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LE CHUR
DE L'ÉGLISE SAINT-MACLOU |
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Le chur gothique de l'église Saint-Maclou. |
Le chur, partie haute avec la voûte et la vitrerie. |
Le chur et son élévation sud. |
Jérémie et David (baie 101). |
Saint Pierre (baie 102), vers 1460. |
Saint André (baie 102), vers 1460. |
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LE DÉAMBULATOIRE,
LES CHAPELLES RAYONNANTES ET LEURS VITRAUX |
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Le déambulatoire avec vue sur la chapelle Notre-Dame-de-Pitié
et sur le vitrail de la baie
11. |
CHAPELLE
NOTRE-DAME-DE-PITIÉ ET LES VITRAUX DES BAIES 7
& 11 |
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Chapelle rayonnante NOTRE-DAME-DE-PITIÉ. |
La
chapelle Notre-Dame-de-Pitié est la
plus riche des quatre chapelles rayonnantes. Un retable
du XVIIIe siècle trône en son centre, surmonté
d'une gloire. Il abrite une toile qui doit être
une copie d'un célèbre tableau de Jean
Jouvenet, La Déposition de croix, tel
qu'on peut le voir à la chapelle
des Élus à Dijon.
C'est dans cette chapelle qu'ont été rassemblés
les derniers confessionnaux
de style Louis XV qui subsistent du XVIIIe siècle.
Ils sont embellis de médaillons et de trophées
ecclésiastiques. L'autre richesse de la chapelle,
ce sont les trois vitraux dans les baies 7, 9 et 11.
La baie 9 est en grande partie cachée par le
retable, mais n'a plus de grands personnages dans les
lancettes. Le visiteur ne perd rien à ne pas
la voir. Rien n'en est donné ici.
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BAIE 7 - TROIS
GRANDS PERSONNAGES, vers 1440-1450 |
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Sainte martyre (baie 7)
sur un magnifique fond damassé de feuillages verts.
On remarque une statuette (ange musicien) dans le piédroit
à droite.
La tête a été restaurée. |
Sainte Apollonie (baie 7). |
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Saint évêque (baie 7). |
Un prophète dans une mouchette du tympan (baie
7). |
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Baie
7, vers 1440-1450. Elle comporte trois
lancettes trilobées avec neuf ajours et
écoinçons au tympan. Les grands
personnages dans les lancettes sont peints à
la grisaille et au jaune d'argent. Les fonds sont
constitués de très beaux damas en
vert, rouge ou bleu. Quant aux nimbes, ils reprennent
la couleur du damas de la lancette voisine. On
constate, dans la verrière complète
ci-contre, que les figures de gauche et du centre
n'ont en fait que leur partie supérieure.
Seule sainte Apollonie, à droite, dont
la tête a été restaurée,
est entière. (Est-ce bien elle malgré
la présence de tenailles?) La tête
de la sainte martyre, à gauche, a aussi
été restaurée. Le soubassement
n'est qu'un assemblage de fragments.
Le tympan mérite attention. Il abrite des
éléments de prophètes, plus
ou moins bien conservés, tenant des phylactères.
Ils sont dessinés à la grisaille
et au jaune d'argent. On donne ici les deux plus
beaux.
Source : Corpus Vitrearum.
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Sainte Apollonie (baie 7), vers 1440-1450 - tête
restaurée. |
Job sur son fumier, médaillon dans la chapelle
Notre-Dame-de-Pitié. |
Le retour de l'Enfant prodigue, médaillon dans
la chapelle Notre-Dame-de-Pitié. |
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Boiseries et confessionnaux de style Louis XV dans la chapelle
Notre-Dame-de-Pitié.
Les boiseries ont été réalisées
au milieu du XVIIIe siècle par le menuisier Lefebvre
et le sculpteur Lefrançois. |
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Vitrail de la baie 7 (vers 1440-1450). |
Un prophète dans une mouchette du tympan (baie 7). |
Saint évêque (baie 7) - tête restaurée. |
La
richesse d'antan de Saint-Maclou.
Avec ses magnifiques confessionnaux qui,
d'après les sources, ont coûté des
sommes considérables, la chapelle Notre-Dame-de-Pitié
donne une toute petite idée de ce qu'était
la richesse de cette église au XVIIIe siècle.
Dans son étude pour le Congrès archéologique
de France en 1926, le chanoine Jouen s'étend
longuement sur l'histoire de l'ornementation de l'église.
Le nouveau porte-Christ posé en 1626 fut accompagné
d'un nouveau tabernacle et ciboire enrichi de tableaux
de peinture plate en bosse. Une clôture de
bois et cinq statues d'apôtres sur les piliers
vinrent achever la décoration du chur.
Rien ne changea durant le XVIIe siècle. En 1728,
on installa 66 stalles neuves dessinées par l'architecte
De France. Le sol du chur fut abaissé de
huit pouces et reçut un pavage en marbre jaspé
et noir. En 1758, un nouveau porte-Christ
est dressé à l'entrée du chur
tandis qu'une grande gloire dorée s'élève
au fond du sanctuaire. «Dans les vingt années
qui suivent, écrit le chanoine Jouen, les chapelles
latérales sont l'objet d'embellissements considérables.
On y lambrisse les murs, on les ferme par des grilles
de fer, on y place des confessionnaux neufs (...)».
Et l'on construit de nouveaux retables décorés
de gloires dorées. --»»
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--»» En 1774,
les collatéraux du chur sont fermés
par des barrières de fer garnies d'ornements
en cuivre. En 1775, l'architecte Thibault présente
un devis pour repenser complètement le sanctuaire
avec un nouveau maître-autel enrichi d'un contretable,
sans oublier cinq piliers dûment décorés.
Le maître-autel est achevé en 1776, bientôt
suivi par les piliers (l'ancien maître-autel est
installé dans une chapelle). Puis, les membres
de la Société de Notre-Dame de Pitié
se proposent d'orner les quatre piliers du chur
(menuiserie et sculpture) comme les cinq qui délimitent
le pourtour du sanctuaire (voir plan),
mais à la condition que les emblèmes de
la société figurent en bas-reliefs dans
des cartouches à mi-hauteur des piliers. En 1777,
l'argent manque. On se contente de faire dorer les anges
adorateurs sculptés par Cahais sur le porte-Christ.
Le même Cahais se désole pour son contretable,
dont il a la charge et dont il promettait de faire «un
morceau digne de mémoire.» En 1780, le
financement est là et Cahaix peut poursuivre
sa tâche selon les plans de Thibault. Enfin, un
dénommé Le Prince peint en or et en marbre
les contretables, gloire, statues d'anges, chérubins
et autres personnages. Comme le souligne le chanoine
Jouen, la décoration du chur et du sanctuaire
de Saint-Maclou était réellement exubérante.
Source : Congrès archéologique
de France, 89e session tenue à Rouen en 1926,
article sur l'église Saint-Maclou par M. le chanoine
Jouen.
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Détail des boiseries des confessionnaux. |
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BAIE 11 - VERRIÈRE
DES SAINTS, vers 1440-1450 |
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Verrière des Saints (baie 11). |
Partie centrale de la verrière des Saints (baie 11). |
Baie 11,
vers 1440-1450. Elle abrite l'une des plus belles
verrières à trois personnages de l'église.
Comme la baie
7, elle accuse une dimension de 6 mètres de haut
sur 2,20 mètres de large. Ses trois lancettes trilobées
reçoivent, à gauche, sainte Apollonie
(dont la tête est restaurée), saint Denis
au centre (qui tient sa tête dans ses mains) et, à
droite, sainte Geneviève avec une magnifique
tête refaite au XIXe siècle. Les dais des niches
sont, comme à l'habitude, un assemblage d'architectures
verticales un peu surchargées dont un gros
plan est donné plus bas. Le tympan, semblable à
celui de la baie
7, mérite d'être vu de près, c'est-à-dire
avec une paire de jumelles ou un téléobjectif.
On y trouve six prophètes tenant chacun un phylactère.
Les quatre prophètes de la première rangée
sont donnés en gros plan plus
bas. Leur style suit en tous points celui des prophètes
de la baie 7.
Ces figures sont entourées de séraphins. Source
: Corpus Vitrearum.
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La tête de saint Denis après sa décollation (baie
11). |
Sainte Geneviève (baie 11) - tête refaite au XIXe siècle. |
Baie 11, partie supérieure du vitrail. |
Sainte Apollonie (baie 11).
La tête a été restaurée. |
Prophète dans une mouchette du tympan de la baie 11. |
Prophètes dans les mouchettes du tympan de la baie 11, vers
1440-1450. |
La CHAPELLE DE LA VIERGE et les vitraux des baies 2, 4 et 6. |
BAIE 6 À
GRANDS PERSONNAGES, vers 1440-1450 |
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Partie centrale de la baie 6 avec ses trois apôtres. |
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Un apôtre peint à la grisaille (baie 6). |
Baie
5, vers 1440-1450. Vitrail à grands
personnages de 6 mètres sur 2,20 mètres.
Ils sont peints à la grisaille et au jaune d'argent
sur des fonds damassés. Marie Jacobé,
dans la lancette centrale, est entourée de ses
quatre fils. L'un d'entre eux, à droite, offre
une très belle tête restaurée (donnée
ci-dessous), alors que, à gauche. la tête
de profil est manifestement interpolée. La partie
basse présente un assemblage de fragments divers.
On y trouve des éléments d'architecture,
des têtes de bonshommes, des têtes de chevaux.
Un exemple en est donné ci-dessous. Le tympan,
panneaux décoratifs non donnés ici, a
été créé par l'atelier G.
Degusseau en 1980.
Source : Corpus Vitrearum.
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Un fils de Marie Jacobé (baie 5) - tête restaurée. |
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BAIE 4 - LE CHRIST
ET LES DEUX SAINTS JEAN, vers 1440-1450 |
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Verrière de la baie 4. |
Scène de Calvaire (soubassement, baie 4). |
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Saint Jean-Baptiste, le Christ et saint Jean l'évangéliste
(baie 4).
Détail du soubassement central de la baie 4 ---»»»
La cuve sur le feu est visible en bas à droite, les deux
anges portant la couronne sont dans la partie haute. |
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Baie
4, vers 1440-1450. Grande verrière
de 6 mètres sur 2,20 mètres à trois
lancettes trilobées. L'ensemble est peint à
la grisaille et au jaune d'argent à l'exception
des fonds, des damas et des nimbes. Le Christ montrant
ses plaies, dont la tête est du XIXe siècle,
est entouré de saint Jean-Baptiste à gauche
et de saint Jean l'Évangéliste à
droite (tête restaurée). La partie basse
du dais qui abrite le Christ comporte une scène
de Calvaire finement dessinée (donnée
ci-dessous à gauche).
Le soubassement de droite est un simple assemblage de
fragments, ceux de gauche et du centre conservent des
traces de la scène légendaire qu'ils contenaient.
Il nous en reste les deux anges qui portent une couronne
dans le soubassement central (image ci-dessus) et, peut-être,
les restes d'une scène de martyre avec une cuve
en jaune d'argent posée sur le feu (visible en
bas à droite dans le détail du soubassement
donné ci-dessus). Au tympan, des fragments de
prophètes, un roi, un agneau et des éléments
divers. Source : Corpus Vitrearum.
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Le Christ (baie 4) - tête du XIXe siècle. |
Saint Jean l'évangéliste (baie 4).
Le fond est un somptueux damas ocre à thème
floral. |
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LA FAÇADE
OCCIDENTALE : L'ORGUE DE TRIBUNE ET LA BAIE 125 |
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L'orgue de tribune et son magnifique buffet des XVIe et XVIIe siècles. |
L'orgue de tribune, partie haute. |
L'orgue
de tribune. Initialement, l'orgue, plus petit
que l'orgue actuel, se trouvait sur le jubé qui
fermait le chur à l'ouest, un jubé
édifié par Pierre Gringoire en
1515-1517. Les sources diffèrent sur le concepteur
de ce premier orgue. Pour les auteurs de Rouen aux
cent clochers, il s'agit d'Antoine Josseline
et, pour les services de l'Inventaire et du Patrimoine,
de Jean Gaultier. En revanche, tout le monde
s'accorde sur le créateur du buffet : Nicolas
Castille. Les formes artistiques de ce premier buffet
suivent les normes de la première Renaissance.
En 1541, selon le chanoine Jouen dans son article pour
le Congrès archéologique de France
de 1926, on décide de supprimer le jubé
(résultat de la Contre-Réforme qui veut
rapprocher les fidèles du chur). C'est
pourquoi l'orgue est déplacé au revers
de la façade occidentale. Il sera plus grand
que le précédent et le nouveau buffet,
repensé par l'ébéniste Martin
Guillebert, s'efforcera de réemployer les
éléments de l'ancien. En attendant, il
faut soutenir la tribune et c'est au célèbre
normand Jean Goujon que l'on s'adresse. Celui-ci
crée deux superbes colonnes corinthiennes en
marbre noir et blanc qui suivent les proportions énoncées
par Vitruve. C'est là l'une des premières
manifestations de la seconde Renaissance. ---»»
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---»» Un bel
escalier
à vis en pierre, typique du gothique flamboyant,
que l'on appelait, selon le chanoine Jouen, le degré
du jubé, donnait accès à l'ancien
jubé. Il est déplacé sous la façade
ouest et devient «l'escalier du grand orgue, avec
la tribune duquel on le raccorde assez mal» [chanoine
Jouen]. Le degré du jubé est depuis
appelé le degré des orgues. Le
facteur Antoine Josseline est sollicité
pour concevoir le nouvel orgue.
Dans le nouveau buffet, les panneaux
du garde-corps, de chaque côté du positif,
sont de la main de Nicolas Castille, concepteur du premier
buffet. Les apôtres sont représentés
assis sur fond de coquille ; les niches qui les abritent
sont séparées par des colonnettes finement
ciselées. Selon les services de l'Inventaire
et du Patrimoine, c'est aussi à Nicolas Castille
que l'on peut attribuer les cinq figures dans la partie
inférieure du buffet : Salomon, le roi de Juda
Joram et les trois prophètes Jérémie,
Daniel et Amos. En effet, leurs habits correspondent
à la mode vestimentaire sous François
Ier.
Le buffet du positif, surmonté de deux angelots
en équilibre sur un pied, est dû à
Guillaume Lesselier en 1639-1640. Edgard Naillon dans
son ouvrage Églises de Rouen paru en
1941 indique que l'orgue a été modifié
par Lefebvre en 1680, puis restauré en 1867 par
Merklin et Schutze. L'instrument actuel date de 1995.
Il a été réalisé par la
manufacture Kern de Strasbourg.
Terminons par la poutre de gloire selon les informations
données par le chanoine Jouen pour le Congrès
archéologique de France de 1926. Dès
la disparition du jubé, on décida de placer
une remembrance du Christ à sa place.
En 1562, on dressa un fort sommier à l'entrée
du chur. En 1572, selon un document d'époque,
on le «revêt d'ais» sur lequel on
place un Christ en croix, la Vierge et saint Jean. Le
bas de la croix et les piliers qui l'entourent sont
en noyer. Cette poutre ne devait pas donner satisfaction
car, de 1623 à 1626, le huchier Pierre Duvivier
exécuta une nouvelle poutre sur laquelle on dressa
un Christ en bois de chêne de six pieds de haut,
uvre de l'imagier de Vernon, Pierre Lourdel.
En 1757-58, nouveau changement : le maître-sculpteur
Louis Cahaix et les menuisiers Le Quen et Torcy exécutent
l'actuel porte-Christ ainsi que la gloire qui s'élevait
jusqu'en 1944 au fond du sanctuaire.
Sources : 1) Congrès
archéologique de France, 89e session tenue à
Rouen en 1926, article sur l'église Saint-Maclou
par M. le chanoine Jouen ; 2) Églises de Rouen
d'Edgard Naillon, éditions Henri Defontaine,
Rouen, 1941 ; 3) L'église et l'aître
Saint-Maclou, Rouen, édité par la
Région Haute-Normandie ©2012 Inventaire
général du patrimoine culturel ; 4) Rouen
aux 100 clochers de François Lemoine et Jacques
Tanguy, éditions PTC, 2004.
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L'orgue de tribune : la calotte d'une tourelle. |
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L'orgue de tribune, détail du buffet conçu par Martin
Guillebert dans les années 1540.
Les cinq figures sur fond de coquille, au second plan, sont attribuées
à Nicolas Castille,
concepteur du premier buffet installé au-dessus du jubé
vers 1515-1517. |
L'orgue de tribune : la calotte d'une tourelle. |
L'orgue de tribune : bas-relief des apôtres sur le garde-corps
droit.
Les apôtres sur fond de coquille et séparés par
de fines colonnettes sont
de Nicolas Castille et proviennent de l'orgue du jubé (1515-1517).
Le dessous de plancher est orné de beaux caissons à
rosaces (vers 1540). |
L'orgue de tribune : un angelot sur le buffet du positif. |
Le «degré des orgues».
Escalier de pierre de style flamboyant réalisé
par Pierre Gringoire en 1515-1517 pour accéder à
l'orgue de jubé.
Il a été déplacé dans les années
1540
pour servir d'accès à l'orgue de tribune.
À droite : détail de la colonne de marbre noir
ciselée
par Jean Goujon (années 1540). |
Une sainte dans la baie 125. |
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ANGES MUSICIENS
SUR LE BUFFET DE L'ORGUE, XVIe SIÈCLE |
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Les lancettes de la baie 125. |
Baie
125, année 1487 et XXe siècle.
C'est la seule verrière de l'église dont
nous connaissons le donateur : Colette Masselin, veuve
de Pierre Dufour en 1487. La famille Dufour a été
la plus importante donatrice de l'église Saint-Maclou.
Les six lancettes trilobées de la partie inférieure
sont malheureusement cachées partiellement par
l'orgue de tribune. On peut néanmoins voir de
gauche à droite : un saint moine, sainte Marguerite
(avec une tête restaurée), saint Grégoire
le Grand (qui est, selon le Corpus, très
bien conservé), saint Nicolas (tête restaurée
au XVIe siècle), une sainte tenant une croix
(gros plan donné à gauche) et enfin un
saint vieillard tenant un bâton. L'aspect général
n'est guère attirant (beaucoup de bouche-trous,
une grisaille à peine visible). Les tympans sont
constitués d'étoiles insérées
au XXe siècle avec des lys et des rayons.
Au-dessus, la rose, d'un diamètre de 4,50 mètres,
est dans un bien meilleur état : elle a été
très restaurée au XXe siècle. Le
Père céleste tient une croix et se tient
au milieu d'une cour d'anges et de séraphins.
Vue dans son remplage flamboyant, cette cour céleste
est tout à fait magnifique, mais une paire de
jumelles est indispensable pour l'admirer.
Source : Corpus Vitrearum.
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Saint Grégoire le Grand et saint Nicolas (baie 125). |
Saint moine et sainte Marguerite (baie 125). |
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La Cour céleste dans la rose de la baie 125. |
Le Père au milieu de la cour céleste (baie 125). |
La nef et l'orgue de tribune vus depuis le déambulatoire. |
Détail de la cour céleste (baie 125). |
Détail de la cour céleste (baie 125). |
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Documentation : Congrès archéologique
de France, 89e session tenue à Rouen en 1926, article sur l'église
Saint-Maclou par M. le chanoine Jouen
+ Haute-Normandie gothique d'Yves Bottineau-Fuchs, éditions
Picard, 2001
+ Églises de Rouen d'Edgard Naillon, éditions Henri
Defontaine, Rouen, 1941
+ L'église et l'aître Saint-Maclou, Rouen, édité
par la Région Haute-Normandie ©2012 Inventaire général
du patrimoine culturel
+ Rouen aux 100 clochers de François Lemoine et Jacques Tanguy,
éditions PTC, 2004
+ Corpus Vitrearum, Les vitraux de Haute-Normandie, éditions
du Patrimoine 2001
+ La construction des églises paroissiales, du XVe au XVIIIe
siècle par Marc Venard in Revue d'Histoire de l'Église
de France, tome 73, n°190 - 1987. |
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