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L'église Sainte-Odile est située
dans les quartiers excentrés de Paris. Ces quartiers ont
bénéficié en priorité de l'action des
Chantiers du Cardinal à partir des années 1930,
mais Sainte-Odile n'a pas eu un sou. L'église est construite
de 1935 à 1946 à l'initiative de Mgr Eugène-Edmond
Loutil (1863-1959) pour rendre hommage à la sainte de son
Alsace natale. L'architecte a pour nom Jacques Barge (1904-1979).
C'est un jeune dans le métier, diplômé depuis
seulement quatre ans. Il a 31 ans quand il prend les rênes
de la construction. L'église Saint-Odile va le faire connaître,
mais ce sera le seul bâtiment qu'il construira à Paris.
Tout le reste ou presque sera pour l'Indre, le département
de sa naissance.
Avec trois coupoles rappelant la cathédrale Saint-Front à
Périgueux et la célèbre Sainte-Sophie, Jacques
Barge a opté pour un esprit, plutôt qu'un style, roman-byzantin.
L'édifice est en béton armé recouvert de grès
de Saverne et de briques roses. Sur la gauche de la nef, les trois
chapelles latérales - très dépouillées
- sont heureusement éclairées par la grande verrière
de 300m² de François Décorchemont (1880-1971)
dont on donne un très large extrait dans cette page. Cette
verrière répartie en trois baies est regardée
comme l'un des chefs d'uvre de l'art du verre au XXe siècle.
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Vue d'ensemble de l'église Sainte-Odile
Sur la gauche, trois chapelles sous de vastes voûtes en cul-de-four
; sur la droite, trois grandes verrières signées François
Décorchemont. |
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Éclairée par trois grandes verrières et trois
coupoles aérées, la nef contraste avec un chur
jeté dans la pénombre.
La lumière électrique qui l'éclaire partiellement
essaie difficilement de happer le regard du fidèle quand il
entre. |
Le mur et les vitraux côté square Sainte-Odile
Sur la photo de droite, on voit le parti pris par l'architecte Jacques
Barge pour ---»»»
le couvrement du béton armé : un appareillage de grès
et de briques roses à
dessins losangés joue des reliefs et des couleurs pour créer
un peu de vie. |
Suite d'arcades le long du mur droit ornées de chapiteaux sur
un fond de grès et de briques roses |
La construction
de l'église Sainte-Odile. Monseigneur Edmond
Loutil (alias Pierre l'Ermite, écrivain et chroniqueur
au journal La Croix), curé de l'église
Saint-François-de-Sales dans le 17e arrondissement
de Paris, voulait absolument ériger une église
dédiée à Odile, sainte patronne de l'Alsace,
mais également à sa mère qui portait
le même prénom. Le Cardinal Verdier, responsable
des Chantiers du Cardinal, déjà en charge
de plus d'une centaine d'églises, lui fit comprendre
qu'il n'aurait pas un sou. Mgr Loutil, qui avait dépassé
les 70 ans au début des années 1930, mit donc
à profit le pouvoir des médias pour en appeler
à la générosité publique. Disposant
des fonds nécessaires, le chantier put commencer en
1935. Mais, en 1936, le Front populaire arrive au pouvoir.
La construction, qui devait durer trois ans, en prendra onze.
La grève paralyse le chantier à deux reprises,
puis la guerre l'interrompt.
L'architecte Jacques Barge, âgé de 31
ans au commencement du chantier, illustre le concept sacré
des soixante-douze disciples envoyés par le Christ
: la longueur de l'église aura 72 mètres, le
clocher fera 72 mètres de haut. Ce dernier sera pourvu
de vingt-trois cloches, plus trois autres, plus grosses. Pour
éviter de
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mettre à mal l'ossature
de l'église quand le carillon sonne, Jacques Barge
sépare le clocher du reste de l'édifice. Les
trois coupoles qui symbolisent la Trinité sont faites
d'un mince voile de béton protégé par
une couche de cuivre.
Enfin, Monseigneur Loutil réussit à s'entourer
d'artistes de talent : François Décorchemont
pour la verrière, le sculpteur Roux-Colas, le
mosaïste Labouret, le céramiste Robert
Barriot entre autres. Barriot fut chargé de l'ornementation
du chur. Il se lança dans une imposante sculpture
en émail sur cuivre repoussé au marteau. À
cette fin, Mgr Loutil n'hésita pas à l'héberger,
lui et sa famille, dans le clocher de Sainte-Odile pendant
quinze ans! Le contrat, que les deux parties avaient signé,
stipulait que l'artiste devait travailler à pied d'uvre,
comme les artisans du Moyen Âge! Barriot mit au point
une nouvelle sorte d'émail qui autorisait une gamme
chromatique infinie. Malheureusement pour les férus
d'art sacré, le chef-d'uvre qu'il a créé
- le Père Céleste entouré des vingt-quatre
vieillards de l'Apocalypse - n'est pas toujours très
visible dans le chur. C'est néanmoins le plus
grand émail d'un seul tenant du monde (voir plus
bas).
Source : «Les Chantiers du Cardinal», Éditions
Ouest-France
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Vitrail de l'archange Raphaël avec les saints évangélisateurs de la
Gaule (François Décorchemont) |
Les consoles à la retombée des arcs-doubleaux
entre les coupoles sont ornées
de bas-reliefs d'Anne-Marie Roux-Colas. Ils évoquent
les quatre évangélistes.
Ici, l'aigle de Jean (en haut) et l'homme de Matthieu (en bas) |
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Le baptême de Clovis
Vitrail de l'archange Raphaël |
Le mariage de Radegonde et de Clotaire
Vitrail de l'archange Raphaël |
Saint Denis en Gaule
Vitrail de l'archange saint Raphaël |
Gros plan sur la robe de sainte Geneviève dans le vitrail de
l'archange Raphaël : on y voit les possibilités offertes
par la pâte de verre. |
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Sur le côté nord, les colonnettes géminées
qui scandent la nef sont surmontées
de chapiteaux en pierre représentant des personnages
en marche. Ils illustrent le pèlerinage du mont
Sainte-Odile. uvres d'Anne-Marie Roux-Colas. |
Les pèlerins se dirigent vers le mont Sainte-Odile |
À DROITE ---»»»
La Sainte Vierge offrant son enfant au monde
uvre d'Anne-Marie Roux-Colas |
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Vitrail de l'archange Raphaël
Sainte Radegonde (détail) |
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Le
béton armé dans les églises du
XXe siècle. Au cours de l'Histoire,
les églises ont d'abord été construites
en bois, puis en pierre (et même en pierre
armée dans les plus grands édifices gothiques
comme la cathédrale
de Beauvais). Ces matériaux ont donné
les chefs d'uvre que nous connaissons. Dans la
deuxième moitié du XIXe siècle,
les architectes, usant des nouvelles technologies, ont
commencé à innover. D'abord par l'emploi
d'une ossature en fer recouverte de pierres.
Ce qui permettait une construction rapide, robuste et
peu coûteuse. La première église
de Paris bâtie de la sorte fut Saint-Eugène
(9e arr.). Puis vint le procédé du ciment
armé de Paul Cottencin retenu pour les surfaces
plates dans l'église Saint-Jean-de-Montmartre
(18e arr.). Le début du XXe siècle vit
arriver de nouveaux matériaux, notamment le béton
armé, et de nouveaux procédés
permettant de construire ce que les bâtisseurs
du Moyen Âge n'ont jamais pu faire. Par exemple
de larges voûtes sans piliers intermédiaires
pour soutenir la structure (basilique Sainte-Jeanne
d'Arc, 18e). C'est avec l'église Sainte-Dominique
(14e arr.) que le béton armé allait recevoir
ses lettres de noblesse. Commencée en 1913, sa
construction fut interrompue par la guerre. Cependant
toutes les piles de l'église, les voûtes
et les toitures étaient bâties. Seule manquait
la coupole. Malgré les huit années d'intempéries,
de neige, de froid, de gel, on constata, à la
reprise du chantier après la guerre, que la solidité
du béton était à toute épreuve
car d'autres édifices, abandonnés pour
les mêmes raisons dans des conditions climatiques
similaires, avaient dû être repris totalement.
Le béton armé est devenu maintenant extrêmement
commun, mais il souffre d'un défaut inhérent
à sa nature : en le décoffrant, on fait
apparaître une matière qui n'est pas bien
belle et qui porte les stries du coffrage. D'où
la question qui s'est posée aux architectes des
églises au XXe siècle : faut-il recouvrir
le béton armé par un matériau plus
noble (et plus agréable à l'il)
ou le laisser brut de décoffrage? Peut-on voir
dans le béton un aspect, une essence, un esprit
compatibles avec le sacré? ---»»»
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Ce problème s'appelle doctement celui de
la «vérité constructive».
Il lie en fait le matériau de construction
à l'ornementation et occupe les esprits
depuis le XVIIe siècle. Dans l'histoire
du béton, l'église Notre-Dame du
Raincy (achevée en 1923) a un statut particulier
: c'est la première fois qu'un architecte,
en l'occurrence Auguste Perret, choisissait
de laisser le béton brut de décoffrage.
Il scindait ainsi en deux l'histoire de l'architecture
religieuse au XXe siècle. Certes, la nef
de l'église bénéficiait de
la gigantesque verrière dessinée
par Maurice Denis. Néanmoins, la polémique
était lancée. Une église
pouvait-elle ressembler à un hanger d'aviation
ou à une gare de chemin de fer? demandaient
les uns. On pourrait rajouter, après la
seconde guerre mondiale : ou à une base
de sous-marins? (Voir à ce sujet l'église
du Saint-Esprit
à Paris.) Mais d'autres prétendaient
que le béton armé portait en soi
des ressources de religiosité cachées
qui le rendaient digne de le mettre à nu.
Le béton est-il éternel? Ne va-t-il
pas s'abîmer au fil des siècles,
voire des décennies? questionnaient les
autres. (En fait, le béton a depuis longtemps
montré sa fragilité - voir l'église
Notre-Dame
à Royan,
dont le béton a été fait
avec le sable de la plage, donc pollué
par le sel...).
Dans l'Entre-deux-guerres, les réponses
à ces questions opposèrent deux
écoles d'architecture. L'école dite
rationaliste (dans la lignée d'Eugène
Viollet-le-duc) a soutenu le béton et son
aspect brut de décoffrage au motif qu'on
ne touche pas le matériau ---»»»
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Couvrement losangé du mur par la brique (ici, entre
deux chapelles latérales) |
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primaire utilisé pour construire une église.
Après tout, l'église du Saint-Esprit,
dont la pénombre intense cache tous les
décors muraux, n'est pas sans charme. Mais,
jusqu'à la dernière guerre, la plupart
des architectes trouvaient laide la nudité
du béton et décidèrent de
l'habiller : les uns proposèrent le ciment,
garantissant une surface lisse ; beaucoup utilisèrent
la brique, matériau peu cher, résistant
et que l'on peut assembler de manière à
assurer un jeu décoratif pour animer les
façades. Nombreuses sont à Paris
les églises du XXe siècle de ce
style. À Sainte-Odile, l'architecte Jacques
Barge a choisi un revêtement de briques
appareillées de manière à
définir des losanges en relief (voir photo
ci-dessus.) La pierre fut utilisée
plus tardivement comme matériau de revêtement,
surtout pour les façades. En rappelant
les constructions du passé, elle est typique
de ce qu'on appelle le style «village»
(voir les façades en pierre des églises
parisiennes de Saint-Ferdinand-des-Ternes
et de Saint-Pierre-de-Chaillot).
Source : «Églises parisiennes
du XXe siècle», Action Artistique
de la Ville de Paris (1996), article «Les
matériaux ou les parures du béton»
de Simon Texier.
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Partie centrale du vitrail de l'archange Raphaël
uvre de François Décorchemont (verrière
exécutée de 1935 à 1938) |
Le trois coupoles de l'église |
Les fonts baptismaux de Gérard Ambroselli (1985) |
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Sainte Radegonde
Vitrail de l'archange Raphaël |
Si l'église Sainte-Odile
a été terminée dans la période
de l'après-guerre, sa décoration s'est
prolongée jusque dans les années 1980.
Les fonts baptismaux
de Gérard Ambroselli sont achevés en 1985.
L'artiste a retenu une iconographie fidèle aux
débuts de l'histoire écclésiale
; et son style rappelle le style médiéval.
Il a orné le socle d'une Ronde des Cerfs
(le cerf est l'attribut des catéchumènes).
La cuve est ornée de bas-reliefs illustrant huit
moments importants de l'histoire de l'Ancien et du Nouveau
Testament : l'Arche de Noé, Moïse, le Bon
Pasteur, le baptême du Christ, etc. Gérard
Ambroselli est également l'auteur de la statue
de sainte Odile guérissant une fillette aveugle,
située juste derrière les fonts baptismaux.
Source : «Églises parisiennes du
XXe siècle», Action Artistique de la Ville
de Paris (1996), article «La sculpture ou les
visages du sacré» de Michèle Lefrançois.
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La Ronde des cerfs sur le socle des fonts baptismaux de Gérard
Ambroselli |
Chapelle latérale centrale avec les fonts baptismaux |
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Le vitrail central illustre des épisodes de la vie, en grande
partie légendaire, de sainte Odile. |
Les trois chapelles latérales vues depuis l'entrée |
Statue de sainte Rita |
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Statue de sainte Rita
Auteur non précisé |
«««--- À GAUCHE
Sainte Geneviève
dans le vitrail de
l'archange saint Raphaël
(François Décorchemont)
À DROITE ---»»»
Vitrail de sainte Odile
Deux épisodes
de la vie de sainte Odile :
1) Elle recouvre la vue
lors de son baptême
2) Son père la fait revenir
au château |
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La grande verrière de François Décorchemont éclaire
relativement bien la nef. |
La nef vue depuis les fonts baptismaux |
Vitrail de sainte Odile : «Touché par la
grâce,
son père lui donne un monastère» |
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Partie centrale du vitrail de sainte Odile |
L'orgue de tribune et le vitrail de saint Michel |
La
prouesse technique de François Décorchemont.
La verrière de 300m² de Sainte-Odile a été
exécutée entre 1935 et 1938. Elle illustre
des scènes de la vie de sainte Odile (vitrail
du centre). Le vitrail de gauche représente l'archange
saint Raphaël, celui de droite, l'archange saint
Michel. Tous deux sont entourés des saints évangélisateurs
de la Gaule. Mais cette grande verrière est intéressante
sur le plan technique. Elle fait en effet appel à
un nouveau procédé qui lie les vitraux
par le ciment et non par le plomb. En outre, Décorchemont
(1880-1971) a utilisé la difficile technique
de la pâte de verre, qu'il pratiquait depuis
1903. Chaque pièce de la verrière possède
son propre moule. Tout l'art consiste à savoir
mélanger les pâtes colorées pour
obtenir des effets de modelés et de décors.
La peinture émaillée n'est plus utilisée.
Chaque pièce apparaît donc comme un objet
d'art travaillé individuellement. Mais il y a
encore mieux : les petits traits qui apparaissent en
noir et qui souvent définissent les formes des
visages (il, nez, bouche, etc. ) ne sont pas produits
par de la grisaille, mais par un sillon dans la pâte
de verre rempli de ciment! Ce procédé
est évidemment long et complexe. Il est aussi
plus coûteux. La verrière n'a pu voir le
jour que par l'opiniâtreté de Mgr Loutil
qui, nous disent les sources, aurait eu un véritable
coup de foudre lors de la présentation par Décorchemont
de ses premiers essais au musée Galliera en 1934.
Le prélat chargea l'artiste de la création
de la verrière de Sainte-Odile et... réussit
à en assurer le financement. La verrière
de l'église Sainte-Odile est la seule réalisation
parisienne de François Décorchemont. Elle
est regardée comme l'un des chefs-d'uvre
des arts du verre au XXe siècle.
Source : «Églises parisiennes du
XXe siècle», Action Artistique de la Ville
de Paris (1996), article «Le vitrail, figuration
et abstraction» d'Hervé Cabezas.
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Vitrail de l'archange saint Michel |
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Statue de sainte Odile guérissant une fillette aveugle
par Gérard Ambroselli |
Statue de sainte Odile en bois (auteur non précisé)
Elle est représentée ici en abbesse bénédictine
du couvent de Hohenburg. |
Saint Martin
Vitrail de l'archange saint Michel |
Saint Germain
Vitrail de l'archange saint Michel |
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Partie centrale du vitrail de l'archange saint Michel |
Saint Léger est décapité
dans la forêt de Sansing
Vitrail de l'archange saint Michel |
Saint Michel à Jeanne :
«Va délivrer le roi de France»
Vitrail de l'archange saint Michel |
«««--- À GAUCHE
Deux gros plans sur le vitrail de l'archange saint Michel :
La Pesée des âmes
Saint Michel terrasse le démon |
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LE CHUR DE L'ÉGLISE
SAINTE-ODILE |
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Vue d'ensemble du chur de Sainte-Odile et du retable en émail
sur cuivre repoussé de Robert Barriot
Bien que construite avant Vatican II, on ne peut qu'être surpris
par la distance qui sépare, dans cette église moderne,
le maître-autel des premiers
bancs des fidèles (qui se situent juste en dehors de la photo
avant la clôture du premier plan). Où se trouve donc
l'autel utilisé pour l'office? |
Le Père Céleste entouré des vingt-quatre vieillards
de l'Apocalypse (partiel). uvre de Robert Barriot |
Un vitrail dans le chur
Le pélican donne sa vie
pour ses petits. |
L'ornementation
du chur. Robert Barriot travailla
jusqu'en 1953 à son retable en émail sur
cuivre repoussé (voir plus haut). Le retable
se compose de sept panneaux de cuivre rouge repoussé
au marteau et émaillé, de plus de trois
mètres de hauteur (3,17m exactement). Au registre
inférieur, Barriot a représenté
les sept Églises de l'Apocalypse. Au registre
supérieur, les vingt-quatre vieillards entourent
le Père Céleste.
Le somptueux maitre-autel (photo ci-dessous) est signé
du verrier Auguste Labouret (1871-1964). Celui-ci
utilisa une technique nouvelle : des dalles de verre
épaisses éclatées au marteau, ce
qui permettait de multiplier les éclats de la
matière. Le résultat est magnifique :
l'autel de Labouret est orné de deux paons de
couleur orangé au milieu de pampres gris pâle
et d'entrelacs dorés. (Le paon est un symbole
d'immortalité dans les catacombes romaines.)
Compte tenu de la profondeur du chur, si vous
voulez admirer pleinement le travail de Labouret dans
le maître-autel, une paire de jumelles est indispensable.
Source : «Églises parisiennes du
XXe siècle», Action Artistique de la Ville
de Paris (1996), article «Le vitrail, figuration
et abstraction» d'Hervé Cabezas.
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Le maître-autel d'Auguste Labouret et ses dalles de verre éclatées
au marteau |
Vitrail dans le chur |
Le tabernacle
Au-dessus, l'agneau de Robert Barriot |
Les Anges
Lancette centrale du vitrail de sainte Odile |
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Le Père Céleste avec l'agneau à ses pieds
Émail sur cuivre repoussé de Robert Barriot |
Saint Léger
dans le vitrail de l'archange saint Michel |
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La nef et l'orgue de tribune vus du chur
L'orgue de tribune date de 1950. Il est dû aux facteurs Rochesson-Beuchet-Debierre. |
Documentation : «Paris d'église
en église», Massin Éditeur, ISBN : 978-2-7072-0583-4
+ «Églises parisiennes du XXe siècle», Action
artistique de la Ville de Paris
+ «Les Chantiers du Cardinal», Éditions Ouest France,
ISBN : 978-2-7373-5508-0 |
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