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Page créée en nov. 2013
«Portrait de jeune femme accompagnée d'une vieille femme», détail

Le musée des Beaux-Arts de Dole a été fondé en 1821. Il a démarré avec des peintures et des sculptures venant essentiellement de donations. Puis, aux alentours de 1900, une section archéologique est venue s'ajouter. D'abord installé dans l'ancien collège des Jésuites, le musée a pris place en 1980 dans le Pavillon des officiers. Ce bâtiment, construit par Antoine-Louis Attiret entre 1763 et 1768, profite d'une belle façade ornée de trophées d'armes.
Le musée se partage en trois niveaux : au sous-sol, l'archéologie et le monde médiéval ; à l'étage, les collections d'art ancien (XVIe au XIXe siècle) ; enfin l'«art» contemporain au-dessus. L'art ancien est la partie la plus importante du musée. Dole a été la capitale de la Comté jusqu'en 1678 : le fonds ancien s'en ressent et le musée gratifie les visiteurs de quelques fort belles toiles. Ceux qui aiment l'Histoire pourront y admirer deux tableaux de Martin des Gobelins illustrant les sièges de Gray et de Besançon menés par Louis XIV pendant la guerre de Hollande.
Cette page présente quelques extraits des œuvres en art ancien et de l'époque médiévale exposées dans le musée.

«L'évanouissement d'Atalide», de Charles Antoine Coypel, détail
La façade du Pavillon des officiers Le premier étage du musée est consacré aux collections d'art ancien (XVIe au XIXe siècle)
Le premier étage du musée est consacré aux collections d'art ancien (XVIe au XIXe siècle).

«««--- À GAUCHE
La façade du Pavillon des officiers où est située l'entrée du musée, rue des Arènes à Dole.
Le Pavillon date du XVIIIe siècle. La façade est ornée de deux grands trophées d'armes.
Le musée des Beaux–Arts de Dole
Le musée des Beaux-Arts de Dole
forme deux ailes d'architecture (XVIIIe siècle).
«La belle Athénienne», marbre
«La belle Athénienne», marbre
François-Marie Rosset (1743-1824).
«Prométhée enchaîné au rocher»
«Prométhée enchaîné au rocher»
Jean-Pierre-Victor Huguenin (1802-1860).
Une vue du premier étage
Une vue du premier étage.
«Scènes de la Passion du Christ»
«Scènes de la Passion du Christ»
École de Leyde d'après Albrecht Dürer (premier tiers du XVIe siècle)
Huile sur bois, vers 1530.
Voir un agrandissement plus bas.
«Jeune fille portant un vase»
«Jeune fille portant un vase»
Marbre, 1857
Pierre Loison (1816 ou 1821 - 1886).
«L'Adoration des mages»
«L'Adoration des mages»
Pieter Brueghel le Jeune (1564-1638)
Huile sur toile, vers 1615-1620.
«Le Christ entouré d'anges portant les instruments de la Passion»
«Le Christ entouré d'anges portant les instruments de la Passion»
École française
Milieu du XVIIe siècle.
«Uranie»
«Uranie»
Plâtre patiné bronze (vers 1750-1760)
Michel Devosge (1711-1800).
«Apollon»
«Apollon»
Plâtre patiné bronze (vers 1750-1760)
Michel Devosge (1711-1800).
«L'Adoration de mages»
«L'Adoration de mages»
Tableau attribué à Joseph Christophe (1662-1748).
Huile sur toile, vers 1720.
«Le Christ et la Madeleine, Noli me tangere»
«Le Christ et la Madeleine, Noli me tangere»
École italienne
Huile sur marbre, XVIe siècle

La fameuse scène du «Ne me touche pas!» du Christ ressuscité à Marie-Madeleine ne présente, la plupart du temps, que les deux personnages concernés. Ce tableau de l'École italienne, ci-dessus, fait exception : il inclut dans la scène deux saintes femmes porteuses de vases contenant des onguents pour embaumer le corps du Supplicié.

«Le Serment d'amitié»
«Le Serment d'amitié»
Napoléon Fourquet (1807-deuxième moitié du XIXe siècle)
Moulage en plâtre.
«Scènes de la Passion du Christ», détail
«Scènes de la Passion du Christ», détail
École de Leyde d'après Albrecht Dürer (premier tiers du XVIe siècle)
Huile sur bois, vers 1530.
«La Mise au tombeau»
«La Mise au tombeau»
Maître du triptyque d'Autun, XVIe siècle
Huile sur bois, vers 1525-1530.
On remarquera, au premier plan, les armoiries des commanditaires (la famille de la Magdeleine),
ainsi que la présence, sur la gauche, d'un bénédictin en coule, vraisemblablement don Jean de la Magdeleine.
«La Mise au tombeau», détail
«La Mise au tombeau», détail
Maître du triptyque d'Autun, XVIe siècle
Huile sur bois, vers 1525-1530.
«Milon de Crotone»
«Milon de Crotone»
Marbre de Jean-Pierre-Victor Huguenin (1802-1860)
d'après Pierre Puget (1620-1694).
«Mars et Vénus»
«Mars et Vénus»
Albâtre et bois, École malinoise, vers 1580.

TABLEAUX DE SCÈNES MYTHOLOGIQUES ET BIBLIQUES

Une salle du premier étage avec tableaux de paysages et de scènes historiques
Une salle du premier étage avec tableaux de paysages et de scènes historiques.
«Le sacrifice de Polyxène au pied du tombeau d'Achille»
«Le sacrifice de Polyxène au pied du tombeau d'Achille»
Giovanni Battista Pittoni (1687-1767), huile sur toile.

«Le sacrifice de Polyxène au pied du tombeau d'Achille» fait référence à une scène de l'Iliade. Après la chute de Troie et la fureur de Pyrrhus sur les vaincus, le fantôme d'Achille, père de Pyrrhus, vient réclamer le sacrifice de Polyxène, fille de Priam et d'Hécube. La scène représente Polyxène, en face de Pyrrhus, prête à mourir de la main de son bourreau.
Dans sa pièce Andromaque, Jean Racine fait un rappel de cette scène au IVe acte, lorsque Hermione, excédée par Pyrrhus qui a violé son serment de l'épouser, l'abreuve de reproches. (Pyrrhus va épouser Andromaque, une «ennemie», une phrygienne.) Le génie de Racine a su placer dans la bouche de la bouillante Hermione un récit au second degré et qui se termine par une question très ironique. Dans sa réplique, Pyrrhus (dont Racine s'applique à faire un imbécile) montrera qu'il a tout pris au premier degré :

Du vieux père d'Hector la valeur abattue
Au pied de sa famille, expirante à sa vue,
Tandis que dans son sein votre bras enfoncé
Cherche un reste de sang que l'âge avait glacé ;
Dans des ruisseaux de sang Troie ardente plongée,
De votre propre main Polyxène égorgée
Aux yeux de tous les Grecs indignés contre vous,
Que peut-on refuser à ces généreux coups?

Racine, Andromaque, acte IV, scène V.

«Sužanne et les vieillards»
«Suzanne et les vieillards»
Albâtre et bois, École malinoise, XVIe siècle.
(Au-dessus et à droite)

Suzanne et les vieillards est un thème de l'Ancien Testament abondamment illustré par les artistes. Il est fréquent de le voir en peinture. Le musée des Beaux-Arts de Dole en propose une illustration en albâtre. Voir l'histoire de «Suzanne et les vieillards» à la page du musée Magnin à Dijon.

«Angélique attachée au rocher»
«Angélique attachée au rocher»
Jules Machard (1839-1900), huile sur toile, 1869.
Ce peintre fut Grand prix de Rome en 1865.

Une note du musée nous apprend qu'Angélique est un personnage de la poésie épique italienne. Sorcière dans un roman de Boiardo (1441-1494), elle devient princesse orientale dans la suite du roman écrite par l'Arioste (1474-1533). Elle est persécutée par les hommes parce qu'elle les dédaigne alors que son charme les rend tous amoureux d'elle. L'épisode peint par Jules Machard rappelle Andromède attachée au rocher et délivrée par Persée. Ici, Angélique, qui a été attachée au rocher par les habitants de l'île d'Ebua, doit être dévorée par un monstre marin. Elle sera délivrée par Roger, un preux chevalier.

«Sužanne et les vieillards»
«L'évanouissement d'Esther devant Assuérus»
«L'évanouissement d'Esther devant Assuérus»
Isaac Fisches (1677-1705)
Huile sur toile, fin du XVIIe siècle
C'est la seule peinture de ce peintre allemand dans les musées français.
«Junon sollicitant les enfers»
«Junon sollicitant les enfers»
Toile attribuée à Jean Tengnagel (1584 ou 1585-1635)
Huile sur toile, premier tiers du XVIIe siècle .

La toile «Junon sollicitant les enfers» est du XVIIe siècle. Elle en est surprenante. On la croirait presque sortie de l'atelier de Salvador Dali ! Pourtant une note du musée nous apprend qu'elle «s'inscrit au sein d'une tradition picturale nordique cultivant l'étrangeté». Son auteur, Jean Tengnagel, était actif à Amsterdam. Avec d'autres, ce peintre voulait renouveler le genre historique en s'opposant au style maniériste. Bible, mythologie et histoire antique leur servaient d'inspiration.
La toile illustre un passage des Métamorphoses d'Ovide. Jupiter et Sémélé ont engendré le jeune Bacchus qui a trouvé refuge chez le roi d'Orchomène en Béotie. Junon, furieuse de jalousie, descend aux enfers pour réclamer l'appui des forces chtoniennes et ainsi assouvir sa vengeance. Sur la toile, on reconnaît Cerbère, le chien à trois têtes, et les trois furies : Alecto, Mégère et Tisiphoné. Tout ce petit monde garde jalousement l'entrée des enfers.

«Les Hébreux en captivité»
«Les Hébreux en captivité»
Isidore Pils (1813-1875)
Huile sur toile.
«Le sacrifice de Mucius Scaevola»
«Le sacrifice de Mucius Scaevola»
Toile attribuée à Giovanni Battista Beinaschi (1636-1688)
Huile sur toile, vers 1640-1650.

Le romain Mucius Scaevola fait irruption dans le camp étrusque pour assassiner le roi Porsenna. Par méprise, il tue un garde et est arrêté. Pour se punir, il laisse brûler devant le roi sa main qui a failli. Impressionné, celui-ci lui rendra la liberté.

«L'évanouissement d'Esther devant Assuérus», détail
«L'évanouissement d'Esther devant Assuérus», détail.
«La Mort de Didon»
«La Mort de Didon»
Simon Vouet (1590-1649), huile sur toile, vers 1642.

La toile «La Mort de Didon» est l'une des plus importantes du musée. Elle illustre un épisode fameux de l'Énéide : brisée par le départ d'Énée, Didon, reine de Carthage, va se donner la mort. Toutes les caractéristiques du style de Simon Vouet se retrouvent dans cette toile : les couleurs, les formes, les modelés des chairs, la grâce des visages féminins. Elle appartient à la période phare de l'artiste : il est Premier peintre de Louis XIII et porte sur ses épaules le renouveau de la vie artistique parisienne.

«L'évanouissement d'Atalide»
«L'évanouissement d'Atalide»
Charles Antoine Coypel (1694-1752)
Huile sur toile, 1750.
«Blanche de Castille montrant à saint Louis la Religion, la Foi et le Piété»
«Blanche de Castille montrant à saint Louis la Religion, la Foi et le Piété»
Atelier de Jean Jouvenet
Le tableau original de Jean Jouvenet a disparu. Ce tableau est une réplique de son atelier.

«Judith et sa servante». La toile à droite est énigmatique. Elle a été découverte dans les réserves de l'ancien musée des Beaux-Arts en 1974. On en ignore l'auteur, mais une note du musée nous apprend que les érudits situent son origine en Bohème, peut-être même à Prague au début du XVIIe siècle. Quoi qu'il en soit, la scène dégage un érotisme certain et affiche les traits du maniérisme, très en vogue parmi les artistes de la cour de Rodolphe II de Habsbourg, petit-fils de Charles Quint. Ces artistes venaient des Pays-Bas, d'Allemagne et de Suisse.
La scène du tableau dépeint Judith avec sa servante Abra, se préparant à rencontrer Holopherne pour le séduire et le tuer. L'armée du roi assyrien Nabuchodonosor assiège la ville juive de Béthulie. Holopherne est à sa tête. Judith, une jeune veuve, se pare de tous ses atours pour mieux captiver Holopherne. Les deux femmes s'introduisent dans le camp assyrien avec des jarres de vin. Séduit par la beauté de Judith, Holopherne se laisse enivrer pendant le repas. Durant la nuit, Judith et Abra décapiteront leur victime et reviendront au matin à Béthulie, avec sa tête.

«L'évanouissement d'Atalide», les visages d'Atalide et de Žatime
«L'évanouissement d'Atalide», les visages d'Atalide et de Zatime
Charles Antoine Coypel, 1750.

«L'évanouissement d'Atalide» est une fort belle toile qui mérite de voir les visages des jeunes femmes en gros plan. La scène est tirée de la tragédie de Racine, Bajazet. Bajazet et Atalide s'aiment secrètement, mais Roxane, la sultane, a des vues sur Bajazet. On peut dire que la pièce se résume à la question que se pose Roxane : Atalide aime-t-elle Bajazet? Roxane a reçu une lettre du sultan Amurat lui demandant de mettre à mort Bajazet. Ce qu'elle n'hésitera pas à faire par jalousie envers Atalide. Voyant Atalide s'évanouir, la sultane comprend.
Du visage féroce de Roxane jaillissent les vers de Racine (acte IV, scène 3) :

  Allez, conduisez-la dans la chambre prochaine ;
  Mais au moins observez ses regards, ses discours,
  Tout ce qui convaincra leurs perfides amours.

Le grand amateur de théâtre qu'était Coypel a conçu son tableau comme une scène de théâtre : un rideau majestueux et une gestuelle étudiée.

«L'évanouissement d'Atalide», le visage de Roxane
«L'évanouissement d'Atalide», le visage de Roxane
Charles Antoine Coypel, 1750.
«Judith et sa servante»
«Judith et sa servante»
Anonyme, début ou première moitié du XVIIe siècle, Prague (?)

TABLEAUX DE SCÈNES HISTORIQUES

«Le Siège de Gray en février 1674»
«Le Siège de Gray en février 1674»
Pierre-Denis Martin, dit Martin des Gobelins (1673-1742)
Huile sur toile, première moitié du XVIIIe siècle
Louis XIV était absent au siège de Gray. La toile n'a d'autre but que de mettre en valeur le roi avec ses généraux.

La guerre en Franche-Comté, les sièges de Gray et de Besançon. Ne pouvant se défaire de la concurrence économique hollandaise et voulant se débarrasser des Provinces-Unies qui l'empêchent de récupérer l'héritage de son beau-père Philippe IV, Louis XIV, poussé par Louvois, est convaincu que seule l'option militaire est jouable. Il brise d'abord la Triple Alliance unissant l'Angleterre, la Suède et la Hollande et s'assure la neutralité des États allemands. En 1672, Angleterre et France déclarent la guerre aux Provinces-Unies que l'armée française envahit aussitôt. La campagne est un succès. En juin, l'empereur allemand Léopold Ier rompt sa neutralité et s'engage au côté des Hollandais. Louis XIV réplique en envoyant Turenne contre lui. En août 1673 se constitue la grande alliance de la Haye contre la France, qui associe Provinces-Unies, Espagne, Autriche et le duc de Lorraine. Pour lui résister, Louis XIV établit, dès 1674, un front en Alsace. Mais le roi veut mettre la main sur la Franche-Comté, terre espagnole. Le maréchal de Luxembourg organise les sièges de Dole et de Besançon. À celui de Gray, contrairement à ce que montre le tableau ci-contre, Louis XIV n'est pas présent. Après vingt-sept jours de siège, Besançon tombe le 22 mai. Au traité de Nimègue (1678), la France gardera définitivement la Franche-Comté. Les Dolois sont fort mécontents de passer dans le giron français car Louis XIV a décidé de transférer la capitale de la Comté de Dole à Besançon. Exit le Parlement et l'Université. Les fortifications sont détruites. Les grandes familles partent vivre à Besançon qui sera fortifiée par Vauban. Source : «Louis XIV» de François Bluche, éditions Fayard.

«Le Siège de Gray en février 1674», détail
«Le Siège de Gray en février 1674», détail.
Pierre-Denis Martin, dit Martin des Gobelins (1673-1742).
«Le Siège de Besançon en mai 1674»
«Le Siège de Besançon en mai 1674»
Pierre-Denis Martin, dit Pierre des Gobelins (1673-1742)
Huile sur toile, première moitié du XVIIIe siècle.
«L'attaque de Dole par les Prussiens le 21 janvier 1871»
«L'attaque de Dole par les Prussiens le 21 janvier 1871»
Eugène Chalon (1829-1911), huile sur toile, 1889
La note du musée indique que ce tableau respecte en tout point la vérité historique.
Vitrines d'objets d'art
Vitrines d'objets d'art
Le musée des Beaux-Arts de Dole compte très peu d'objets de collection.
«La Grande galerie des statues»
«La Grande galerie des statues»
Anonyme d'après Giovanni Battista Pinanesi (1720-1778)
Huile sur toile, 1752.

«La Grande galerie des statues» est une interprétation picturale d'un recueil de planches d'architecture. La composition représentée s'appelle une vedute : un mélange d'éléments architecturaux réels ou imaginaires. Le vedute était très prisé en Italie vers le milieu du XVIIIe siècle.

«Saint Louis en prière»
«Saint Louis en prière»
Jean-Charles-Nicaise Perrin (1754-1831)
Huile sur toile, 1789.

«Saint Louis en prière». Dans ce tableau inspiré de celui de Charles Le Brun, le peintre Perrin simplifie l'arrière-plan par des nuages et une chapelle dans la pénombre alors que Le Brun avait inclus trois angelots sur un fond de draperies.
La représentation de saint Louis en prière est un thème que l'on rencontre souvent dans les églises comme toiles originales ou copies. On y voit le roi s'incliner soit sur le crucifix, soit sur la couronne d'épines.
Le tableau de Leduc (1831), visible à l'église Saint-Paul-Saint-Louis à Paris, est presque une copie de celui de Charles Le Brun. L'église Saint-Eustache, quant à elle, en propose un qui est anonyme et qui doit être une copie.

Portrait de Charles le Téméraire
Portrait de Charles le Téméraire
Anonyme d'après Rogier van der Weyden.
Portrait de Jean sans Peur
Portrait de Jean sans Peur
Anonyme d'après Jan van Eyck
(vers 1390-1441).

TABLEAUX DE PAYSAGE

«Clair de lune sur la mer»
«Clair de lune sur la mer»
d'après Claude-Joseph Vernet.
«Le torrent»
«Le torrent»
attribué à Jean-Louis Demarne (1744-1829)
Huile sur toile, vers 1785.
«Paysage animé»
«Paysage animé»
Étienne Allegrain (1644-1736)
Huile sur toile, vers 1700-1710.
Vue du premier étage du musée de Dole
Vue du premier étage du musée de Dole.
«Paysage avec ruines»
«Paysage avec ruines»
École française
Huile sur toile, milieu du XVIIIe siècle.
«Le Concert champêtre»
«Le Concert champêtre»
Frans Wouters (1612 ou 1614-1659)
Huile sur toile, 1754.
«Paysage animé»
«Paysage animé»
Étienne Allegrain (1644-1736)
Huile sur toile, vers 1700-1710.
«Ruines imaginaires»
«Ruines imaginaires»
Attribué à Jean-Denis Attiret (1702-1768)
Huile sur toile.
«Portrait de femme et enfant» «Portrait de jeune femme accompagnée d'une vieille femme»
«Portrait de jeune femme accompagnée d'une vieille femme»
Huile sur toile, milieu du XVIIIe siècle.
Copie d'un original de Jean Raoux conservé
au musée des Beaux-Arts de Marseille.

«««--- À GAUCHE
«Portrait de femme et enfant»
École de Fontainebleau, Huile sur bois, XVIe siècle.
«Portrait de madame de Sillery et de son fils»
«Portrait de madame de Sillery et de son fils»
Attribué à Pierre Mignard (1612-1695)
Huile sur toile, vers 1670-1675.
L'attribution à Pierre Mignard est toujours sujette à caution
au sein des spécialistes du portrait sous Louis XIV.
«Portrait de jeune femme accompagnée d'une vieille femme», détail
«Portrait de jeune femme accompagnée d'une vieille femme», détail.
Huile sur toile, milieu du XVIIIe siècle.
«Le chirurgien du village»
«Le chirurgien du village»
Pieter Jansz Quast (1606-1647)
Huile sur bois, vers 1635-1640.
«Le roi boit» (scène de cabaret à la mode flamande)
«Le roi boit» (scène de cabaret à la mode flamande)
François Dorbay, actif au XVIIIe siècle
Huile sur toile, 1749.

SOUS-SOL : ARCHÉOLOGIE ET SCULPTURE MÉDIÊVALE

La grande salle médiévale au sous–sol du musée
La grande salle médiévale au sous-sol du musée.
Saint Pierre, École française
Saint Pierre, École française
Pierre, XVIIe siècle.
«Mise au tombeau»
«Mise au tombeau»
École bourguignonne, seconde moitié du XVe siècle.
«Piéta, Vierge aux lapins»
«Piéta, Vierge aux lapins»
Atelier dolois, Pierre XVe siècle.


«««--- Saint Vincent
École française
Pierre polychrome, fin du XVIe siècle.
Saint Antoine
Saint Antoine
École bourguignonne
Pierre polychrome, 2e moitié du XVe siècle.
Pallas
Pallas
attribuée à Claude Arnoux, dit Lulier
(vers 1510-1580)
Cheminée Renaissance
Cheminée Renaissance
Marbre polychrome, 1565
Cette très belle cheminée vient de la maison d'un professeur de médecine de Besançon.
Les huit bas-reliefs en albâtre illustrent des personnages de l'Ancien Testament et les quatre évangélistes.
«La Mise au tombeau», atelier dolois
«La Mise au tombeau», atelier dolois
Bois polychrome, XVIe siècle.
La grande salle médiévale au sous–sol du musée
La grande salle médiévale au sous-sol du musée.
La salle de la préhistoire au sous–sol
La salle de la préhistoire au sous-sol.
Buste de déesse romaine au diadème
Buste de déesse romaine au diadème.
Pièce trouvée dans le Jura en 1718.
Coupe étrusque à figures rouges
Coupe étrusque à figures rouges
Atelier de Caere-Cerveteri
Seconde moitié du IVe siècle avant J.-C.
Amphore attique «à tableaux» à figures noires
Amphore attique «à tableaux» à figures noires
Seconde moitié du IVe siècle avant J.-C.

Documentation : panneaux affichés à côté de chaque œuvre et dépliant sur le musée.
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