|
|
|
À son chevet, l'église
Saint-Étienne-du-Mont propose aux visiteurs trois galeries
(que l'on pourrait qualifier de «galeries d'art») et
qui entouraient, à l'origine, un ancien petit charnier. L'église
propose aussi une vaste et très belle salle du XIXe siècle
: la chapelle
des Catéchismes.
Historiquement, en 1605, les moines de l'abbaye Sainte-Geneviève
cèdent un petit terrain au chevet de l'église paroissiale.
De 1606 à 1611, on y construit un cloître sur trois
côtés (le quatrième étant le chevet de
l'église). Voir le plan.
L'un des objectifs est d'appliquer une règle de la Réforme
catholique (appelée aussi Contre-Réforme) : administrer
la communion dans un lieu couvert, à l'extérieur de
l'église. De fait, aux XVIIe et XVIIIe siècles, c'est
là que les fidèles reçoivent l'Eucharistie
quand ils sont nombreux à l'office (ce qui se produit en
général à Pâques, lors des fêtes
solennelles ou encore pour le premier dimanche du mois). Ce cloître
entoure l'ancien petit cimetière, d'où son nom de
«Cloître des Charniers».
Actuellement, il est constitué, au sud, de la galerie où
se trouve le bureau d'accueil ; à l'est, de la galerie des
Charniers avec ses magnifiques douze verrières Renaissance
et, au nord, d'une autre galerie appelée «Salle des
Mariages». L'endroit est parfaitement conservé. On
y voit encore les pilastres doriques, les voûtes cintrées
et les arcatures de fenêtres (photo ci-dessous).
On donne dans cette page des encadrés présentant la chapelle
des Catéchismes et les verrières.
Nota : dans ces annexes de l'église, les vitraux sont répertoriés
en chiffres romains.
|
|
Au chevet de l'église, la galerie des Charniers expose douze
verrières qui comptent parmi les plus belles de Paris.
L'endroit a été parfaitement conservé depuis
sa construction (années 1606-1611) |
LA CHAPELLE DES
CATÉCHISMES (1857) |
|
Vue d'ensemble de la chapelle des Catéchismes construite en 1857
par Victor Baltard.
À l'arrière-plan, la galerie des Charniers. Sur la droite,
trois fresques relatives à la vie de Jésus (1864). |
Saint Charles Borromée
par Jules Allasseur (1865). |
La
chapelle des catéchismes. Sous Louis-Philippe,
l'épiscopat redonna vigueur à l'enseignement
de la religion aux enfants. Plusieurs églises
parisiennes se virent ainsi adjoindre une chapelle des
catéchismes. À Saint-Étienne-du-Mont,
c'est l'architecte Victor Baltard (1805-1874)
qui fut chargé de cette construction en 1857.
Le mur qui fermait la galerie des Charniers fut percé
d'une quadruple arcade (photo ci-dessus) et une vaste
salle en arc de cercle vint s'élever à
l'est. Sa voûte possède une structure métallique.
Son élévation est à deux niveaux
et les uvres d'art ne tardèrent pas à
enrichir le second. On y trouve six toiles marouflées,
relatives à la vie de Jésus et de la Vierge,
quatre statues, un retable dédié à
la Vierge, une chaire et des vitraux de l'atelier Laurent-Gsell.
L'ensemble, très harmonieux, possède un
réel éclat.
|
|
La Sainte Trinité par Victor-François Biennoury,
détail : le Père céleste. |
|
Saint Louis de Gonzague
par Henri Chapu (1865). |
La Pentecôte, toile marouflée par Félix-Henri
Giacomotti (1864). |
Le Sermon sur la montagne
Toile marouflée par Charles Timbal (1864). |
La Sainte Trinité par Victor-François Biennoury, vers
1867.
Toile murale en trèfle sur la voûte de la chapelle des Catéchismes.
|
La chapelle des Catéchismes et son retable vue depuis la galerie
des Charniers. |
Présentation de Marie au Temple.
Toile marouflée de Charles Timbal (1864). |
Le monument à la Vierge, détail.
Chapelle des Catéchismes. |
Jésus bénissant les enfants.
Toile marouflée de Félix-François Giacomotti
(1864). |
LES VITRAUX DES
CHARNIERS |
|
Les
vitraux des Charniers. À l'origine,
les galeries des Charniers accueillaient vingt-quatre
verrières disposées à hauteur d'homme.
Comme le lieu, notamment la galerie orientale, était
consacré à la communion, le thème
artistique illustrait le sacrement de l'Eucharistie
et ses symboles dans la liturgie catholique. Le but
se voulait avant tout pédagogique. Il fallait
instruire les fidèles sur les dogmes de leur
foi et les traditions de l'Église. D'où
la présence d'un cartouche dans leur partie basse.
Les historiens n'ont pas de certitude sur les ateliers
parisiens qui ont réalisé ces uvres.
Toutefois la griffe de la famille Pinaigrier
se remarque sur certaines d'entre elles. Plusieurs styles
artistiques se côtoient, ce qui conduit à
penser que les nombreux donateurs (qui étaient
les paroissiens) ont mis à contribution différents
ateliers.
Ces vitraux, datés du premier quart du XVIIe
siècle, ont été créés
avec un procédé connu depuis quelques
décennies et qui se répandait parmi les
maîtres verriers : la peinture à l'émail
sur verre blanc. Un point particulier les distingue
des vitraux traditionnels : riches de très fins
détails, ils ont été conçus
pour être regardés de près. En cela,
ils se rapprochent des vitraux civils. Jusqu'alors,
les verriers utilisaient des morceaux de verre teints
dans la masse et l'assemblage était lié
par un réseau de plomb. La peinture à
l'émail n'était utilisée que sur
de petites surfaces car elle avait un défaut
: elle laissait des zones opaques qui faisaient croire
à des taches, ce qui nuisait à la visibilité
de la scène (d'autant plus qu'aucun réseau
de plomb ne venait isoler ces «taches» des
parties environnantes). Sans doute, dans le premier
quart du XVIIe siècle, les pigments utilisés
pour la peinture sur verre s'étaient-ils améliorés
car son usage - exclusif pour les vitraux des Charniers
- est une nouveauté. (Voir l'encadré sur
les émaux en Champagne à l'église
Saint-Martin
es-Vignes de Troyes)
À l'heure actuelle, il ne reste que douze verrières
entières sur les vingt-quatre initiales, auxquelles
il faut rajouter des fragments de plusieurs autres,
visibles dans les galeries nord et sud. La vie de cette
magnifique vitrerie a en effet été très
chaotique. Au milieu du XVIIIe siècle, à
la suite d'aménagements de chapelles, deux de
ces vitraux sont déplacés dans la chapelle
de la Vierge. À la Révolution, en
1794, la totalité de la vitrerie des Charniers
(y compris les vitraux déplacés) est déposée
et gagne le centre des Petits-Augustins, géré
par Alexandre Lenoir. Peu après, deux d'entre
eux (le Jugement dernier et la Fin du monde)
partent au musée des Monuments français
décorer la «chambre sépulcrale de
François Ier». Ils sont depuis perdus.
En 1802, l'archevêque de Paris réclame
le retour de cette précieuse vitrerie dans les
Charniers de l'église. Malgré ses réticences,
Lenoir doit céder. Les vitraux regagnent les
galeries, mais sont la proie d'un nouveau péril
: en 1832, on finit par constater que des fidèles
enlèvent les morceaux brisés ! On décide
donc de les redistribuer dans les chapelles. Elles finirent néanmoins
par rejoindre presque toutes les Charniers en 1859, sous l'impulsion de Victor
Baltard. Actuellement,
l'ordre de présentation de ces verrières
est aléatoire.
Il faut faire une distinction pour le vitrail du Serpent
d'Airain (un thème tiré de l'histoire de Moïse).
Ce vitrail, créé avec du verre teinté
dans la masse et non pas de l'émail, est du XVIe
siècle. Jean Cousin est l'auteur du modèle.
À l'origine, ce vitrail était étranger
aux Charniers.
Sources : 1) Saint-Étienne-du-Mont
par Étienne Hamon & Françoise Gatouillat,
éditions Picard, 2016 ; 2) Vitraux parisiens
de la Renaissance, édité par la Direction
artistique de la ville de Paris, 1993, article de Guy-Michel
Leproux.
|
|
L'Adoration des Mages (baie I).
Vitrail Renaissance exposé dans l'aile sud des Charniers.
Premier quart du XVIIe siècle. |
|
LES VITRAUX DE LA GALERIE NORD |
|
Détail de la galerie nord avec les cinq vitraux du XVIIe
siècle. |
Saint Augustin (baie XVII).
Émaux, 1er quart du XVIIe siècle. |
Saint Étienne (baie XVII).
Émaux, 1er quart du XVIIe siècle. |
|
Décollation de saint Denis et de ses compagnons
(baie XVI).
Émaux, 1er quart du XVIIe siècle. |
Décollation de saint Denis et de ses compagnons,
détail.
Émaux, 1er quart du XVIIe siècle. |
|
La galerie nord, appelée
encore Salle des Mariages propose quelques
fragments des douze verrières disparues
et des fragments d'autres vitraux. La photo partielle
de cette galerie (donnée plus
haut) donne une idée des parties manquantes.
Le thème artistique des autres vitraux
n'est pas l'Eucharistie, mais les saints et les
saintes liés à l'histoire de la
capitale. On y voit un Saint-Étienne, une
Sainte-Geneviève avec quelques épisodes
de sa vie, la décapitation de saint Denis
et de ses compagnons et un Saint-Jean-Baptiste.
Détail de l'histoire de sainte Geneviève
(vitrail ci-contre) : Apprenant de sa fille qu'elle
veut devenir moniale, sa mère la gifle...
et devient aveugle. Avec l'eau du puits de Nanterre, la future
sainte rend la vue à sa mère.
|
|
Sainte Geneviève (baie XV).
Peinture sur verre à l'émail. |
|
|
Saint Augustin, détail (baie XVII).
Émaux, 1er quart du XVIIe siècle. |
Sainte Geneviève, détail (baie XV). |
Vitrail de sainte Geneviève, détail (baie XV).
Émaux, 1er quart du XVIIe siècle. |
|
Saint Jean-Baptiste (baie XIV) |
Saint Jean-Baptiste et l'ensemble du vitrail (baie XIV).
Ce vitrail faisait partie de la «collection» des
Charniers. |
Les
Monuments gardés. Le vitrail de droite
tire sa source d'une gravure de Léonard Gaultier.
C'est un fragment de châsse ornée de statuettes.
|
|
|
Extrait du vitrail «Les monuments gardés» (baie
XVIII).
Émaux, 1er quart du XVIIe siècle. |
LES VITRAUX DES
CHARNIERS (1er quart du XVIIe siècle) |
|
LE VAISSEAU DE L'ÉGLISE (baie III)
avec l'Arche de Noé, 1er quart du XVIIe siècle. |
LE VAISSEAU DE L'ÉGLISE (baie III)
Détail : Le Christ tient la barre.
Détail : un roi ---»»» |
|
Baie
III. Le Vaisseau de l'Église. Ce vitrail
fait un parallèle évident entre l'Église
de Rome et l'arche de Noé. Le Christ en personne
tient la barre de l'embarcation où ont pris place
un roi, un pape, un évêque, des grands
seigneurs, des bourgeois, ainsi que quelques moines.
Le vaisseau symbolise l'Église du Christ qui
poursuit sa route contre vents et marées (c'est-à-dire
les assauts des réformés). En 1602, le
Révérend Père Guillaume de Requieu
fait paraître un ouvrage intitulé : «L'Église
des fidèles assistée du Saint-Esprit contre
les violentes agitations des vents d'hérésie,
d'infidélité et d'idolâtrie».
Il est illustré d'une gravure de Léonard
Gaultier, reprise ici par le maître verrier. Le
donateur de ce vitrail est Jacques Duclou, maître
fondeur de lettres et imprimeur de l'Université.
Sources : 1) Saint-Étienne-du-Mont
par Étienne Hamon & Françoise Gatouillat,
éditions Picard, 2016 ; 2) Saint-Étienne-du-Mont,
guide illustré, E. Dumonthier, 1855.
|
|
|
LA MULTIPLICATION DES PAINS (baie IV)
avec l'Apparition à Emmaüs, 1er quart du XVIIe siècle.
|
Baie
IV. La Multiplication des Pains. Ce vitrail associe
deux épisodes bien connus du Nouveau Testament : la
multiplication des pains en haut et le repas à Emmaüs
dans la partie basse. Nous sommes ici à la fin de la
multiplication des pains puisque l'artiste a choisi de représenter,
sur la droite, les douze corbeilles remplies de pain qui subsistent
une fois que tout le monde est rassasié. Pour Emmaüs,
le thème est illustré de façon très
classique, en deux scènes. D'abord la rencontre dans
un beau décor architectural, puis le repas avec la
révélation que le voyageur est le Christ ressuscité.
Il est vraisemblable que ce vitrail a été offert
par un marguillier.
Source : Saint-Étienne-du-Mont
par É. Hamon & F. Gatouillat.
|
|
La Multiplication des pains (baie IV), détail : le Repas à
Emmaüs. |
La Multiplication des pains, détail. |
La Multiplication des pains, tympan de la baie IV. |
LE SACRIFICE D'ÉLIE ET LE SACRIFICE DES PRÊTRES
DE BAAL (baie VIII)
1er quart du XVIIe siècle. |
L'Adoration du Saint Sacrement, détail. |
|
Le Sacrifice d'Élie, détail : un hébreu. |
Baie VIII. Le sacrifice d'Élie. Le
prophète invoque Dieu. Aussitôt le buf
qu'il offre en holocauste est la proie des flammes.
Au premier plan, Élie, un genou à terre,
remercie Dieu, tandis qu'un Hébreu se prosterne.
À l'arrière-plan, des païens adorent
de fausses divinités et les prêtres de
Baal implorent leur dieu pour qu'il embrase l'animal
qu'ils lui offrent en sacrifice. Mais aucun feu ne descend
du ciel. Au XVIIIe siècle, le restaurateur Le
Vieil attribuait ce vitrail à Desangives ou à
Nicolas Pinaigrier.
Baie IX. L'Adoration du Saint
Sacrement. Le carton de ce vitrail est issu
d'une gravure anversoise. Il illustre les principaux
emblèmes de la foi catholique, rassemblés
autour d'une monstrance resplendissante. On remarque
le beau travail à l'émail dans les habits
verts et jaunes des anges et dans leurs ailes. Le cartouche
du bas a été utilisé en réempoi
: il rappelle la mise à l'abri des vitraux parisiens
en 1918 et leur repose en 1920. Source :
Saint-Étienne-du-Mont par É. Hamon
& F. Gatouillat.
|
|
L'ADORATION DU SAINT SACREMENT (baie IX)
1er quart du XVIIe siècle. |
|
LA PARABOLE DES CONVIÉS (baie X).
Le Christ invite les hommes à adorer l'Eucharistie, 1er quart
du XVIIe siècle. |
Les Hébreux ramassent la manne. |
La Parabole des Conviés, détail : le visage des
pauvres.. |
Baie
X. La parabole des conviés. Le haut
du vitrail est une illusration de la Manne. Moïse
lève sa baguette et Dieu fait tomber sur terre
des oiseaux ainsi que la manne céleste - que
des hommes et des femmes, sur la gauche, s'empressent
de recueillir.
La partie centrale reprend un thème déjà
illustré dans la baie
28 de la nef de l'église, cinquante ans plus
tôt. Le Christ, montrant l'hostie dans l'ostensoir,
invite les fidèles à venir adorer l'Eucharistie.
Il envoie ses serviteurs (qui portent une auréole)
rameuter les gens. Tous se trouvent une excuse pour
ne pas venir : l'un se marie, un autre visite la maison
qu'il vient d'acquérir, un troisième chemine avec
ses bufs malgré le geste pressant du serviteur.
En fin de compte, ce sont les pauvres, les malheureux
et les infirmes qui vont participer au banquet (premier
plan, à droite). Moralité de la parabole
: les pauvres, ne possédant rien, n'ont pas d'obligation
et sont ainsi ouverts à la parole du Christ.
Nota : La pièce où se tient le Christ
est d'aspect plus clair que le reste : elle a été
restaurée par Jean Le Vieil en 1759.
|
|
|
LE PRESSOIR MYSTIQUE (baie XI).
Ce thème date de la Contre-Réforme et illustre un dogme
catholique
rejeté par les Protestants : le vin de l'Eucharistie est le
sang du Christ. |
Le Pressoir mystique, détail : le sang jaillit des plaies
du Christ mort. |
Le Pressoir mystique, détail : Les Pères de l'Église
se saississent des grappes issues du sang du Christ. |
|
Baie
XI. Le Pressoir mystique. L'illustration
du vitrail vient d'une gravure sur bois de Jacques Lalouette
diffusée vers 1580. Cette allégorie fort
originale a retenu toute l'attention des historiens
car elle se présente comme une réaction
aux idées de la Réforme protestante :
les Protestants ne reconnaissent pas le corps du Christ
dans l'Eucharistie, pas plus que son sang dans le vin.
Ce thème, connu dès la fin du XIVe siècle,
a donc profité d'un regain d'intérêt
à la Renaissance. À l'époque, au
moins cinq églises de Paris avaient une verrière
sur le Pressoir mystique. À Troyes,
la cathédrale
Saint-Pierre-et-Saint-Paul en possède également
une (cliquez ici
pour l'afficher). De plus grande taillle que celle de
Saint-Étienne, elle est l'uvre du maître
verrier Linard Gontier.
Dans le vitrail de la galerie des Charniers, le Christ
est étendu sur un pressoir. Son sang jaillit
de ses plaies (mains, pieds et côté) et
nourrit la terre. Tout autour, les activités
vinicoles sont prises en charge par les représentants
de l'Histoire sainte : les patriarches plantent la vigne,
les prophètes la taillent ; les apôtres
font la vendange, mènent les grappes à
la cuve et les foulent au pied pour les presser (on
voit saint Pierre dans ce rôle) ; puis, les évangélistes
apportent les cuves aux Pères de l'Église
(saint Grégoire et saint Jérôme?).
Enfin, le clergé assurent la distribution de
l'Eucharistie aux fidèles. Sur la droite, pape,
roi et cardinal stockent dans un cellier, à l'aide
d'une échelle, les barils remplis du sang divin.
Source : Saint-Étienne-du-Mont
par Étienne Hamon & Françoise Gatouillat,
éditions Picard, 2016.
|
|
Le Pressoir mystique, détail : Saint Jean et saint Matthieu
portent les cuves aux Pères de l'Église. |
|
LE CHÊNE DE MAMBRÉ (baie XIII).
ou la Visite des trois anges à Abraham.
1er quart du XVIIe siècle. |
|
LE MIRACLE DES BILLETTES (baie II)
1er quart du XVIIe siècle. |
LE SERPENT D'AIRAIN (baie V)
Verre teinté dans la masse et non peinture à l'émail.
Milieu du XVIe siècle. |
LE LAVEMENT DES MAINS, DES PIEDS,
LA SYNAGOGUE ET L'ÉGLISE (baie VII)
1er quart du XVIIe siècle. |
LA PÂQUE JUIVE (baie VI).
avec le Massacre des premiers nés des Égyptiens et la
Communion
1er quart du XVIIe siècle. |
L'OFFRANDE DE MELCHISÉDEC,
avec la Cène et l'Annonciation (baie XII)
1er quart du XVIIe siècle (l'Annonciation est moderne). |
LA PÂQUE JUIVE (partie droite du vitrail).
Les démons incitent les hommes à commettre les péchés
mortels :
l'avarice, la luxure, l'idolâtrie, le parricide, etc. |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|