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Vers 550, à l'époque
mérovingienne, qu'y avait-il du vivant de Clodoald,
petit-fils de Clovis, dans le lieu qu'on appelle aujourd'hui
Saint-Cloud
? Rien n'est certain. Peut-être une chapelle, puis une
église construite par le futur saint et ses compagnons
? En effet, pour ne pas susciter l'ire de ses oncles assoiffés
de pouvoir, Clodoald choisit d'abandonner ses droits à
la couronne, de couper ses longs cheveux et d'entrer dans
un monastère. Quoi qu'il en soit des éventuels
édifices mérovingiens, l’église qui se trouvait
en place à la fin du XVIIIe siècle (et que l'on date
habituellement des Xe ou XIe) menaçait ruine. Heureusement,
la reine Marie-Antoinette s'intéressait à la
petite ville de Saint-Cloud
qui abritait, dans son parc, un important château (disparu
dans un incendie en 1871). Sous son autorité, un hôpital
et sa chapelle avaient été bâtis en 1787.
Et l'année suivante, la reine posa la première pierre
de la future église. Comme le château disposait
d'une esplanade monumentale jusqu'à la Seine, il était
prévu qu'il en fût de même pour l'édifice
cultuel. Un chapiteau
près du chœur représente la reine offrant la maquette
de l'église.
Au moment où la Révolution éclate, les
fondations sont achevées et les murs s’élèvent
déjà de quelques mètres. Mais tout s'arrête.
La construction n'eut pas la chance de l'église Saint-Nicolas-Saint-Marc
de Ville-d'Avray : la première pierre en fut posée
le 11 juillet 1789 et les troubles révolutionnaires
n'empêchèrent pas les travaux de continuer et
de s'achever. L'église sera consacrée en 1791
par un prêtre constitutionnel.
Sous le Premier Empire et jusqu'aux premières années
du Second, la paroisse de Saint-Cloud n'a plus d’église. Le
culte se tient dans la chapelle du couvent des Ursulines et
dans celle de l’Hôpital. Toutes les tentatives pour reprendre
la construction échouent.
C'est Napoléon III qui va achever le projet à partir
de 1860. Le financement sera assuré en grande partie
par la cassette personnelle de l'Empereur, le reliquat venant
d'une souscription des paroissiens. Un chapiteau
près du chœur représente le monarque offrant la
maquette de l’église.
L'architecte Jean-François Delarue (1815-1892) fut
chargé des plans de l'édifice qui sera bâti
en style très éclectique, mêlant le roman
et le gothique. Voir l'encadré
plus bas à ce sujet. L’entrepreneur Pierre-Isidore
Bénezech retrouva les fondations du temps de Marie-Antoinette
et mit à profit la plupart des piliers de la nef déjà
construits. Le sculpteur Victor Thiébault fut chargé
du décor, dont font partie les nombreux chapiteaux
néo-gothiques à feuillages. L’église, ouverte
au culte en 1863, fut consacrée en 1878 par Pierre-Antoine
Goux, évêque de Versailles.
L'édifice bénéficia d'importants travaux
de restauration entre les deux guerres mondiales. Il est inscrit
à l’inventaire des monuments historiques.
À part les reliques de saint Clodoald, l'intérieur
propose des vitraux du XIXe siècle (de facture toute
classique) et de belles peintures de Duval-Lecamus
dans le chur.
Mais l'intérêt artistique repose surtout sur
la splendide chaire
à prêcher en chêne d'Ernest Guilbert
datée de 1899 et primée à l'Exposition
universelle de 1900.
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Vue d'ensemble de la nef de Saint-Clodoald.
Longueur intérieure : 46 mètres ; largeur : 20 mètres
; hauteur : 17 mètres. |
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Le chevet de Saint-Clodoald est, dans l'ensemble, de style néo-roman.
Les chapiteaux qui terminent les colonnes semi-engagées
ajoutent une touche néo-gothique. |
Les
vitraux de Saint-Clodoald.
La plupart des vitraux sont du XIXe siècle.
Cependant, la chapelle
de la Vierge, ayant été totalement
refaite (dans un goût byzantin) en 1929, abrite
deux vitraux modernes de l'artiste Maurice Tastemain.
Les vitraux du XIXe sont l'uvre des ateliers de
François Fialex à Mayet, près
du Mans, ou encore d'Antoine Lusson ou d'Eugène
Oudinot.
Rappelons que François Fialex, dont le nom n'est
pas très connu) a été formé
à la Manufacture de Sèvres. Il fut appelé
au Mans en 1840 (où il créa son atelier)
pour restaurer la grande verrière de saint Julien
dans la cathédrale. C'est à lui que l'on
doit quelques vitraux, datés de 1846, de l'église
Saint-Romain
à Sèvres.
Les vitraux de la nef de Saint-Clodoald sont datés
de l'année 1866. Ils représentent des
saynètes relatives à la vie de saints
et de saintes sans rapport avec l'univers mérovingien.
Une première partie vient de l'atelier des frères
Achille et Eugène Oudinot à Paris : saint
Pierre, saint Paul, saint Denis et sainte Catherine.
La saynète se tient sous un dais, lui-même
intégré dans une très riche décoration
(voir ci-contre à droite). Ce type de décor
(large bordure foisonnante à thème géométrique
et floral) se rapproche de celui du vitrail-retable
créé par la Manufacture de Sèvres
dans les années 1840. La seconde partie des vitraux
de la nef vient de l'atelier de François Fialex
: la saynète se trouve au centre, mais au milieu
d'une décoration moins ample, essentiellement
à base de rinceaux. L'atelier parisien d'Antoine
Lusson a réalisé un vitrail semblable
pour la chapelle du Saint-Sacrement.
Source : «Le vitrail
du XIXe siècle et les ateliers manceaux»,
Musées du Mans, éditions Cénomane.
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Saint Denis, saint Rustique et saint Eleuthère
arrivent sur le lieu de leur supplice.
Atelier Achille et Eugène Oudinot
1866. |
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La nef et le côté droit.
Les trois niveaux d'élévation mêlent les styles
roman et gothique. |
Chapiteau néo-gothique à feuillages et têtes
humaines, détail. |
Baies du 2e niveau avec colonnettes et chapiteaux à
feuillages. |
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Architecture
intérieure. Au sein d'un style très
éclectique, l'élévation à
trois niveaux mêle le roman et le gothique.
Au premier niveau, les colonnes monocylindriques se
terminent par de riches chapiteaux à feuillages
dus à Victor Thiébault. Dans l'un
d'entre eux, des têtes humaines ornent les angles.
Les arcades sont en plein cintre avec un intrados plat,
typique de l'art roman. Ce choix fait ressortir les
sculptures très élaborées des chapiteaux.
L'arcature est surmontée d'une large bande plate
et nue, elle aussi en plein cintre, qui s'évanouit
vers le bas en une triple moulure. Le procédé
allie élégamment légèreté
et relief.
Le deuxième niveau est constitué d'une
suite de petites arcades triples néo-romanes
ouvrant sur les tribunes. Les petites piles monocylindriques
qui séparent les baies se terminent elles aussi
par des chapiteaux à feuillages.
Enfin le troisième niveau, avec ses baies vitrées
réunies en couple dans chaque travée,
apporte la lumière grâce à son verre
cathédral. Ces baies ne disposent d'aucune ornementation
particulière.
L'architecte a choisi de séparer les deux premiers
niveaux par un bandeau horizontal riche de deux moulures.
Le vaisseau central est en effet assez large pour ne
pas donner l'impression de casser l'élévation.
La moulure supérieure est enrichie d'une suite
de petites rondelles recevant une fleur. Un procédé
artistique assez rare. Le mur des deuxième et
troisième niveaux est laissé nu, ce qui
permet de ne pas surcharger l'ensemble de la structure.
Les somptueux chapiteaux du premier niveau, les consoles
sculptées qui soutiennent les colonnettes et
la bande en plein cintre qui les relie offrent une ornementation
riche et équilibrée, suffisante pour capter
toute l'attention du visiteur.
On pourra observer un cas architectural opposé,
c'est-à-dire à la limite de la surcharge
artistique, à l'église néo-gothique
Saint-Martin
de Vitré
en Bretagne.
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Chapiteau néo-gothique à feuillages, détail. |
Console néo-gothique à feuillages soutenant
une colonnette. |
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C'est grâce à la cassette de Napoléon III
que l'église put être achevée en 1863.
Dans ce chapiteau près du chur, l'Empereur est
représenté offrant l'église à la
paroisse.
Les chapiteaux de Saint-Clodoald sont l'uvre du sculpteur
Victor Thiébault. |
La reine Marie-Antoinette posa la première pierre de
l'église actuelle en 1787.
Dans ce chapiteau, elle porte la maquette de la future église. |
Napoléon
III se méfiait de la «réunionite».
Il se fit attribuer une très forte liste civile
(officiellement 25 millions de francs par an, mais,
dans la pratique, 34 millions en moyenne).
Celle liste, dont il disposait selon sa volonté,
lui permit de financer des travaux d'architecture (constructions
ou restaurations), comme le château de Pierrefonds
près de Compiègne ainsi q'un certain nombre
d'églises de la région parisienne. L'essentiel
était de court-circuiter les commissions (habituellement
nommées pour décider quoi faire) et de
gagner du temps.
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La nef néo-gothique et son bas-côté abritant
le chemin de croix, les confessionnaux et les statues. |
«Jeanne d'Arc en prière»
Jean Tournoux, 1910
D'après la célèbre statue de la princesse
Marie d'Orléans. |
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Avec leurs arcades en plein cintre,
les bas-côtés ont des allures très néo-romanes. |
La voûte néo-gothique du vaisseau central. |
Vitrail Sainte Geneviève
Atelier François Fialex à Mayet, 1866. |
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LES CHAPELLES À L'ENTRÉE DE L'ÉGLISE |
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Chapelle de la Compassion. |
Chapelle de la Compassion, détail.
(appelée aussi chapelle des Morts).
Les deux plaques sur les côtés portent les noms
des 146 Clodoaldiens
tombés au cours de la première guerre mondiale.
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Piéta du XVIIe siècle dans la chapelle de la Compassion.
Cette piéta était autrefois polychromée. |
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Chapelle Saint-Cloud.
(Anciennement chapelle des Fonts baptismaux.)
Le grand tableau de Durupt masque complètement
un vitrail sur la vie de Jeanne d'Arc qui donne sur la façade. |
Saint Augustin et sa mère
Monique à Ostie, détail.
Vitrail signé «C. Riquier» |
«La Crucifixion»
Tableau du XIXe siècle dans la chapelle de la Compassion
dont l'auteur n'est pas indiqué. |
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«Saint Clodoal renonce au trône et se fait
moine»
Peinture de Durupt, 1831.
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Sainte Geneviève se consacre au Christ devant saint
Germain, détail.
Vitrail de l'atelier François Fialex à Mayet,
1866. |
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Un
point d'Histoire mérovingienne.
A sa mort en 511, Clovis laisse trois fils
: Clodomir, roi d'Orléans ; Childebert,
roi de Paris et Clothaire, roi de Soissons.
Le pouvoir revient à Clodomir qui a lui
aussi trois fils.
Lorsque Clodomir meurt en 524, ses trois fils
sont confiés à leur grand-mère
et veuve de Clovis, sainte Clotilde. Ils
ont pour nom Théobald, Gonthier
et Clodoald et sont âgés respectivement
de dix, sept et cinq ans. Mais leurs oncles Childebert
et Clothaire veulent le pouvoir. Ils demandent
donc, tout simplement, à Clotilde si elle
préfère voir ses petits-fils tondus
ou morts. Si l'on sait qu'à cette époque
les cheveux longs étaient le privilège
des princes mérovingiens, la question revenait
donc à choisir entre les laisser tuer ou
les faire renoncer au trône de leur père.
Fièrement, Clotilde refuse qu'ils renoncent
à leurs droits.
Conséquence : Théobald et Gonthier
sont assassinés. Clodoald réussit
à se cacher grâce à l'aide
d'hommes dévoués. Plus tard, il
coupera ses longs cheveux et se fera clerc.
N'en déplaise à tous les pseudo-historiens
qui prétendent que les ancêtres des
Français ne sont pas les gaulois, rappelons
ici ce qu'écrit Maurice Bouvier-Ajam, spécialiste
de la Basse Antiquité et de l'époque
mérovingienne, dans son ouvrage Dagobert
: en Gaule, vers l'an 490, le total des barbares
immigrés (essentiellement les Francs) ne
dépassait guère 425 000 personnes
alors que la population autochtone (gauloise et
celte) est estimée à 4 millions
600 000 individus. Ce sont les ancêtres
des Français. L'expression «Nos ancêtres
les Gaulois» vient de la IIIe République
qui a voulu faire savoir que l'Histoire de France
commençait avec les Gaulois d'avant César
et non pas avec le Clovis de l'Église chrétienne.
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«Saint Clodoal renonce au trône et se fait
moine», détail.
Tabbleau du peintre Durupt, 1831.
À cette époque, les cheveux longs étaient
le privilège des princes mérovingiens. |
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LA CHAIRE À PRÊCHER D'ERNEST GUILBERT
(1899) |
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L'ange de l'Inspiration dans l'abat-son. |
Saint Jean dans la chaire à prêcher.
Le sculpteur Ernest Guilbert a prêté
ses propres traits à l'apôtre. |
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La magnifique chaire à prêcher de l'église
Saint-Clodoald date de l'année 1899.
On pourra voir une autre très belle chaire à prêcher
du XIXe siècle à l'église Notre-Dame
à Niort.
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Ange trompettiste accompagnant l'ange
de l'Inspiration au-dessus du prédicateur. |
La
chaire de Saint-Clodoald, en chêne
massif, est une uvre d'Ernest Guilbert
datée de 1899. Elle a figuré à
l'Exposition universelle de 1900 avant d'être
installée dans l'église la même
année. On raconte que bien des paroissiens,
impatients de découvrir leur nouvelle chaire,
ont fait le déplacement dans la capitale.
Les trois personnages sculptés au-dessous
de la cuve de la chaire sont :
- au centre et debout, saint Pierre, sous les
traits du pape Léon XIII (1878-1903) ;
- à gauche, saint Jean, assis, qui écrit
: «Et le Verbe s'est fait chair».
L'apôtre a pris les traits du sculpteur
Ernest Guilbert lui-même. On en donne une
image en gros plan à gauche.
- à droite, saint Clodoald en robe de moine.
Le sculpteur lui a donné les traits d'Edouard
Delfaux qui fut curé de la paroisse de
1889 à 1902. Le saint offre son sceptre
et sa couronne (cette dernière a disparu).
Source : note affichée
dans l'église.
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La chaire à prêcher du sculpteur Ernest Guilbert
(1899), partie basse. |
Vitrail de 1866
Atelier d'Achille et Eugène Oudinot.
Sainte Catherine de Sienne essaie de convaincre
le pape Grégoire XI de quitter Avignon pour
Rome. Derrière Grégoire XI, on reconnait la tour
crénelée du Palais des Papes à Avignon.
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LES CHAPELLES ABSICIALES DE SAINT-CLODOALD |
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Chapelle de la Vierge (remaniée en 1929).
La Vierge et l'Enfant sont honorés par les trompettes
des anges de l'Apocalypse
(Mosaïque de l'atelier Mauméjean). |
Vierge à l'Enfant, détail.
Statue en bronze de Joseph Cirasse.
Chapelle de la Vierge. |
Ange dans le mur de mosaïques derrière la
Vierge (Atelier Mauméjean). |
Chapelle du Saint-Sacrement
(Anciennement chapelle Saint-Louis) |
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«Annonciation» de Maurice Tastemain, 1929.
Vitrail de la chapelle de la Vierge. |
«La Mort de saint Joseph»
Mosaïque de Charles Geoffroy-Dechaume.
1928, Chapelle de la Vierge
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«Piéta» de Maurice Tastemain, 1929.
Vitrail de la chapelle de la Vierge. |
Saint Louis dicte ses volontés, détail.
Vitrail de l'atelier Antoine Lusson, 1866. |
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LE CHUR DE SAINT-CLODOALD |
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Le chur de Saint-Clodoald : les peintures ne laissent pas la
moindre surface de pierre visible. |
Les
peintures du chur. Dans les arcades,
derrière le maître-autel, on trouve cinq
grande peintures de l'artiste Jules-Alexandre Duval-Lecamus
(1814-1878). Elles retracent la vie de saint Clodoald.
La photo ci-dessus donne les trois dernières.
La peinture de gauche, ci-dessous, illustre l'ordination
de Clodoald par l'évêque Eusèbe.
À sa mort, en 560, son corps est descendu dans
la crypte de l'église qu'il a fait construire.
En 885, lors de la menace normande, les reliques sont
transférées à la cathédrale
de Paris. Cinq ans plus tard, elles sont ramenées
en procession à Saint-Cloud.
C'est la scène représentée sous
la deuxième arcade ci-dessous.
Au Moyen Âge, l'église était un
lieu de pèlerinage à saint Clodoald. Il
fallait donc rendre les reliques plus accessibles aux
fidèles. Aussi, en 1376, furent-elles retirées
du tombeau et déposées dans une châsse.
On fit mieux encore : une fête de la Translation
des reliques fut instituée le 8 mai de chaque
année. L'histoire raconte que, à certaines
époques, on plongeait un os du doigt du saint
dans une fontaine située rue d'Orléans.
Semblable à l'onction du roi de France à
l'occasion de son sacre, l'eau avait la réputation
de guérir des écrouelles.
À la Révolution, des paroissiens zélés
sauvèrent du saccage un os de l'avant-bras et
une vertèbre dorsale. L'Église récupéra
les deux reliques quelques années plus tard et
les rendra à la vénération : en
1848 pour la première ; en1863 pour la seconde.
L'os de l'avant-bras se trouve actuellement dans la
châsse en bronze placée sous l'autel.
La troisième peinture montre l'accueil de Clodoald
au ciel en présence de la reine Clotilde et de
l'évêque Rémi. La quatrième
dépeint la construction de son monastère.
La cinquième illustre la guérison d'un
petit aveugle et la bénédiction des enfants.
Au-dessus des arcades, les peintures représentent
de gauche à droite : la Foi, la Charité
et l'Espérance. Elles sont entourées des
symboles des quatre évangélistes.
Source : panneau affiché
dans l'église.
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L'Espérance (Duval-Lecamus). |
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Les peintures de Jules-Alexandre Duval-Lecamus évoquent des
épisodes de la vie de saint Clodoald.
De gauche à droite : son ordination, la translation de ses
reliques, son arrivée au Paradis, la construction de son monastère. |
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«Saint Clodoald guérit les malades»
Peinture de Jules-Alexandre Duval-Lecamus. |
«Saint Clodoald construit son monastère»
Peinture de Jules-Alexandre Duval-Lecamus. |
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L'élévation du chur.
Entre les colonnes semi-engagées qui s'élèvent
jusqu'à la retombée des voûtes, l'architecte a
tenu à souligner,
par des motifs néo-gothiques, toutes les séparations
entre les surfaces. |
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Sainte Clotilde, mère de Clovis, détail.
Atelier François Fialex à Mayet, 1866.
à DROITE ---»»»
«Saint Clodoald est ordonné prêtre par Eusèbe,
évêque de Paris»
Peinture de Jules-Alexandre Duval-Lecamus.
«««--- À GAUCHE
«Laissez venir à moi les petits enfants»
Vitrail axial de l'abside.
Atelier Achille et Eugène Oudinot, 1866. |
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Chemin de croix, station X.
Jésus est dépouillé de ses vêtements. |
«La Crucifixion» de Michel Dumas (1812-1885). |
L'orgue de tribune. |
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La nef et l'orgue de tribune vus du chur. |
Documentation : panneaux affichés dans
la nef
+ Site Internet de la paroisse de Saint-Cloud : https://paroisse-saintcloud.fr
+ «Le vitrail du XIXe siècle et les ateliers manceaux»,
Musées du Mans, éditions Cénomane. |
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