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Page créée en juillet 2022
Dinan
Château-musée
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Dinan
Château-musée
L'Éducation de la Vierge, pierre calcaire, XVIIIe siècle, détail

Les remparts de Dinan constituent l'une des richesses touristiques de la Bretagne. Une première campagne de construction, ordonnée par le duc Jean le Roux, démarra dans les années 1280, renforcée d'une seconde au XVe siècle. Au XIXe, des tours et des portes ont été démolies. Néanmoins il nous reste la plus grande partie de cette somptueuse enceinte fortifiée : c'est l'un des plus beaux témoignages de l'architecture militaire à la fin du Moyen Âge.
Pourquoi fortifier la ville à la fin du XIIIe siècle ? L'utilité de ces travaux laisse les historiens perplexes. La Bretagne est en paix, la France ne se soucie pas de l'Armorique et les Anglais sont absorbés par leurs conflits contre les Gallois et les Écossais. De plus, la superficie close est immense : trente hectares, à l'époque deux fois Saint-Malo et trois fois Rennes. Jean le Roux prévoit-il un accroissement de la population ? Pourtant, à cette époque, l'activité commerciale, liée à la navigation sur la Rance, se réduit. En effet, le tonnage des navires marchands augmente et les gabarres sont désormais seules à pouvoir naviguer jusqu'à Dinan. Le commerce malouin a pris la relève. Malgré les maisons et nombre de couvents, il restera toujours des secteurs non bâtis à l'intérieur de l'espace clos dinannais. Aujourd'hui, ceux-ci sont devenus potagers ou jardins d'agrément.
En 1380, le second Jean de Montfort, devenu le duc Jean IV pour contrer les prétentions invasives françaises, décide de renforcer les fortifications de Dinan dans l'angle sud-ouest de l'enceinte. Le donjon sera son logement ducal et le centre de son administration. La guerre de Cent Ans terminée (1453), la menace française ressurgit, et l'artillerie du roi est bien plus redoutable qu'un siècle plus tôt. Il faut donc repenser la structure de la muraille non seulement à Dinan, mais dans toutes les villes frontières de Bretagne.
De 1476 à 1488, cinq tours s'ajoutent aux remparts dinannais. Dans soixante paroisses autour de la ville, les hommes sont réquisitionnés pour creuser des douves et élever des contrescarpes. En 1487, l'ancienne église Saint-Malo, située hors les murs, est détruite pour ne pas servir de point d'appui à l'ennemi. Tout cela ne servira à rien : lors de la guerre d'Indépendance (1487-1491), la ville se rendra sans combattre en 1488 à Jean II de Rohan, commandant de l'armée du roi de France, Charles VIII.
Au début du XVIIIe siècle, des tours sont aménagées pour y enfermer des centaines de prisonniers de guerre, essentiellement des marins anglais capturés par les corsaires malouins. Sous la Terreur, ce sont les prêtres qui prendront leur place, puis les détenus de droit commun jusqu'au début du XXe siècle.
La ville de Dinan ouvre un premier musée «d'archéologie monumentale et de sciences naturelles» en 1843 au rez-de-chaussée de l'Hôtel de Ville. Il rassemble des gisants et des objets hétéroclites, parfois offerts par les Dinannais. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, le musée s'enrichit de dépôts de l'État et du musée du Louvre. Ce sont surtout des peintures et des antiquités (Égypte, Chypre, Italie). Trop à l'étroit, le musée déménage en 1908 dans le château où il va rester jusqu'en 2014. Entre-temps, dans les années 1950 et 1960, des collections ethnographiques (mobilier, vêtements et coiffes) viendront encore l'enrichir.

Du Guesclin par Emmanuel Frémiet, détail
Vue d'une salle du château-musée.
Vue d'une salle du château-musée.

Avertissement. Les photos du château-musée présentées ici datent de l'année 2013. Elles ne correspondent plus à ce que les visiteurs peuvent voir car le côté «musée» a été supprimé.

Actuellement, les salles du château sont celles d'une forteresse médiévale : on y trouve simplement des panneaux concernant la vie dans le château et l'art militaire au Moyen Âge.

En 2022, toutes les œuvres d'art (tableaux, sculptures, statues, pièces de retable, etc.) sont dans les réserves. La municipalité de Dinan attend qu'un bâtiment puisse les accueillir pour se doter d'un vrai musée d'Art et d'Histoire.

Le donjon
Le donjon du château est érigé dans les années 1380 sur l'ordre de Jean IV, duc de Bretagne.
Le donjon, haut de 30 mètres et dépourvu de canonières,
est avant tout un symbole d'autorité de la nouvelle dynastie.
Jusqu'à l'époque de Louis XIV, il était coiffé d'une toiture pentue.
Porte Saint-Malo et les vestiges de la muraille
La Porte Saint-Malo montre les deux périodes de construction des remparts.
À la tour ronde de la fin du XIIIe siècle s'est ajoutée, au XVe, une tour carrée avec pont-levis.
À l'origine, les douves se situaient deux mètres plus bas : l'ouverture
que l'on voit dans la tour ronde n'était pas au niveau du sol.
La muraille, la tour du Connétable et l'église Saint-Malo
La muraille, la tour du Connétable et l'église Saint-Malo.
La tour du Connétable (XVe) abritait de belles salles voûtées
protégées par des murs de cinq mètres d'épaisseur.
L'entrée de l'ancienne chapelle
L'entrée de l'ancienne chapelle.
Elle a servi d'entrée provisoire au château-musée.

La tour de Coëtquen ---»»»
Construite, comme la tour du Connétable, au XVe siècle, elle abritait des
salles voûtées protégées par des murs de cinq mètres d'épaisseur.

La tour de Coëtquen
La vallée de la Rance et la tour Sainte-Catherine
Le port de Dinan, la vallée de la Rance et la tour Sainte-Catherine.
Jusqu'au XIIe siècle, le port de Dinan était très actif car le faible tirant d'eau des navires leur permettait de remonter le fleuve jusqu'à Dinan.
À partir du XIIIe siècle qui vit l'accroissement de la taille des navires, c'est le port de Saint-Malo qui a pris le relais.
Seules les gabarres purent continuer à naviguer jusqu'à Dinan.
L'ANCIENNE CHAPELLE DU CHÂTEAU
L'ancienne chapelle
L'ancienne chapelle.
Elle est située juste après l'entrée dans le donjon.
Retable en pierre calcaire
Retable en pierre calcaire à décor Renaissance.
Ce haut-relief vient de la nef de l'abbaye de Beaulieu.
Retable en pierre calcaire
Retable en pierre calcaire à décor Renaissance, détail.
La Sainte Trinité (fin du XVIe siècle)
La Sainte Trinité.
Bois polychrome, fin du XVIe siècle.
Œuvre sculptée par un atelier morlaisien.
La colombe, sur la tête du Père céleste, a disparu.
La Vierge à l'Enfant
La Vierge à l'Enfant.
XVIe siècle
Céramique peinte, Bourgogne.
La Vierge piétine un serpent crachant une pomme.
Panneaux de la légende des saints Cosme et Damien
Panneaux de la légende des saints Cosme et Damien (XVe siècle ?)
Cosme et Damien, martyrs sous Dioclétien, sont les patrons des médecins et des pharmaciens.
Sainte Barbe
Sainte Barbe.
Fin du XVIe siècle
Bois polychrome, atelier de Morlaix.
La sainte porte la tour de son emprisonnement
dans la main droite.
Dans la main gauche, elle tenait vraisemblablement
la palme des martyrs.
L'Éducation de la Vierge
L'Éducation de la Vierge.
Pierre calcaire, XVIIIe siècle.
TROIS PANNEAUX DE LA LÉGENDE DES SAINTS COSME ET DAMIEN (XVe SIÈCLE ?)
Refus des saints de sacrifier aux idoles
Refus des saints de sacrifier aux idoles.
Jugement du gouverneur Lysias de la ville d'Eges en Cilicie
Jugement du gouverneur Lysias de la ville d'Eges en Cilicie.
Lysias est attaqué par les esprits malins
Lysias est attaqué par des esprits malins.
DIVERSES SALLES DU CHÂTEAU-MUSÉE
«Portrait de Néel de la Vigne (1752-1832)»
«Portrait de Néel de la Vigne (1752-1832)»
Huile sur toile anonyme datée de 1832.

Charles Roland Néel de la Vigne (1752-1832).
Son important rôle dans la ville de Dinan s'étale du règne de Louis XVI à celui de Louis-Philippe. Il fut maire, sous-préfet, député de Dinan, bienfaiteur de la ville et riche négociant.
C'est à lui que les Dinannais doivent la translation du cœur de Du Guesclin à l'église Saint-Sauveur.
Source : panneau affiché dans le château-musée.

Ange à la trompette (début du XIXe siècle)
Ange à la trompette.
Bois polychrome, début du XIXe siècle.
Œuvre conservée auparavant
dans l'ancien couvent des Dominicains.
Buste de sainte(e) du XVIIIe siècle
Buste de saint ou de sainte.
Bois polychrome, XVIIIe siècle.
Scène hollandaise (XVIe siècle)
Scène hollandaise, XVIe siècle.
Ivoire (valve de miroir ?)
Résurrection (XIIIe siècle, pierre tendre)
Salle aux murs lambrissés
Salle aux murs lambrissés.
Saint Julien l'Hospitalier
Saint Julien l'Hospitalier.
Hêtre, première moitié du XVIe siècle.
Atelier brabançon, Flandre, Vallée de la Meuse.
Une salle et ses vitrines
«Portrait de Charles Duclos Pinot (1704-1772)»
«Portrait de Charles Duclos Pinot (1704-1772)»

Charles Pinot, sieur du Clos (1704-1772)
Membre de la bourgeoisie éclairée de la ville, Charles Pinot fut maire de Dinan de 1744 à 1749. Cet érudit jouit d'un grand prestige. Il fut député aux États de Bretagne, successeur de Voltaire en 1749 au poste d'historiographe du roi Louis XV, secrétaire perpétuel de l'Académie française en 1755.
Dinan lui doit d'importants travaux de modernisation de la ville dans les années 1740. C'est lui qui fit mettre en chantier l'aménagement des promenades d'agrément sur la contrescarpe autour des remparts.
Source : Dinan, L'Histoire en Héritage.

Statue de saint Roch montrant son bubon
Statue de saint Roch montrant son bubon.
Bois polychrome, XVIIIe siècle.

Saint Roch est invoqué contre la peste.
Dinan subit une épidémie de peste en 1622 et 1637. La confrérie de la Sainte-Épine, dont le siège était à l'église Saint-Malo, intercéda pour que l'épidémie cesse. (Selon un père capucin, cette église possédait une relique de la couronne du Christ.)
La peste réapparut en 1666. Cette fois, les échevins s'adressèrent à saint Roch pour qu'il intercède auprès du Ciel.
La peste frappa encore Dinan au XVIIIe siècle, notamment en 1778.
Source : panneau affiché dans le château-musée.

«««--- Une salle du château-musée et ses vitrines.
«Vue du château de Dinan» par Eugène Cicéri (1813–1890)
«Vue du château de Dinan»
par Eugène Cicéri (1813-1890)
Seconde moitié du XIXe siècle, aquarelle et traits de crayon noir.
Eugène Cicéri mit son talent au service des grands recueils du baron Taylor, notamment pour la Bretagne.
L'amour triomphant du mal et de la mort
L'amour triomphant du mal et de la mort.
Ivoire sculpté,
XVIe siècle.

«««--- Résurrection
Pierre tendre, XIIIe siècle.
«Saint Roch et son chien»
«Saint Roch et son chien»
Vue d'ensemble d'une salle «Vue du château» par Louis-François Cassas (1756-1827)
«Vue du château»
par Louis-François Cassas (1756-1827)
Dessin à la mine de plomb, 29 juillet 1776.

«««--- Vue d'ensemble d'une salle du château-musée.
L'actuel château (qui se visite) ne comprend plus que des pièces meublées uniquement
par des panneaux informatifs tels qu'on en voit sur la photo ci-contre.

Statue de Saint Maudez
Saint Maudez (ou Maudé) bénissant.
XVIIIe siècle.
Le saint porte l'habit de culte
des curés du XVIIIe siècle.
«Vue du mur de la ville de Dinan du côté de la petite rivière du même nom» par Louis–François Cassas (1756–1827)
«Vue du mur de la ville de Dinan du côté de la petite rivière du même nom»
par Louis-François Cassas (1756-1827)
Dessin à la mine de plomb.

Saint Maudez. C'est l'un des innombrables saints bretons non reconnus par l'Église. Né au VIe siècle et fils d'un roi d'Irlande, Maudez veut se consacrer à la religion, mais une épidémie de peste tue ses frères et sœurs. Obligé de se marier pour assurer la descendance, il préfère fuir en Bretagne (année 528) et débarque à Port-Béni, dans l'estuaire de la rivière de Tréguier. Il crée un ermitage près de Lesvoan, puis rejoint l'île Modez. Il y fonde un monastère et y meurt vers l'an 600.
Dans sa légende, saint Maudez purge de ses serpents et autres bêtes venimeuses l'île Modez. De là est née une coutume : prendre une pincée de terre de cette île et la répandre dans les étables afin de protéger les animaux.
Source : Le Livre des Saints Bretons de Bernard Rio.

Vue d'ensemble d'une salle
Vue d'ensemble d'une salle.
«La porte de Brest» par Walsh Jackson
«La porte de Brest»
par Walsh Jackson.
Huile sur toile, XIXe et XXe siècles.
La porte de Brest a été démolie entre fin 1880 et mars 1811.
«Combat de Bertrand Du Guesclin et de Thomas de Cantorbery» par Artus d'Espagne
«Combat de Bertrand Du Guesclin et de Thomas de Cantorbery»
par Artus d'Espagne
Huile sur toile, XIXe siècle.
«Le port de Dinan» par George Clarkson Stanfield (1828-1878)
«Le port de Dinan»
par George Clarkson Stanfield (1828-1878)
Huile sur toile, 1871.
Dès 1852, le viaduc, facilite l'accès à la ville. En 1879, il permettra l'arrivée du train à Dinan.

Le combat de Bertrand Du Guesclin et de Thomas de Cantorbery (2/2).
---»» La place du marché est choisie comme lieu du duel. Le duc de Lancastre, accompagné de vingt seigneurs anglais, s'y rend en personne, après avoir reçu des otages en gage de sa sûreté (ou des sauf-conduits selon les sources). La foule se presse pour assister à la joute tandis que Lancastre prend place «sur un amphithéâtre richement décoré». Aristide Guilbert laisse ici la part d'exaltation de la légende envahir son récit. Il écrit : «Dans ce combat, longtemps disputé, Du Guesclin se surpassa ; il déploya une légèreté, une adresse, un sang-froid, une intrépidité, qui éblouirent les yeux attachés à tous ses mouvements. Lorsqu'il eut terrassé et désarmé Thomas de Cantorbery, on eut bien de la peine à détacher ce lion courroucé de sa proie.» À la demande de Lancastre, le Breton fit grâce à son ennemi gisant à terre.
Aristide Guilbert parle ensuite d'un banquet donné, le soir même, à Du Guesclin, un banquet où Lancastre et les seigneurs anglais furent invités «et où ils ne se trouvèrent pas les moins empressés à louer le courage du Breton». Peu après, et avant l'expiration de la trève, les Anglais reçurent l'ordre du roi Édouard III de lever immédiatement le siège.
Laissons la légende de côté. Peter Meazey dans l'ouvrage Dinan, l'Histoire en Héritage donne une information qui semble quand même plus sérieuse : Lancastre condamne Cantorbery à libérer son prisonnier et à lui verser la somme que lui-même exigeait pour le relâcher. Ensuite, Du Guesclin s'en retourne à Pontorson et le siège de Dinan continue. Ne pouvant prendre la ville par manque d'engins de guerre adéquats, les Anglais abandonnent le siège quelques semaines plus tard et vont renforcer les troupes qui assiègent Rennes.
Sources : 1) Histoire des villes de France par Aristide Guilbert, éditions Furne-Perrotin-Fournier, 1844 ; 2) Dinan, l'Histoire en Héritage, de Peter Meazey et Yvon Blanchot, 2002.

Statue de du Guesclin par Emmanuel Fremiet
Reproduction en bronze doré, et datée de 1906,
de la statue de Du Guesclin érigée en 1902
sur la place Du Guesclin à Dinan.
Œuvre d'Emmanuel Frémiet (1824-1910).
«Hommage funéraire rendu à Duguesclin» par Charles–Alexandre Debacq (1804–1853)
«Hommage funéraire rendu à Duguesclin»
par Charles-Alexandre Debacq (1804-1853)
Huile sur toile, 1837.

Le combat de Bertrand Du Guesclin et de Thomas de Cantorbery (1/2).
Durant la guerre de Succession de Bretagne (1341-1379), Jean de Montfort, soutenu par les Anglais, s'oppose à Charles de Blois, époux de Jeanne de Penthièvre, soutenu par le roi de France, oncle de Charles de Blois. En France, la guerre de Cent Ans a démarré en 1337.
En 1357 (ou 1359 selon les sources), le duc de Lancastre met le siège devant Dinan. Charles de Blois envoie Du Guesclin et six cents hommes renforcer la défense de la ville. Les assauts anglais se succèdent, mais n'arrivent à rien. La cité assiégée ne pouvant recevoir de vivres, la famine menace. Les Dinannais obtiennent alors une trêve de quinze jours. À l'issue de ce délai, prévoit l'accord, s'ils n'ont pas reçu de secours, ils doivent se rendre.
Le jeune frère de Du Guesclin, Olivier, fait partie des défenseurs de la cité. Pendant la trève, il sort des murailles et se promène à cheval, seul, dans la campagne. Un capitaine anglais, Thomas de Cantorbery, accompagné de trois hommes, le fait prisonnier au mépris de l'accord. Le même jour, informé de la capture de son frère, Du Guesclin, en proie à la colère, se précipite sur sa monture, galope vers le camp anglais et demande réparation au duc de Lancastre. Cantorbery, que l'on fait venir, jette son gantelet devant le chevalier breton. Le défi est lancé.
Dans la ville, les habitants sont inquiets : le plus acharné de leurs défenseurs s'est rendu, seul, chez l'ennemi ! Selon Aristide Guilbert (Histoire des villes de France, 1844), ils reprennent foi en écoutant une jeune Dinannaise, Tiphaine Raguenel, fille du vicomte de la Bellière, connue pour posséder une sorte de don de prophétie. Elle leur annonce en effet qu'ils vont revoir le héros au milieu d'eux, dans la journée même, et qu'il «déconfirait» son ennemi dans le champ-clos où il allait descendre. ---»» Suite 2/2

Tête de bonhomme sur une arcade
Tête de bonhomme sculptée sur une arcade en granit
dans une salle du château-musée.
«Combat de Bertand Du Guesclin et de Thomas de Cantorbery», détail
«Combat de Bertand Du Guesclin et de Thomas de Cantorbery», détail.
par Artus d'Espagne.
Portait de du Guesclin
Portait de Du Guesclin.
Peinture anonyme.
«Vue du port de Dinan» par Isidore Dagnan (1794-1873)
«Vue du port de Dinan» par Isidore Dagnan (1794-1873)
Huile sur toile, 1830.
«Vue du port de Dinan» par Isidore Dagnan, détail
«Vue du port de Dinan» par Isidore Dagnan, détail.


«Le port de Dinan», détail ---»»»
par George Clarkson Stanfield (1828-1878),
«Vue de Dinan prise au–dessus du viaduc» par Meere (XIXe–XXe siècle)
«Vue de Dinan prise au-dessus du viaduc»
par Meere (XIXe-XXe siècles)
Huile sur toile, 1923.
«Le port de Dinan» par George Clarkson Stanfield (1828–1878), détail

Documentation : Panneaux affichés dans le musée
+ «Laissez-vous conter le château-musée», Ville de Dinan
+ «Dinan, l'Histoire en Héritage», édition Communicom, 2002
+ «Le Livre des Saints Bretons» de Bernard Rio, Éditions Ouest-France, 2018
+ «Histoire des villes de France» par Aristide Guilbert, éditions Furne-Perrotin-Fournier, 1844.
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