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Page créée en nov. 2012
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«Saint Pierre repentant» attribué à Francesco Fracanzano (partiel)

Le musée des Beaux-Arts d'Angers possède de belles collections de tableaux, notamment celle du XVIIIe siècle français. Si vous aimez l'art classique et les petits amours, vous serez comblé. Fragonard, Boucher, Watteau, Van Loo, Hallé vous attendent au deuxième étage. Ajoutons-y un merveilleux «Enlèvement des Sabines» de van Mieris et une somptueuse Vierge à l'Enfant de Pierre Mignard. Le rez-de-chaussée avec son parcours «Histoire d'Angers» a été rénové en 2004. C'est une galerie assez sombre qui n'est éclairée que par les lumières projetées sur les objets, les statues et les tableaux disposés derrière des vitres. Cette galerie évoque l'histoire de la ville depuis le Néolithique jusqu'à nos jours.
Au niveau architectural, le musée d'Angers n'a pas de cachet particulier : ce n'est pas une ancienne abbaye, pas plus qu'un hôtel particulier du XVIIe ou encore un palais Renaissance. Les seules salles que l'on pourrait trouver un peu typiques sont celles des collections du XVIIIe français, dont la photo ci-dessous donne un aperçu.
Cette page présente quelques œuvres du musée dans différentes collections : Moyen Âge et logis Barrault ; salle Renaissance, salles du XVIIIe siècle. Quelques toiles du peintre angevin Guillaume Bodinier terminent la visite.

L'Enfant Jésus dans le tableau de Pierre Mignard
Vue d'une salle des Beaux Arts du XVIIIe siècle
Vue d'une salle des Beaux Arts du XVIIIe siècle.
Le bâtiment extérieur
Le bâtiment extérieur n'a guère de cachet.
Vitrail Renaissance dans la salle du logis Barrault
Vitrail Renaissance dans la salle du logis Barrault
Un soldat.
Vitrail Renaissance dans la salle du logis Barrault
La tour Saint Aubin
La tour Saint Aubin à côté du musée.
C'est le beffroi de l'ancienne abbaye Saint-Aubin.
La salle voûtée du logis Barrault
La salle voûtée du logis Barrault
dit «Passage des musées», fin XVe siècle.

Magnifique voûte à liernes et tiercerons, dont le profil
aplati - peu courant - représente une prouesse technique.
Vitrail Renaissance
Vitrail Renaissance
dans la salle du logis Barrault
Sainte Catherine d'Alexandrie.
Cul–de–lampe sculpté et doré
Cul-de-lampe sculpté et doré
dans la salle du logis Barrault.
«««--- À GAUCHE
Vitrail Renaissance dans la salle du logis Barrault, Vierge à l'Enfant.
SALLES «HISTOIRE D'ANGERS»
Salle «Histoire d'Angers» refaite en 2004
Salle «Histoire d'Angers» refaite en 2004.
Ici, le Moyen Âge.
Statue de saint René
Statue de saint René
Œuvre d'Henri Bouriché, 1860.
Vierge à l'Enfant
Vierge à l'Enfant
Anonyme, Terre cuite, vers 1620-1630.
Olifant, Ivoire, travail byzantin, XIIe siècle
Olifant, Ivoire, travail byzantin, XIIe siècle
Pièce du trésor de la cathédrale Saint-Maurice.
Cet olifant a longtemps servi à la cathédrale pour remplacer les cloches
aux messes des trois derniers jours de la Semaine Sainte.
Fragments du tombeau de Jean Olivier
Fragments du tombeau de Jean Olivier
évêque d'Angers de 1532 à 1540.
Vierge à l'Enfant
Vierge à l'Enfant
Anonyme, terre cuite, vers 1620-1630
(partiel).
Priant de Donadieu de Puycharic (partiel)
Priant de Donadieu de Puycharic (partiel)
Attribué à Gervais Delabarre (vers 1570?-1644)
Marbre, entre 1607 et 1613.
Olifant, trésor de la cathédrale
Olifant, trésor de la cathédrale
La bordure est sculptée d'animaux fantastiques.

«Angers vue depuis l'amont»    ---»»»
Artiste inconnu (Hippolyte Buffet (?)
Huile sur toile, 1840.
«Angers vue depuis l'amont»
Guidon de la confrérie des serruriers, fer forgé, daté 1635 Salle «Histoire d'Angers»
Salle «Histoire d'Angers»
L'archéologie.

«««--- À GAUCHE
Guidon de la confrérie des serruriers, fer forgé, daté 1635.
Saint Pierre est représenté au centre de la plateforme.
Deux anges porteurs des instruments de la Passion
Deux anges porteurs des instruments de la Passion.

Angers «On the Loire»    ---»»»
George Clarkson Stanfield (1828-1878)
Le peintre anglais a confondu la Loire et la Maine !
Angers «On the Loire»
SALLE RENAISSANCE
La salle Renaissance du musée d'Angers
La salle Renaissance du musée d'Angers.
«La Circoncision» du maître à l'œillet de Baden
«La Circoncision» du maître à l'œillet de Baden.
Allemagne du sud, vers 1500
Huile sur bois, fin du XVe siècle, début du XVIe siècle.

«La Circoncision» : On remarquera l'œillet et le brin de lavande dans le bas du tableau à droite. L'œillet et le brin de lavande posés sur le sol constituent un signe distinctif utilisé par des ateliers suisses de la fin du XVe et du début du XVIe siècle. On les appelle «les maîtres à l'œillet». Ils ont été actifs à Fribourg, Berne, Zurich, Soleure et Baden. Voir le «Retable de la Passion du Christ» par le même maître au musée des Beaux-Arts de Dijon.

L'œillet et la lavande dans «La Circoncision», en bas à droite du tableau
Coffre avec plaques sculptées en ivoire
«La Sainte Famille à l'agneau»
«La Sainte Famille à l'agneau»
Atelier de Raphaël (1483-1520)
Huile sur bois, Premier quart du XVIe siècle.
«La Vierge, saint Jean–Baptiste et un ange adorant l'Enfant Jésus» Anonyme, Florence, XVe siècle
«La Vierge, saint Jean-Baptiste et un ange adorant l'Enfant Jésus» Anonyme, Florence, XVe siècle
Huile sur bois, vers 1479 (?)
«La Descente de croix»
«La Descente de croix»
Colijn de Coter (1455-1540)
Début du XVIe siècle, Huile sur bois.

«««--- À GAUCHE
Coffre avec plaques sculptées en ivoire.
«La Circoncision» du maître à l'œillet de Baden, détail
«La Descente de croix» de Colijn de Coter (1455–1540)
«La Descente de croix» de Colijn de Coter (1455-1540), détail.

«««--- «La Circoncision» du maître à l'œillet de Baden
Allemagne du sud, vers 1500, détail.
LE CABINET DES COLLECTIONNEURS
Le Cabinet des collectionneurs (œuvres du XIIe au XVIe siècle)
Le Cabinet des collectionneurs
(œuvres du XIIe au XVIe siècle).
Céramique «Le Jugement de Pâris»
Céramique «Le Jugement de Pâris»
Faïence Urbino, vers 1540-1550, d'après Marcantonio Raimondi.
Sculpture «Valve de miroir ornée de l'attaque du château d'amour»
Sculpture «Valve de miroir ornée de l'attaque du château d'amour»
Vers 1330-1350, Ivoire.
«La Crucifixion», vers 1505
«La Crucifixion» par la maître de Hoogstraeten, détail
«La Crucifixion» par la maître de Hoogstraeten, détail.

«««--- À GAUCHE
«La Crucifixion», vers 1505
Huile sur bois par la maître de Hoogstraeten
Début du XVIe siècle
Sculpture «Valve de miroir ornée de l'attaque du château d'amour»
Sculpture «Valve de miroir ornée de l'attaque du château d'amour»
Première moitié du XIVe siècle, Ivoire, anonyme, Paris.
Céramique «Le Parnasse»
Céramique «Le Parnasse»
1542, Faïence
Anonyme, Urbino
d'après Marcantonio Raimondi (1480-1534).
Émaux «Hector le Troyen»
Émaux «Hector le Troyen»
Première moitié du XVIIe siècle
Émail peint sur cuivre
par Colin Noualhier (actif à Limoges de 1539 à 1574).
Coupe ornée du Jugement de Pâris
Coupe ornée du Jugement de Pâris
Troisième quart du XVIe siècle
Émail peint sur cuivre.
Pierre Corteys (actif à Limoges de 1544 à 1580).
Céramique «Le Parnasse», la partie centrale
Céramique «Le Parnasse», la partie centrale
1542, Faïence, Anonyme, Urbino.
«La Vierge à l'Enfant entourée de saints» attribué à Roger Van der Weyden
«La Vierge à l'Enfant entourée de saints»
attribué à Roger Van der Weyden (1399-1464)
Huile sur bois, milieu du XVe siècle.
«Le Christ devant Pilate» (partie centrale)
«Le Christ devant Pilate» (partie centrale)
par le maître de sainte Gudule, vers 1430
Huile sur bois.

Le maître de sainte Gudule est un nom de convention donné à un artiste anonyme bruxellois de la fin du XVe siècle.
Cette précision affichée dans le musée à côté de la toile n'est guère cohérente :
1430 (date associée à la toile) n'est pas à la fin du XVe siècle.
SALLES DES BEAUX ARTS, XVIIIe & XIXe SIÈCLES
Vue d'une des salles du XVIIIe siècle
Vue d'une des salles du XVIIIe siècle
avec la toile «La Vierge adorant l'Enfant Jésus» de Luca Giordano.
«Le Christ et la Madeleine»
«Le Christ et la Madeleine»
Charles de La Fosse (1636-1716)
Huile sur toile, XVIIe siècle.

«L'Apparition du Christ aux Saintes Femmes»
«L'Apparition du Christ aux Saintes Femmes»
attribué à Charles de La Fosse (1636-1716)
Huile sur toile, vers 1680.

«La Vierge adorant l'Enfant Jésus»
«Jésus retrouvé au temple par ses parents»
«Jésus retrouvé au temple par ses parents»
Philippe de Champaigne (1602-1674)
Huile sur toile, 1663.
«Le Christ et la Madeleine» de Charles de La Fosse
«Le Christ et la Madeleine» de Charles de La Fosse
Gros plan sur Marie-Madeleine.

«««--- À GAUCHE
«La Vierge adorant l'Enfant Jésus»
Luca Giordano (1632-1705), Huile sur toile, XVIIe siècle.
«Saint Pierre repentant»
«Saint Pierre repentant»
attribué à Francesco Fracanzano (1612-1656)
Huile sur toile, première moitié du XVIIe siècle.
«Moïse sauvé des eaux»
«Moïse sauvé des eaux»
Nicolas Loir (1624-1679)
Huile sur toile, XVIIe siècle.
«La Vierge, l'Enfant Jésus et saint Jean-Baptiste»
ATTENTION, CHEF D'ŒUVRE!
«La Vierge, l'Enfant Jésus et saint Jean-Baptiste»
Pierre Mignard (1612-1695)
Huile sur toile, entre 1645 et 1648.
Voir un détail agrandi plus bas.
«L'Annonciation»
«L'Annonciation»
Francesco Solimena (1657-1747)
Huile sur toile, vers 1690.
«La flotte hollandaise dans la rade d'Amsterdam»
«La flotte hollandaise dans la rade d'Amsterdam»
Abraham Storck (1644-1708)
Huile sur toile, XVIIe siècle
Le vaisseau à deux ponts, sur la gauche, est le De Zeven Provincien, navire amiral de Michel de Ruyter, commandant
en chef de la flotte des Provinces-Unies pendant la deuxième guerre anglo-hollandaise (1665-16676).
«Vue d'un village»
«Vue d'un village»
Joris van der Hagen (1620-1669)
Huile sur bois, XVIIe siècle.
«La Vierge, l'Enfant Jésus et saint Jean–Baptiste»
«La Vierge, l'Enfant Jésus et saint Jean-Baptiste»
Pierre Mignard (1612-1695).
La peinture de l'Enfant Jésus, la mine réjouie, les yeux pétillant de malice,
qui s'apprête à se jeter sur le téton de sa mère, confine au sublime.
«Le souper d'Emmaüs»
«Le souper d'Emmaüs»
Philippe de Champaigne (1602-1674)
Huile sur toile, vers 1656.
Vue des salles du XVIIIe siècle
Vue des salles du XVIIIe siècle.
«L'Enlèvement des Sabines»
«L'Enlèvement des Sabines»
Willem van Mieris (1662-1747)
Huile sur bois, 1698.

«L'Enlèvement des Sabines» : Assurément, l'une des plus belles toiles du musée des Beaux-Arts d'Angers. On y reconnaît la griffe de van Mieris : aucun coup de pinceau n'est décelable! À croire que la scène a été peinte sur de la porcelaine et cuite au four selon les règles de l'art. En fait, le peintre a travaillé son tableau à outrance, ce qui explique qu'il ne soit pas très grand (environ 50 cm de large).
Il faut venir au musée et admirer la toile à vingt centimètres de distance !
Un agrandissement de la partie centrale est donné ci-dessous à gauche.

«L'Enlèvement des Sabines» (partie centrale)
«L'Enlèvement des Sabines» (partie centrale)
Willem van Mieris (1662-1747).
La toile ressemble à de la porcelaine : aucun coup de pinceau n'y est décelable.
«Bethsabée au bain»
«Bethsabée au bain»
Jean-François de Troy (1679-1752)
Huile sur toile, 1727.
Une salle du XVIIIe siècle avec sculptures du même  siècle
Une salle du XVIIIe siècle avec sculptures du même siècle.
«Le retour de Priam avec le corps d'Hector»
«Le retour de Priam avec le corps d'Hector»
Joseph-Marie Vien (1716-1809)
Huile sur toile, 1785.
«Combat des Romains et des Sabins interrompu par les femmes Sabines»
«Combat des Romains et des Sabins interrompu par les femmes Sabines»
François-André Vincent (1746-1816)
Huile sur toile, 1781.
«Enée sauve son père Anchise et son fils Ascagne de l'incendie de Troie»
«Enée sauve son père Anchise et son fils Ascagne de l'incendie de Troie»
Carl van Loo (1705-1765)
Huile sur toile, après 1729.
«Narcisse»
«Narcisse»
Jean-Pierre Cortot (1787-1843)
Marbre, 1818.
«Corbeille de raisons, avec trois pommes d'api, une poire et deux galettes»
«Corbeille de raisons, avec trois pommes d'api, une poire et deux galettes»
Jean Siméon Chardin (1699-1779)
Huile sur toile, 1764.
«Céphale et Procris»
«Céphale et Procris»
Jean-Honoré Fragonard (1732-1806)
Huile sur toile, vers 1750-1755.
«Astyanax arraché des bras d'Andromaque par l'ordre d'Ulysse»
«Astyanax arraché des bras d'Andromaque par l'ordre d'Ulysse»
François-Guillaume Ménageot (1744-1816. Huile sur toile, 1783
(Voir une note sur le peintre Ménageot à l'église Saint-Eustache de Paris)
On se remémorera ces vers d'Oreste :
  «J'apprends que pour ravir son enfance au supplice
Andromaque trompa l'ingénieux Ulysse
tandis qu'un autre enfant, arraché de ses bras,
sous le nom de son fils fut conduit au trépas.»
(Racine, «Andromaque», Acte I, scène 1).
«Le Bon Samaritain»
«Le Bon Samaritain»
Jean Restoud (1692-1768)
Huile sur toile, 1736.
«Renaud dans les bras d'Armide»
«Renaud dans les bras d'Armide»
Jean-Baptiste van Loo (1684-1745)
Huile sur toile, vers 1735. Voir une partie en gros plan à droite ---»»»
Sculpture «Étude de vieillard»
Sculpture «Étude de vieillard»
Pierre-Philippe Laurent (1746-1816)
Terre cuite, vers 1774
Philippe Laurent fut un des professeurs du peintre David.
Le sculpteur David d'Angers rédigea son éloge mortuaire.
À DROITE ---»»»
«La Surprise» est une esquisse pour la décoration du
salon du château de la comtesse du Barry à Louveciennes.

«La Surprise»
«La Surprise»
Jean-Honoré Fragonard (1732-1806)
Huile sur toile, vers 1771.

«Renaud dans les bras d'Armide» de Jean–Baptiste van Loo (partiel)
«Renaud dans les bras d'Armide» de Jean-Baptiste van Loo (partiel)
ou la touche du maître dans la peinture de l'anatomie féminine...
«Paysage»
«Paysage»
Charles-François Lacroix, dit de Marseille (1700-182)
Deuxième moitié du XVIIIe
Huile sur toile.
Vue des salles du XVIIIe siècle
Vue des salles du XVIIIe siècle.
Au centre, la grande toile «Les Génies des arts» de François Boucher.
«Les Génies de Arts»
«Les Génies de Arts»
François Boucher (1703-1770).
Huile sur toile, 1761.
«Les Génies de Arts» : l'architecture
«Les Génies de Arts» : l'architecture.

Cette toile de Boucher est une allégorie des arts :
musique, architecture, dessin, sculpture et peinture.
Le tableau a été commandé par le frère de madame de Pompadour.
Il a servi de carton à une tapisserie.
«Les Génies de Arts» de François Boucher

«Les Génies de Arts» de François Boucher.
CI-DESSUS, la sculpture
«««--- À GAUCHE, le dessin.

«Les Génies de la Poésie, de l'Histoire, de la Physique et de l'Astronomie»
«Les Génies de la Poésie, de l'Histoire, de la Physique et de l'Astronomie»
Noël Hallé (1711-1781)
Huile sur toile, 1761.
C'est le pendant du tableau de François Boucher au-dessus.
L'étrange objet en bas à gauche (dans lequel regarde un putti) est une caméra oscura
utilisée par les peintres depuis la Renaissance.
«Les Génies de la Poésie, de l'Histoire, de la Physique et de l'Astronomie»
«Les Génies de la Poésie, de l'Histoire, de la Physique et de l'Astronomie»
La Physique.
«Les Génies de la Poésie, de l'Histoire, de la Physique et de l'Astronomie»
«Les Génies de la Poésie, de l'Histoire, de la Physique et de l'Astronomie»
L'Histoire.
«Mercure confie Bacchus enfant aux nymphes de l'île de Naxos»
«Mercure confie Bacchus enfant aux nymphes de l'île de Naxos»
Louis Jean-François Lagrenée, dit l'Aîné (1725-1805)
Huile sur toile, 1773.
«Portrait présumé de madame de Porcin»
«Portrait présumé de madame de Porcin»
Jean-Baptiste Greuze (1725-1805)
Huile sur toile, seconde moitié du XVIIIe siècle.
«Sapho assise»
«Sapho assise»
Vers 1852
Bronze par Jean-Jacques, dit James Pradier (1790-1852).
«Mercure confie Bacchus enfant aux nymphes de l'île de Naxos»
«Mercure confie Bacchus enfant aux nymphes de l'île de Naxos»
Louis Jean-François Lagrenée, dit l'Aîné
Partie centrale de la toile.
«Vénus et l'Amour piqué par une abeille»
«Vénus et l'Amour piqué par une abeille»
Jean-François de Troy
Huile sur toile, autour de 1750.
Vue d'une salle dont les couleurs dénotent
Vue d'une salle dont les couleurs dénotent
une mise en valeur originale..


À DROITE ---»»»
«Vue prise à Olevano»
Jean-Charles-Joseph Rémond (1795-1875)
Huile sur toile, 1828.
«Vue prise à Olevano»
«Éléažar préférant mourir que de manger de la chair défendue»
«Éléazar préférant mourir que de manger de la chair défendue»
Jean-Simon Berthélémy (1743-1811)
Huile sur toile, 1789.
«Saint André qui embrasse sa croix»
«Saint André qui embrasse sa croix»
Charles-André van Loo (1705-1765)
Huile sur toile, 1741.

«La lecture de la sentence de Marie Stuart»
«La lecture de la sentence de Marie Stuart»
Eugène Devéria
Huile sur toile, 1826
Marie Stuart, convaincue de trahison, écoute la lecture du «death warrant» (condamnation à mort) signé par Élisabeth Ière.
Toile entière et gros plan sur la partie centrale.
Aux dires des historiens, Marie Stuart était un peu plus enveloppée...
«Paolo et Francesca»
«Paolo et Francesca»
Jean-Auguste-Dominique Ingres (1780-1867)
Huile sur bois, 1819. (Le haut du tableau est tronqué.)
À DROITE ---»»»
«Femmes à la fontaine écoutant une vieille»
Guillaume Bodinier (1795-1872)
Huile sur toile. Paris, salon de 1833.
«Femmes à la fontaine écoutant une vieille», Bodinier
«Le Bon Samaritain»
«Le Bon Samaritain»
Bodinier (1795-1872), Rome 1824
Huile sur toile
Guillaume Bodinier est un peintre natif d'Angers (1795). Durant sa vie, il alterna
les séjours en France et en Italie. Son œuvre décrit des scènes pittoresques
et des paysages italiens qu'il a pu observer lors de ses excursions
dans les environs de Rome et de Naples.
«Paysanne de Frascati au confessionnal»
«Paysanne de Frascati au confessionnal»
Guillaume Bodinier, Genzamo-Rome, 1826
Huile sur toile.
«Femmes de Sorrent de Procida, environs de Naples» Guillaume Bodinier, 1835, huile sur toile
«Femmes de Sorrent de Procida, environs de Naples» Guillaume Bodinier, 1835, Huile sur toile
Paris, salon de 1836.

Documentation : panneaux du musée
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