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Page créée en août 2022
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Bernadette Soubirous en prière devant la grotte, détail

L’église Sainte-Bernadette a succédé à une chapelle provisoire située non loin, dédiée à Saint-Joseph. Elle a été consacrée en juin 1962 par l'évêque de Versailles. C'est un simple cube de béton, coiffé d'une voûte en bois.
Sainte-Bernadette s'inscrit dans la lignée de ces centaines d'édifices cultuels construits dans les années 1950 qui donnaient la première place à la liturgie. L'essentiel était d'ouvrir le culte à tous les fidèles, présentés comme des «participants». Cette vision, conçue en Allemagne dès les années 1920, s'est diffusée en France après 1945. Le Concile Vatican II, ouvert en octobre 1962, va en quelque sorte l'officialiser en donnant un champ libre inédit aux architectes.
Dans cette optique de priorité donnée à la seule liturgie, Sainte-Bernadette peut être perçue comme une simple enveloppe de béton donnant libre accès à tous.
L'embellissement intérieur présente juste ce qu'il faut pour créer une atmosphère de recueillement et de prière. Dans cet esprit, le mur du chœur, constitué de larges plis blancs verticaux, offre un contraste agréable avec le béton brut des côtés. Un tableau moderne de la Résurrection ajoute la part colorée indispensable pour lui donner vie.
Hormis un baptistère original entouré de Joseph et Marie, le principal atout artistique de l'église est un Chemin de croix, plus proprement appelé Chemin pascal, réalisé par l'artiste viroflaysienne Danièle Fuchs (1931-2013).
La photo ci-dessous montre que l'architecte a choisi, par la position des vitraux, d'illuminer le chœur avec les rayons du soleil venant de l'ouest. La nef n'est éclairée que par la grande verrière de la façade sud où se situe l'entrée.

Chemin pascal : le passage de la mer des roseaux, détail
Vue d'ensemble de l'église Sainte-Bernadette
Vue d'ensemble de l'église Sainte-Bernadette.
Elle a été édifiée à une époque où la priorité était donnée à la liturgie plutôt qu'à la beauté de l'espace intérieur..
Vue générale de l'église
Vue générale de l'église.
L'entrée de l'église
L'entrée de l'église.
Le clocher
Le clocher.

Deux des cloches viennent de l’ancienne église
Notre-Dame de Chaville. La troisième a été créée
dans la fonderie Cornille-Havard, à Villedieu-les-Poëles.


Seules la croix à coté de l'entrée
et les cloches du campanile
rappellent qu'il s'agit d'une église.

LE BAPTISTÈRE
Le Baptistère
Le Baptistère.

Le baptistère. Il date de 1989 et comprend deux éléments distincts : la cuve baptismale et son socle ; la table pour les Huiles saintes et son socle. Les statues de Joseph et de Marie ont été ajoutées à partir de 2010, conférant à ce sacrement chrétien un aspect assez original.
L'artiste viroflaysienne Danièle Fuchs a été sollicitée pour orner les socles. On y découvre des scènes bibliques travaillées sur cuivre dans un cadre en noyer.
Parmi ces scènes, certaines méritent un coup d'œil appuyé : le Passage de la mer des roseaux (quand les chars de Pharaon sont engloutis dans la Mer rouge) ; l'Arche de Noé que l'artiste représente comme un cogge du XVe siècle.
À noter que le baptistère est surmonté d'une grande gravure sur cuivre de Danièle Fuchs : la Vierge regarde Bernadette agenouillée en prière devant elle à la grotte de Lourdes.

Baptistère : Bernadette devant la grotte (Danièle Fuchs)
Baptistère : Bernadette devant la grotte (Danièle Fuchs).
Fonts baptismaux : «Le Passage de la mer des roseaux» ---»»»
(Le peuple des Hébreux fuit l'Égypte.)
Le Baptistère et sa conception originale
Le Baptistère et sa conception originale.
Baptistère : statue de Joseph, détail
Baptistère : statue de Joseph, détail.
(datée de l'année 2010).
Baptistère : statue de Vierge àl'Enfant, détail
Baptistère : statue de Notre-Dame de Judée, détail.
(datée de l'année 2017).
Fonts baptismaux : «Le Passage de la mer des roseaux»
Fonts baptismaux : «Le Passage de la mer des roseaux»
Fonts baptismaux : «Le Passage de la mer des roseaux».
Les chars de Pharaon sont à la poursuite des Hébreux.
Fonts baptismaux : l'Arche de Noé
Fonts baptismaux : l'Arche de Noé (Danièle Fuchs).
Baptistère : La Vierge apparaissant à Bernadette
Baptistère : La Vierge apparaissant à Bernadette (Danièle Fuchs).
Baptistère : Bernadette devant la grotte
Baptistère : Bernadette devant la grotte (Danièle Fuchs).
Élévation droite et le Chemin pascal
Élévation droite et les stations du Chemin pascal.
LE CHŒUR
Chœur et baptistère
Le chœur et le baptistère.

La Résurrection ---»»»

La Résurrection
«LE CHEMIN PASCAL» RÉALISÉ PAR DANIÈLE FUCHS
Forme générale du Chemin pascal : ici les stations 2 et 3
Forme générale du Chemin pascal : ici les stations 2 et 3.

Le Chemin pascal. Il n'y a pas de Chemin de croix à quatorze stations à Sainte-Bernadette, mais un Chemin pascal à seize stations qui démarrent à la Cène et se terminent avec les disciples d'Emmaüs.
Inauguré en juin 1979 et restauré en 2010, ce Chemin s'étale sur près de cinquante mètres. Son auteur, l'artiste viroflaysienne Danièle Fuchs, a passé trois ans à le réaliser. Les thèmes des stations ont été choisis et illustrés après étude et concertation avec Gérard Caye, curé de la paroisse à l'époque.
Les scènes sont gravées sur des plaques de laiton qui sont ensuite enchâssées dans des panneaux de chêne. «La gravure est obtenue par attaque du laiton par du perchlorure de fer, puis encrage des surfaces attaquées pour obtenir le noir, ou pas d’encrage pour conserver le rouge du cuivre», lit-on sur le site Web de la paroisse. Ainsi, seul le manteau de Jésus dans la scène du Couronnement d’épines est resté avec le rouge du cuivre.
Ce Chemin contient une pépite artistique. Il cache en effet une beauté inattendue qui ne se découvre que sur l'écran d'un appareil photo quand un rayon de soleil vient frapper la gravure que l'on photographie. La lumière passant sur le miroir de l'appareil s'en trouve décomposée selon les couleurs du spectre. Ce phénomène se produit en début et fin de journée : la grande façade vitrée située au sud laisse passer les rayons rasants du soleil.
Les seize scènes sont représentées dans cette page, souvent avec une lumière partiellement décomposée.
Caractéristiques du Chemin pascal :
1) La scène où Véronique essuie le visage de Jésus n'est pas incluse ;

2) Les trois stations où Jésus tombe sont suggérées dans la scène qui montre Simon de Cyrène aider Jésus à porter sa croix ;
3) La station habituelle n°1 (Jésus est condamné à mort) est découpée en quatre : Jésus devant le Sanhédrin ; le Reniement de Pierre ; le Couronnement d’épines et la flagellation ; Voici l’homme ;
4) Jésus rencontre sa mère et Jésus console les femmes de Jérusalem sont rassemblés en une seule scène ;
5) La mise au tombeau est remplacée par le tombeau vide au matin de Pâques ;
6) Quatre scènes ont été ajoutées : la Cène ; Jésus au jardin des Oliviers ; le baiser de Judas et l'arrestation ; Jésus et les disciples d’Emmaüs.
Le Chemin pascal s'étale sur cinquante mètres. Contrairement aux Chemins de croix traditionnels, il y a de la place pour représenter la foule. C'est par exemple le cas de l'arrestation dans le jardin de Gethsémani, de l'Ecce Homo ou de la Crucifixion.
La note affichée dans l'église inclut un commentaire grave et philosophe du Conservateur en chef du musée de l'Île-de-France lors de l'inauguration du Chemin pascal qui mérite d'être rappelé ici :
«À ceux, croyants et non-croyants, amateurs d'art ou visiteurs d'un jour, qui confronteront leur regard à ceux que le burin a creusé dans le cuivre, cet ensemble monumental où personnages sacrés et profanes vivent intensivement dans leur immobilité, rappellera que violence et souffrance n'ont pas cessé un instant depuis leur plus tragique exemple il y a deux mille ans.»
Sources : site de la paroisse et panneau dans la nef.

I-LA CÈNE
Chemin pascal, station 1 : «La Cène, dernier repas de Jésus avec ses disciples»
Chemin pascal, station I : «La Cène, dernier repas de Jésus avec ses disciples».
Chemin pascal, station 1 : «La Cène, dernier repas de Jésus avec ses disciples», détail
Chemin pascal, station I : «La Cène, dernier repas de Jésus avec ses disciples», détail.
Chemin pascal, station 1 : «La Cène, dernier repas de Jésus avec ses disciples», détail
Chemin pascal, station I : «La Cène, dernier repas de Jésus avec ses disciples», détail.
II-LE JARDIN DES OLIVIERS
Chemin pascal, station 2 : «Jésus au jardin des oliviers»
Chemin pascal, station II : «Jésus au jardin des oliviers».
Chemin pascal, station 2 : «Jésus au jardin des oliviers», détail
Chemin pascal, station II : «Jésus au jardin des oliviers», détail.
III-LE BAISER DE JUDAS
Chemin pascal, station 3 : «Le baiser de Judas, l'arrestation»
Chemin pascal, station III : «Le baiser de Judas, l'arrestation».
La grande surface de laiton travaillée par Danièle Fuchs lui permet de représenter la foule qui accompagne les soldats du grand prêtre.
Chemin pascal, station 3 : «Le baiser de Judas, l'arrestation», détail
Chemin pascal, station III : «Le baiser de Judas, l'arrestation», détail.
IV-JÉSUS DEVANT LE SANHÉDRIN
Chemin pascal, station 4 : «Jésus devant le sanhédrin»
Chemin pascal, station IV : «Jésus devant le Sanhédrin».
Chemin pascal, station 4 : «Jésus devant le sanhédrin», détail
Chemin pascal, station IV : «Jésus devant le sanhédrin», détail.
Sur la gauche, le grand prêtre Caïphe.

Jésus devant le Sanhédrin (1/2).
Cette scène ne figure pas dans le Chemin de croix, pourtant elle véhicule un très fort symbole. On ne peut qu'en féliciter le curé de l'époque et Danièle Fuchs de l'avoir intégrée dans le Chemin pascal.
En peinture, les artistes représentent plutôt Jésus devant Caïphe, le Grand prêtre. Mais peindre le Christ devant un seul homme, même s'il est accompagné d'un ou deux acolytes, a beaucoup moins de force que le montrer devant une assemblée entière. Et quelle assemblée ! Le Sanhédrin, fier de ses prérogatives, jaloux de son pouvoir, se veut le gardien des coutumes ancestrales. C'est en fait toute la société juive du Ier siècle, incarnée dans ses chefs religieux, qui se dresse devant Jésus.
Cet homme qui vient de Galilée est plus que dérangeant. Une semaine plus tôt, il a chassé les marchands du temple à coups de fouet, interrompant les achats d'offrandes, des offrandes qui traditionnellement sont récupérées par les Grands prêtres... Il est urgent de le condamner à mort pour faire un exemple. Problème : la loi exige au moins deux témoignages fiables et concordants. Et, pour le moment, le Sanhédrin n'a trouvé que des calomniateurs ou des témoignages discordants.
C'est pourquoi le Grand prêtre pose au perturbateur la question décisive : «Es-tu le Messie, le Fils du Dieu béni?» On connaît la réponse. Le blasphème est avéré. Il va sceller le sort du Christ.
Mais le Sanhédrin se heurte à un casse-tête : le préfet Ponce Pilate, qui, de par le droit romain, est le seul à pouvoir prononcer une condamnation à mort dans sa juridiction qu'est la Judée, se moque pas mal des litiges religieux des Juifs ! À ses yeux, le Galiléen Jésus de Nazareth est innocent.
Après moult discussions avec le Sanhédrin et pour calmer une foule hostile, le préfet acceptera - à regret selon les Écritures - de faire crucifier Jésus sur le motif de sédition. ---»»» Suite 2/2

Jésus devant le Sanhédrin (2/2).
La scène de Caïphe devant Jésus fait penser à une autre question, celle-là d'un fort poids philosophique pour l'espèce humaine. C'est la question que pose le Grand Inquisiteur mis en scène par Ivan Karamazov dans la légende qu'il a conçue et qu'il raconte à son frère Aliocha : «Pourquoi viens-tu nous déranger?»
Dans cette histoire, qui est l'un des sommets de la littérature mondiale, l'écrivain russe Dostoïevsky imagine que le Christ revient sur Terre, au XVe siècle et à Séville. L'atmosphère y est pesante : les habitants de la ville courbent l'échine devant une Inquisition toute-puissante. Le Christ ne s'annonce pas, mais tout le monde le reconnaît. Son but n'est pas de troubler l'ordre public (ce qu'il fait malgré lui), mais de pousser chacun à s'interroger sur les principes moraux de la société de bonheur que l'Inquisiteur impose par la force.
La question «Pourquoi viens-tu nous déranger?» que l'Inquisiteur pose au Christ qu'il a fait arrêter et conduire en prison, conviendrait au drame de la Passion si celle-ci se plaçait dans un autre contexte. Le Sanhédrin, refusant de voir en Jésus le Fils de Dieu, ne peut pas poser cette question. Il en est resté à l'étape antérieure et son discours se résume en quelques mots : «Tu te dis Fils de Dieu ; tu blasphèmes ; ton compte est bon.»
Cependant la question garde une part de réalisme. Jésus vient troubler le train-train de ces hommes de pouvoir que sont les membres du grand Conseil Juif. En tant que gardiens vigilants des règles et de la tradition, ils ont supprimé, dans la vie de leurs semblables, une part de liberté. Les théologiens chrétiens le disent à l'envi : le christianisme est liberté. Le Christ n'impose pas, il propose. Il n'y a là aucune place pour la soumission.
Le Grand Inquisiteur va plus loin : il a supprimé La liberté. Se rapprochant du diable, que Dostoïevski appelle l'Esprit terrible ou l'Esprit provocateur, défiant le projet divin, il a créé à Séville une société fondée sur trois piliers : le mystère, le miracle et l'autorité, trois piliers aptes à éradiquer chez les hommes le désir de liberté, aptes à les soumettre totalement à sa loi - pour leur bien.
L'Inquisiteur est formel : la liberté est un fardeau car l'homme ne sait pas discerner le Bien du Mal, se fourvoie et se damne. Dieu s'est trompé. Dans la société du bonheur obligatoire telle que l'a voulue l'Inquisiteur, les hommes sont nourris, asservis... et sauvés. Pour prix de sa rébellion contre le Père, le Grand Inquisiteur se sait voué - et il l'accepte - à la damnation éternelle.

Chemin pascal, station 4 : «Jésus devant le sanhédrin», détail
Chemin pascal, station IV : «Jésus devant le sanhédrin», détail.
V-LE RENIEMENT DE PIERRE
Chemin pascal, station 5 : «Le reniement de Pierre»
Chemin pascal, station V : «Le reniement de Pierre».
Le coq se trouve sur la droite de la scène.
Chemin pascal, station 5 : «Le reniement de Pierre», détail
Chemin pascal, station V : «Le reniement de Pierre», détail.
Une femme interpelle Pierre : «Celui-là aussi était avec lui.»
VI-LE COURONNEMENT D'ÉPINES ET LA FLAGELLATION
Chemin pascal, station 6 : «Le couronnement d'épines et la flagellation»
Chemin pascal, station VI : «Le couronnement d'épines et la flagellation».
Dans cette scène, le manteau de Jésus a été laissé volontairement en rouge par l'artiste.
VII-VOICI L'HOMME
Chemin pascal, station 7 : «Voici l'homme», détail
Chemin pascal, station VII : «Voici l'homme», détail.
Sur la droite, une servante apporte une vasque d'eau.
Chemin pascal, station 7 : «Voici l'homme»
Chemin pascal, station VII : «Voici l'homme».
Aspect de la gravure sur cuivre sans la décomposition de la lumière.

Chemin pascal, station VII : «Voici l'homme», détail ---»»»

Chemin pascal, station 7 : «Voici l'homme», détail
VIII-JÉSUS EST CHARGÉ DE LA CROIX
Chemin pascal, station 8 : «Jésus est chargé de la croix»
Chemin pascal, station VIII : «Jésus est chargé de la croix».
IX-SIMON DE CYRÈNE AIDE JÉSUS À PORTER SA CROIX
Chemin pascal, station 9 : «Simon de Cyrène aide Jésus à porter sa croix»
Chemin pascal, station IX : «Simon de Cyrène aide Jésus à porter sa croix».
X-JÉSUS RENCONTRE SA MÈRE ET CONSOLE LES FEMMES DE JÉRUSALEM
Chemin pascal, station 10 : «Jésus rencontre sa mère et console les femmes de Jérusalem»
Chemin pascal, station X : «Jésus rencontre sa mère et console les femmes de Jérusalem».
Sur la gauche, les croix des deux larrons sont déjà en place.
Chemin pascal, station 10 : «Jésus rencontre sa mère et console les femmes de Jérusalem», détail
Chemin pascal, station X : «Jésus rencontre sa mère et console les femmes de Jérusalem», détail.
XI-LES SOLDATS SE PARTAGENT SES VÊTEMENTS
XII-JÉSUS EST CLOUÉ SUR LA CROIX
Chemin pascal, stations 11 et 12
Chemin pascal, stations XI et XII.
Chemin pascal, station 11 : «Les soldats se partagent ses vêtements»
Chemin pascal, station XI : «Les soldats se partagent ses vêtements».
Chemin pascal, station 12 : «Jésus est cloué sur la croix», détail
Chemin pascal, station XII : «Jésus est cloué sur la croix», détail.
XIII-JÉSUS MEURT SUR LA CROIX
Chemin pascal, station 13 : «Jésus meurt sur la croix»
Chemin pascal, station XIII : «Jésus meurt sur la croix».
Danièle Fuchs a donné à la scène un cadre grandiose. En fait, le Golgotha n'était qu'une petite butte à l'une des portes de Jérusalem.
Chemin pascal, station 13 : «Jésus meurt sur la croix», détail
Chemin pascal, station XIII : «Jésus meurt sur la croix», détail.
XIV-JÉSUS EST DESCENDU DE LA CROIX ET REMIS À SA MÈRE
Chemin pascal, station 14 : «Jésus est descendu de la croix et remis à sa mère», détail
Chemin pascal, station XIV : «Jésus est descendu de la croix et remis à sa mère», détail.
Chemin pascal, station 14 : «Jésus est descendu de la croix et remis à sa mère»
Chemin pascal, station XIV : «Jésus est descendu de la croix et remis à sa mère».
XV-AU MATIN DE PÂQUES, LE TOMBEAU VIDE
Chemin pascal, station 15 : «Au matin de Paques, le tombeau vide»
Chemin pascal, station XV : «Au matin de Paques, le tombeau vide».
XVI-JÉSUS ET LES DISCIPLES D'EMMAÜS
Chemin pascal, station 16 : «Jésus et les disciples d'Emmaüs»
Chemin pascal, station XVI : «Jésus et les disciples d'Emmaüs».
Pour illustrer le pain et le vin de l'Eucharistie, Danièle Fuchs a représenté la vigne à gauche et le blé à droite.
Chemin pascal, station 16 : «Jésus et les disciples d'Emmaüs», détail
Chemin pascal, station XVI : «Jésus et les disciples d'Emmaüs», détail.
Chemin pascal, station 16 : «Jésus et les disciples d'Emmaüs», paysage de gauche
Chemin pascal, station XVI : «Jésus et les disciples d'Emmaüs» : la vigne.
Chemin pascal, station 16 : «Jésus et les disciples d'Emmaüs», paysage de droite
Élévation gauche avec ses stations du Chemin pascal
Élévation gauche avec ses stations du Chemin pascal.
Un rayon de soleil frappe la station VII (Voici l'homme) : le miroir de l'appareil photo décompose la lumière.

«««--- Chemin pascal, station XVI : «Jésus et les disciples d'Emmaüs» : le blé.

Vue d'ensemble de la nef depuis le chœur
Vue d'ensemble de la nef depuis le chœur.

Documentation : Site de la paroisse + Panneaux affichés dans l'église
+ «Jésus, l'Encyclopédie» sous la direction de Joseph Doré, éditions Albin Michel, 2017
+ «Les frères Karamazov», Dostoïevsky.
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