atelier Gabriel Loire, 1978. |
Détail de la Piéta ci-dessous : Jésus et
la Vierge
Bas-relief de Louis Le Nain (1851-1903). |
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Calvaire en bronze : La Vierge. |
Calvaire en bronze : saint Jean. |
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Piéta avec saint Jean.
Bas-relief de Louis Le Nain (1851-1903).
Bras nord du transept. |
«La Vierge à
l'Enfant» ---»»»
Copie du XIXe siècle de la Vierge du Rosaire de
Bartolomé Murillo. |
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Statue de la Vierge couronnée à l'Enfant
par François-Antoine Zoegger (1829-1885).
Style néogothqiue.
Bras nord du transept. |
Calvaire en bronze : Le Christ. |
«Le Christ en croix»
Charles Thévenin, 1788. |
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Modèle des vitraux du 2e niveau du chur.
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Chapiteau à feuilles d'acanthe en fonte.
«Le Christ en
croix», détail ---»»»
Charles Thévenin, 1788.
Le regard de défi du Christ agonisant envers son
Père
n'est pas fréquent dans les tableaux du Calvaire. |
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«L'Adoration des bergers», détail.
Tableau anonyme du XVIIIe siècle.
Copie réinterprétée d'un tableau de Guido Reni (1575-1642). |
Autel de la Vierge
Il est orné d'émaux dessinés par l'architecte
de l'église, Anatole de Baudot.
Bras nord du transept. |
Notre-Dame de la Joie et du beau Courage.
Chêne polychrome, XVIe-XVIIe siècles. |
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Vitrail : «Annonciation»
Atelier Oudinot, XIXe siècle
Bras nord du transept. |
Vitrail : «Présentation de Jésus au temple», scène centrale.
Atelier Oudinot, XIXe siècle.
Bras nord du transept. |
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Vitrail : «La Crucifixion», scène centrale.
Atelier Oudinot, XIXe siècle.
Bras nord du transept.
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«La Conversion de saint Hubert», 1758
par Carl van Loo (1705-1765),
Commande de Louis XV pour la chapelle du château de Saint-Hubert. |
Autel de la Vierge
Émaux dessinés par Anatole de Baudot. |
Chapelle du Sacré-Cur dans le bras sud du transept. |
Saint Lubin
Bois polychrome du XVIIIe siècle. |
«La mort de saint Joseph»
Bas-relief de Louis Le Nain (1851-1903). |
La Vierge dans La mort de saint Joseph
Bas-relief de Louis Le Nain (1851-1903). |
«La mort de saint Joseph», détail.
Bas-relief de Louis Le Nain (1851-1903). |
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Autel du Sacré-Cur.
Émaux dessinés par Anatole de Baudot, détail. |
«««---
Voir à l'église parisienne du Saint-Esprit
une «Mort de Joseph» plus expressive
réalisée par
Jacques Martin (1885-1976), grand prix de Rome en
1914. |
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Vitrail : «Saint Hubert guérit les malades», scène
centrale.
Atelier Oudinot, XIXe siècle.
Bras sud du transept. |
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«Saint Lubin faisant l'aumône»
Eugène Tourneux, XIXe siècle
Ce tableau provient de l'ancienne église. |
Vitrail : «En visite avec le roi Childebert,
saint Lubin arrête un incendie à Paris»
Atelier Oudinot, XIXe siècle.
Bras sud du transept. |
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Tabernacle en bois doré du XVIIe siècle, détail.
Il provient de l'ancienne église.
Bras sud du transept. |
«««---
«Saint Césaire empêche une lapidation», détail.
«En visite avec le roi Childebert,
saint Lubin arrête un incendie à Paris», détail.
---»»»
Atelier Oudinot, XIXe siècle.
Bras sud du transept. |
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LE CHUR
DE L'ÉGLISE SAINT-LUBIN ET SAINT-JEAN-BAPTISTE |
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Le chœur de Saint-Lubin et Saint-Jean-Baptiste
L'église ne possède qu'un seul orgue, situé dans
le chur. |
L'orgue
de chur (1/2).
Il a été acquis par l'ancienne église
en 1850. L'instrument, qui possède aujourd'hui
17 jeux, est l'uvre du facteur John Abbey (1785-1859).
De petite taille, ses trois tourelles sont élégamment
surmontées de couronnes dorées.
En 1871, lorsque la nouvelle église est construite,
cet orgue prend place dans la tribune. Dans les années
1920, il est restauré et agrandi. En 1959, un
début d'incendie le rend indisponible pendant
plusieurs mois. ---»» Suite 2/2 ci-contre.
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Ange musicien dans le chur.
Ronde-bosse en pierre, XIXe siècle
par Louis-Gustave Gaudran et François-Antoine Zoegger. |
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«Le Christ Sauveur du Monde»
Atelier Oudinot, XIXe siècle.
Baie centrale du chur. |
L'orgue
de chur (2/2).
---»»» En 1979, il est à nouveau
démonté et restauré (par le facteur
Adrien Maciet), puis installé, cette fois, dans
le chur
de l'église. Au cours des années 1980,
restauration et nouveaux agrandissements se poursuivent.
Le nouvel instrument est inauguré en 1992.
Source : dépliant
disponible dans l'église.
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Vue du chœur et de l'élévation nord.
Avec des arcades incluses dans des arcades, le néogothique
d'Anatole de Baudot fait plutôt penser au néoroman. |
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«Saint Jean-Baptiste»
Atelier Oudinot, XIXe siècle. |
Ange musicien dans le chur.
Ronde-bosse en pierre, 1870
par Louis-Gustave Gaudran et François-Antoine Zoegger. |
«Saint Lubin»
Atelier Oudinot, XIXe siècle. |
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Les caissons de la voûte-plancher au-dessus de la tribune.
«««---
La tribune de la façade occidentale. |
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La nef de Saint-Lubin et Saint-Jean-Baptiste vue depuis le chœur. |
Documentation : «Images du Patrimoine,
Canton de Rambouillet» publié par l'Inventaire général
(Ministère de la Culture)
+ «Église Saint-Lubin et Saint-Jean-Baptiste»,
brochure disponible dans la nef
+ «Le patrimoine des communes des Yvelines», Flohic éditions,
2000
+ «Au plus près du peuple» de Rémi Dalisson,
éditions Vendémiaire, 2022
+ base Mérimée. |
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