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Page créée en juin 2016
Le Couronnement de la Vierge, vitrail Claudius Lavergne, XIXe siècle, détail

L'église Notre-Dame de Combourg est en pierre de granit, ce qui lui confère par endroits un cachet «vieilles pierres», assez surprenant pour un édifice qui accuse à peine cent cinquante ans. Sa construction, qui a pris vingt ans, s'est opérée en deux phases. En 1859, l'architecte Charles Langlois (1811-1896) fait ériger la nef et la tour. Arthur Regnault (1838-1932) prendra la suite en bâtissant le transept et l'abside. L'église de Combourg, d'un style néogothique très classique, en impose par sa taille : 70 mètres de long sur 21 de large. Le clocher, quant à lui, a une hauteur de 50 mètres.
Les nombreux vitraux de l'église ont deux origines. Ceux de la fin du XIXe siècle, de l'atelier parisien de Claudius Lavergne, sont conformes à l'art du vitrail de cette époque. On notera toutefois le grand vitrail-tableau du transept sud illustrant l'Assomption de la Vierge, ainsi que la grande verrière de l'abside, malheureusement bouchée en partie par le pignon du retable. Les autres vitraux datent du XXe siècle. Ils sont signés Robert Briand, de Rennes. La griffe très moderne de cet artiste (qui n'est d'ailleurs pas des plus heureuses sur les visages), porte à penser qu'il s'agit de la seconde moitié du XXe siècle. Cette page vous propose un grand nombre de verrières de l'église.
À l'entrée, le visiteur peut admirer des éléments assez rares : des bénitiers de granit du XIIe siècle et deux fonts baptismaux en pierre des XIVe et XVe siècles. Enfin, une chapelle absidiale abrite une châsse avec des reliques de saint Gilduin (non donnée dans cette page), diacre qui est par ailleurs représenté dans plusieurs statues de l'église.

Saint Gilduin, vitrail Claudius Lavergne, XIXe siècles, détail
Vue d'ensemble de la nef de l'église Notre-Dame de Combourg.
Vue d'ensemble de la nef de l'église Notre-Dame de Combourg.
L'église est longue de 70 mètres. Son clocher culmine à 50 mètres.
L'église est longue de 70 mètres. Son clocher culmine à 50 mètres.
Le côté nord de l'église
Le chevet et les absidioles de l'église Notre-Dame.
Le chevet et les absidioles de l'église Notre-Dame.
L'église au milieu des maisons vue depuis le château.
L'église au milieu des maisons vue depuis le château.
«««--- À GAUCHE
Les côtés latéraux (ici celui au nord) abritent
une série de vitraux à grands personnages.
À DROITE ---»»»
L'archange saint Michel écrasant le démon avec son bouclier
Atelier de Claudius Lavergne, années 1880.
Le baptistère est illuminé par une verrière du XXe siècle
Le baptistère est illuminé par une verrière
d'un baptême réalisée par
l'atelier Robert Briand, XXe siècle.
Bénitier de granit du XIIe siècle
Bénitier de granit du XIIe siècle
La nef vue du transept avec le bas-côté nord.
La nef vue du transept avec le bas-côté nord.
Une tête d'homme sculptée dans le granit
Une tête d'homme sculptée dans le granit
Pilier dans l'avant-nef
Une tête de femme
Une tête de femme
au-dessus d'un pilier du transept sud.
Les piliers de l'avant–nef et ceux du transept affichent, au sein de leurs chapiteaux, une tête d'homme ou de femme.
Les piliers de l'avant-nef et ceux du transept affichent, au sein de leurs chapiteaux, une tête d'homme ou de femme.
À DROITE ---»»»

Statue de saint Roch.

Dans l'église Notre-Dame de Combourg, comme
souvent dans les églises bâties à la fin du XIXe siècle,
on trouve beaucoup de statues de saints et de
saintes en plâtre, typiques de l'art saint-sulpicien.
Voir l'encadré sur cet art à l'église Saint-Sulpice de Paris.
Plan de l'église.
Plan de l'église.
Les deux chapelles absidiales font
un peu disparaître le dessin
traditionnel de la croix latine.
L'archange saint Michel écrasant le démon avec son bouclier
Le Curé d'Ars et saint Pie X
Le Curé d'Ars et saint Pie X
Atelier Robert Briand, XXe siècle.
Statue de saint Roch
Un des deux impressionnants fonts baptismaux de l'église
Un des impressionnants fonts baptismaux
en pierre des XIVe et XVe siècles.
Chapiteaux d'un pilier du transept nord avec une tête d'homme.
Chapiteaux d'un pilier du transept nord avec une tête d'homme.
Saint François d'Assise
Saint François d'Assise
Détail d'un vitrail de l'atelier Claudius Lavergne, années 1880.
Le Christ en croix dans la nef.
Le Christ en croix dans la nef.
Une étape du Chemin de croix.
Une étape du Chemin de croix.
Une tête d'homme
Une tête d'homme
au-dessus d'un pilier du transept nord.
Vitrail du XXe siècle, atelier Robert Briand, Rennes.
«Et il poursuivait son chemin tout à la joie»
Détail de la verrière du baptistère.
Atelier Robert Briand, XXe siècle.
Élévations nord
Élévations nord.

Architecture de la nef. On voit dans la photo ci-dessus que la série d'arcades qui scande la nef est dominée par une corniche horizontale en très légère saillie. Celle-ci reçoit les retombées de la voûte sur des petits chapiteaux à motifs floraux. Le choix de l'architecte Charles Langlois a été de séparer l'élévation de la nef en deux parties, mais en se contentant d'un trait assez léger.

Le bas–côté sud et sa belle rangée de vitraux des XIXe et XXe siècles.
Le bas-côté sud et sa belle rangée de vitraux des XIXe et XXe siècles.
Sur le bas-côté nord, la rosace au-dessus de la porte affiche le blason des seigneurs de Combourg. Voir plus bas.
Confessionnal du XIXe siècle.
Confessionnal du XIXe siècle.

Saint-Gilduin est le patron des pèlerins de Chartres et des émigrés bretons. Il naquit vers 1052-1054, dans une famille de la noblesse bretonne. Son père était le premier seigneur de Dol et de Combourg. Son grand-oncle paternel, Junguenée, était l'archevêque de Dol. Voulant être clerc, Gilduin refusa de se marier. D'après les sources, il aurait fait des études à l'école épiscopale de Dol (ce qui n'est guère surprenant pour le fils d'un seigneur local). Il fut donc reçu moine et tonsuré. À une époque où la simonie et le nicolaïsme ravageaient l'Église, sa conduite exemplaire attira l'attention. C'est pourquoi le successeur de Junguenée à l'archevêché de Dol, Juthaël, le nomma chanoine de sa cathédrale, puis diacre.
En 1073, le moine Hildebrand arrive sur le trône papal et prend le nom de Grégoire VII. Il lance le vaste mouvement qui va bouleverser l'Église, la séparer du pouvoir laïc et mettre un terme aux pratiques les plus scandaleuses de ses clercs. Ce mouvement va rester dans l'Histoire sous le nom de «réforme grégorienne». En fait, cette réforme était déjà dans les esprits avant 1073, tant les excès, trop voyants, révoltaient bien des serviteurs de l'Église. Et c'est au pape Léon IX, élu en 1049, que l'on doit le travail de sensibilisation des consciences sur la nécessité d'une réforme. De fait, l'étau s'était resserré peu à peu sur le relâchement éhonté de certains prélats, tout comme sur l'empiétement du pouvoir laïc sur le clergé. En 1059, le pape s'était réservé la nomination des cardinaux ; l'empereur n'y avait plus sa part. À partir de 1073, Grégoire VII lance l'offensive à coups de décrets et de propositions pour rendre l'Église plus morale et indépendante des souverains. Il condamne notamment les charges ecclésiastiques obtenues grâce à un titre de noblesse. Cette réforme en profondeur va   --»» 2/2

Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus et sainte Jeanne  d'Arc
Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus et sainte Jeanne d'Arc
Détail d'un vitrail de l'atelier Robert Briand, XXe siècle.
Saint Gilduin
Saint Gilduin
Détail d'un vitrail de l'atelier
Claudius Lavergne, années 1880.
La Multiplication des pains
La Multiplication des pains
Vitrail de l'atelier Robert Briand, XXe siècle.
Armoiries dans une rose du XIXe siècle
Armoiries dans une rose du XIXe siècle
Le bas-côté sud vu depuis l'entrée de l'église.
Le bas-côté sud vu depuis l'entrée de l'église.
Statue de Notre-Dame de Pontmain
Statue de Notre-Dame de Pontmain
Art sulpicien.
Statue de saint Antoine de Padoue
Statue de saint Antoine de Padoue

À DROITE ---»»»
Saint Maunoir et
saint Grignon de Montfort
Vitrail de l'atelier Robert Briand, XXe siècle

Saint Roch
Saint Roch
Détail d'un vitrail de l'atelier
Claudius Lavergne, années 1880.
Saint Maunoir et saint Grignon de Montfort
Rose du bas–côté nord avec le blason des seigneurs de Combourg
Rose du bas-côté nord avec le blason des seigneurs de Combourg
surmonté d'une couronne comtale.
(Atelier Claudius Lavergne, années 1880).

Saint Gilduin 2/2. 
--»»   s'étaler sur deux siècles.
À Dol, on savait ce qu'était le relâchement éhonté d'un prélat. En 1068, un dénommé Johonnée avait succédé à Juthaël à l'archevêché. On accusait ce diable d'homme d'avoir acheté sa charge (simonie) ; on le voyait vivre dans le luxe et se servir des biens de l'Église en faveur de ses propres enfants (nicolaïsme). Les Dolois étaient scandalisés. Mais l'appui de Guillaume le Conquérant envers celui qu'ils surnommaient l'«Archiloup» les paralysait quelque peu. Ils essayèrent néanmoins de le faire destituer. Sans résultat. Alors ils le chassèrent par la force. Le prélat se réfugia près du Mont Saint Michel où, nous disent les sources, il continua ses œuvres de prédation dans la région. En 1076, enfin, la procédure de destitution pour simonie le priva officiellement de sa chaise épiscopale. Dol devait donc élire un nouvel archevêque.
Le choix se porta aussitôt sur un saint homme : Gilduin. Arguant de son jeune âge (moins de 25 ans) et, bien sûr, de son indignité, il refusa la charge. Insister ne servit à rien. On décida donc d'en référer à Grégoire VII en personne. Une délégation partit pour Rome, avec dans ses rangs Gilduin et un dénommé Even, abbé de la paroisse Sainte-Melaine à Rennes, regardé comme un sage.
Devant le pape, Gilduin rappela son jeune âge, son indignité et présenta un argument très actuel : en étant élu, il devrait son élection au fait qu'il était le fils du seigneur de Dol et de Combourg. Ce qui violait l'un des récents décrets de Grégoire VII : ne pas devoir une charge épiscopale à un titre de noblesse. Alors autoriser une dérogation? Gilduin avait réponse à tout : le faire si peu de temps après la mise en application du décret ôterait toute crédibilité à la volonté papale de réforme. Le pape se rangea à son avis et lui demanda de désigner lui-même son successeur. Après consultation des délégués, le jeune diacre choisit Even, qui fut donc consacré archevêque de Dol par le pape le 27 septembre 1076.
Quittant Rome, Gilduin partit en pèlerinage à Chartres. Il fit étape au château du Puiset où résidait sa famille maternelle. En route il fut saisi de fièvre. Au Puiset, sa famille le soigna, mais rien n'y fit. Il demanda quand même à aller prier à Chartres, auprès des reliques de la tunique de la Vierge Marie. On l'y transporta et il fut hébergé au monastère de Saint-Père-en-Vallée à Chartres, lieu où s'élève aujourd'hui l'église Saint-Pierre. C'est là qu'il mourut le 27 janvier 1077. Son corps fut inhumé dans l'église du monastère.
Source : panneaux sur la vie de saint Gilduin dans l'église.

LE TRANSEPT ET SES VITRAUX-TABLEAUX DU XIXe SIÈCLE
Le transept, très saillant, de l'église Notre–Dame donne ici sur le beau vitrail de l'Assomption
Le transept, très saillant, de l'église Notre-Dame donne ici sur le beau vitrail de l'Assomption,
atelier Claudius Lavergne, années 1880.
La chaire à prêcher du XIXe siècle
La chaire à prêcher du XIXe siècle ne sert plus.
Elle a été reléguée au fond du transept nord.
Sainte Bernadette et sainte Maria Goretti
Sainte Bernadette et sainte Maria Goretti
Détail d'un vitrail de l'atelier Robert Briand, XXe siècle.
La Sainte Famille
La Sainte Famille
Atelier Claudius Lavergne, années 1880.
La cuve de la chaire à prêcher
La cuve de la chaire à prêcher
est ornée des symboles du Tétramorphe.
Ici, le lion de Marc et le taureau de Luc.
Le tympan du vitrail de l'Assomption
Le tympan du vitrail de l'Assomption accueille
une très belle Vierge Marie entourée d'anges
Atelier Claudius Lavergne, années 1880.
On pourra voir aussi le vitrail de René Échappé, d'une facture
inférieure, à l'église Notre-Dame de Vitré.
Vitrail de l'Assomption dans le transept sud
Vitrail L'Assomption dans le transept sud
Atelier Claudius Lavergne, années 1880.

L'Assomption de la Vierge. Dans le vitrail ci-dessus, on voit les apôtres quelque peu intrigués par le tombeau vide. Ce vitrail est-il inspiré du tableau de peintre maniériste italien du XVIe siècle, Taddeo Zuccaro ou du vitrail du XVIe siècle de Louis Pinaigrier sur le même sujet, visible à la cathédrale Saint-Étienne de Bourges? Louis Pinaigrier s'est d'ailleurs inspiré lui-même de l'œuvre de Taddeo Zuccaro.

Vitrail-tableau sur quatre lancettes de l'Assomption de la Vierge.
Vitrail-tableau sur quatre lancettes de l'Assomption de la Vierge.
Atelier Claudius Lavergne et ses fils, années 1880.

Deux scènes de la vie de Joseph Panneau avec deux blasons
Panneau avec deux blasons
dans le soubassement
du vitrail de la vie de Joseph.
Atelier Claudius Lavergne et ses fils, 1883.
La Vierge et son fils
La Vierge et son fils
dans le chœur.
Art saint-sulpicien.

Voir l'encadré sur l'art
saint-sulpicien à
l'église Saint-Sulpice de Paris.
Sainte Clotilde
Sainte Clotilde
accompagnée de saint Clodoald.
Détail d'un vitrail de l'atelier Claudius Lavergne,
années 1880.
«««--- À GAUCHE
Deux scènes de la vie de Joseph :
la Sainte Famille et la Mort de Joseph

Vitrail-tableau dans le croisillon
nord du transept.
Atelier Claudius Lavergne et ses fils, 1883
.
Ce vitrail-tableau est enrichi dans son soubassement de quatre très beaux panneaux portant blasons.
LES CHAPELLES ABSIDIALES ET LEURS VITRAUX
La chapelle absidiale nord Saint-Gilduin et le chœur.
La chapelle absidiale nord Saint-Gilduin et le chœur.
Statue moderne de saint Gilduin
Statue moderne de saint Gilduin
dans l'absidiole nord.
Saint Gilduin
Saint Gilduin
dans l'absidiole nord.
Saint Augustin
Saint Augustin
dans la verrière
de la chapelle Saint-Giduin.

Détail d'un vitrail de l'atelier Claudius Lavergne, années 1880.
Sainte Marguerite couronnée par l'Enfant–Jésus
Sainte Marguerite couronnée
par l'Enfant Jésus.
Verrière de l'absidiole sud.
Claudius Lavergne, années 1880.
Saint Ignace de Loyola
Saint Ignace de Loyola
Verrière de l'absidiole nord.
Claudius Lavergne, années 1880.
À DROITE ---»»»
Chapelle absidiale nord
dédiée à saint Gilduin.
L'autel en pierre de granit dans l'absidiole nord.
L'autel en pierre de granit dans l'absidiole nord.
Pierres tombales du comte Christian de Chateaubriand (mort en 1889) et de sa seconde épouse
Pierres tombales du comte Christian de Chateaubriand (†1889)
et de sa seconde épouse Antoinette de la Rochetaillée.
Absidiole nord.
Chapelle absidiale sud.
Chapelle absidiale sud.
LE CHŒUR DE L'ÉGLISE NOTRE-DAME DE COMBOURG
Le chœur et l'autel de messe de l'église Notre-Dame.
Le chœur et l'autel de messe de l'église Notre-Dame.
Le grand retable du XIXe siècle dans l'abside.
Le grand retable du XIXe siècle dans l'abside.
Jésus et la Samaritaine
Jésus et la Samaritaine
Bas-relief du retable (XIXe siècle).
La Déploration du Christ (XIXe siècle)
La Déploration du Christ (XIXe siècle)
Bas-relief du soubassement du retable.
Le Couronnement de la Vierge
Le Couronnement de la Vierge
Vitrail central de l'abside.
Atelier Claudius Lavergne, années 1880.

À DROITE ---»»»
La clé de voûte du chœur porte
les lettres «IHS», monogramme représentant le Christ.
Un ange du retable
Un ange du retable.
La clé de voûte du chœur
Vue d'ensemble des vitraux de l'abside.
Vue d'ensemble des vitraux de l'abside.
Il s'en dégagerait presque une atmosphère un peu féerique si le retable et l'orgue ne bouchaient la vue.
Saint Louis dans le chœur.
Saint Louis dans le chœur.
Détail d'un vitrail de l'atelier Claudius Lavergne,
années 1880.
Nid d'hirondelle sur la façade occidentale.
Nid d'hirondelle sur la façade occidentale.
Pourquoi avoir construit cet étrange poste
d'observation comme dans l'ancien temps?
Et pour qui?
Armoiries dans un vitrail
Armoiries dans un vitrail
de l'atelier Claudius Lavergne, années 1880.
Sainte Marguerite et saint Pierre dans le chœur
Sainte Marguerite et saint Pierre dans le chœur
Vitrail de l'atelier Claudius Lavergne, années 1880.
Armoiries avec écusson à fleurs de lys
La nef vue de derrière le maître-autel.
La nef vue de derrière le maître-autel.
Statue de saint Gilduin.
Statue de saint Gilduin.
Saint Louis et Saint Jean
Saint Louis et Saint Jean
Atelier Claudius Lavergne, années 1880.
«««--- À GAUCHE
Armoiries avec écusson à fleurs de lys (Claudius Lavergne, années 1880).
La nef vue depuis le chœur.
La nef vue depuis le chœur.

Documentation : Panneaux affichés dans l'église et panneau extérieur.
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