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Page créée en avril 2015
Le vitrail du Sacré-Cœur, détail

Le quartier historique de Rouen, celui que visitent les touristes, est assez réduit. Au XVIIIe siècle, la ville s'est étendue au sud, sur la rive droite (églises Saint-Sever et Saint-Clément). Au XIXe, ce sont les quartiers ouest qui se sont énormément développés avec l'implantation d'usines et l'aménagement du port. Au niveau cultuel, les habitants ne disposaient que des églises Sainte-Madeleine et Saint-Gervais et, à la fin du XIXe siècle, elles étaient bien éloignées des maisons les plus récentes construites à l'ouest. C'est pourquoi le curé de la Madeleine décida de faire bâtir un nouvel édifice religieux au cœur de ces nouveaux quartiers. L'archevêque de Rouen chargea le vicaire de Saint-Gervais de s'occuper de la maîtrise d'œuvre. C'est à Lucien Lefort (1856-1916), à l'époque architecte en chef de la Seine-Inférieure, que l'on doit les plans de la nouvelle église. Elle est conçue selon les règles du style roman de la fin du XIe siècle, c'est-à-dire une époque où la mutation vers le gothique se dessine, par le déambulatoire et les voûtes d'ogives notamment.
La basilique du Sacré-Cœur est une très belle église, à la conception originale. Bâtie entre deux routes, sur un terrain en trapèze, sa nef étroite débouche sur un large transept et un vaste chœur. Un beau triforium parcourt toute la longueur de l'édifice. Des fenêtres allongées en plein cintre éclairent la nef, ce qui contraste avec les chapelles rayonnantes du déambulatoire, plus basses, éclairées par des fenêtres en arcades enrichies des vitraux de l'atelier rouennais Moïse.
L'architecte a fait du bon travail : déambuler autour du chœur permet réellement de goûter à un parfum roman mâtiné de gothique, un charme original pour une église construite de 1890 à 1912 ! Terminons en ajoutant que l'église du Sacré-Cœur a été consacrée au titre de basilique mineure le 30 mai 1918.

Vitrail de l'Annonciation, détail
Vue d'ensemble de la basilique du Sacré-Cœur à Rouen
Vue d'ensemble de la basilique du Sacré-Cœur à Rouen.
La façade est orientée à l'est
La façade est orientée à l'est.
Le clocher culmine à 55 mètres.

À DROITE ---»»»
Le tympan du portail reçoit une mosaïque d'Albert Polart (1912) :
deux paons s'abreuvent à la Fontaine de vie.
Vue d'ensemble de la basilique
Vue d'ensemble de la basilique.
Mosaïque d'Albert Polart sur le tympan du portail (1912)
L'élévation gauche de la nef et son triforium
L'élévation gauche de la nef et son triforium.
On voit sur cette photo la caractéristique architecturale de l'église : un triforium largement
ouvert et reposant sur les voûtes en berceau qui surplombent les bas-côtés.
Ce triforium fait le tour complet de l'intérieur de l'édifice.
Saint Paul, détail
Saint Paul, détail
Vitrail dans l'abside
vers 1900.
Monument aux soldats morts pour la France
Monument aux soldats morts pour la France
par André Lefort (1920).
Les Pèlerins d'Emmaüs
Les Pèlerins d'Emmaüs
Vitrail de l'atelier Moïse (vers 1900).
Les mosaïques de la chaire à prêcher :
Les mosaïques de la chaire à prêcher :
1) Saint Paul prêchant aux Athéniens
2) Saint Martin de Tours abat les arbres
sacrés en Gaule
Œuvres d'Albert Polart.
Statue du Sacré-Cœur sur la façade
Statue du Sacré-Cœur sur la façade
due à M. Tirant.
Le clocher a été achevé en 1912
Le clocher a été achevé en 1912.
Plan de la basilique du Sacré–Cœur
Le plan de la basilique du Sacré-Cœur est fort
peu banal. L'architecte a dû composer avec
le tracé des rues adjacentes.
On se reportera avec intérêt à l'église Saint-Augustin à Paris, construite elle aussi sur un terrain en trapèze.
Mosaïque de la chaire à prêcher
Mosaïque de la chaire à prêcher :
Le Christ Semeur de la Bonne Nouvelle
Œuvre d'Albert Polart.
La chaire à prêcher (fin du XIXe siècle)
La chaire à prêcher (fin du XIXe siècle)
et ses panneaux en mosaïque d'Albert Polart.
Élévations dans le chœur et vue sur le transept droit
Élévations dans le chœur et vue sur le transept droit.
Monument aux soldats morts pour la France (guerre de 14-18), détail
Monument aux soldats morts pour la France (guerre de 14-18), détail
par André Lefort, 1920.
Sainte Geneviève exhortant les Parisiens à la lutte
Sainte Geneviève exhortant les Parisiens à la lutte
Atelier Moïse, Rouen, vers 1900.
Sainte Jeanne d'Arc appelée par les voix
Sainte Jeanne d'Arc appelée par les voix
Atelier Moïse, Rouen, vers 1900.

Les vitraux de la basilique du Sacré-Cœur illustrent bien sûr des scènes traditionnelles de l'iconographie catholique : la vie de la Vierge, la vie de l'Enfant Jésus et des épisodes de saints français illustres. La plupart ont été réalisés par l'atelier rouennais Gustave Moïse dans les années 1890-1910. Les quatre verrières de l'abside qui entourent le vitrail central posé en 1991 (Apparition de Jésus à sainte Marguerite-Marie) sont dues à l'atelier Boulanger. On constate en effet que le style est légèrement différent de ceux de l'atelier Moïse.
Toutefois certains vitraux relatent des scènes originales : saint Joseph taillant dans l'écorce d'un gros morceau de tronc d'arbre ; la Vierge portant une cruche sur la tête ; le Bon Pasteur portant un casque colonial. Enfin le vitrail du Sacré-Cœur, dédié au commerce et à l'industrie, expose deux belles scènes de la ville de Rouen vers l'année 1900, dignes de retenir l'attention des historiens : une vue du port et une vue des usines du quartier ouest. S'il est intéressé par l'iconographie et l'histoire de Rouen, le visiteur de la basilique ne devra pas négliger les vitraux.

LE TRANSEPT DE LA BASILIQUE DU SACRÉ-CŒUR
Le transept gauche avec sa grande verrière de la Crucifixion
Le transept gauche avec sa grande verrière de la Crucifixion
et la fresque de Paul-Hippolyte Flandrin (1856-1921).
«Le Don de l'Eucharistie», détail
«Le Don de l'Eucharistie», détail
Fresque de Paul-Hippolyte Flandrin (1856-1921).
La grande verrière de la Nativité
La grande verrière de la Nativité
dans le transept droit.
Atelier Moïse, vers 1900.
Les Blessés de guerre implorent le Sacré-Cœur
Les Blessés de guerre implorent le Sacré-Cœur
Fresque dans le transept gauche de Paul-Hippolyte Flandrin (1856-1921).
Sainte Madeleine
Sainte Madeleine
Atelier Moïse, 1895.
La première Communion de deux enfants ou «Le Don de l'Eucharistie»
La première Communion de deux enfants ou «Le Don de l'Eucharistie»
Fresque dans le transept droit de Paul-Hippolyte Flandrin (1856-1921).
La Vierge, saint Jean et sainte Madeleine
La Vierge, saint Jean et sainte Madeleine.
Jésus sur la croix
Jésus sur la croix.
Un soldat romain défie Jésus
Un soldat romain défie Jésus.

LA GRANDE VERRIÈRE DE LA CRUCIFIXION DANS LE TRANSEPT GAUCHE (Atelier Moïse, Rouen, vers 1900)

L'Adoration des mages
L'Adoration des mages.
La Vierge et l'Enfant
La Vierge et l'Enfant.
L'Adoration des bergers
L'Adoration des bergers.

LA GRANDE VERRIÈRE DE LA NATIVITÉ DANS LE TRANSEPT DROIT (Atelier Moïse, Rouen, vers 1900)

LE CHŒUR DE LA BASILIQUE DU SACRÉ-CŒUR
Vue d'ensemble du chœur
Vue d'ensemble du chœur.
Le maître-autel est dominé par une statue du Sacré-Cœur en marbre blanc (à gauche) due à Eugène Bénet (1903).
Les arcades en plein cintre qui ceinturent le chœur et le transept possèdent des écoinçons ornés de beaux bas-reliefs illustrant des symboles du catholicisme.
Bas–relief présentant un oiseau-lyre dans un écoinçon du transept
Bas-relief présentant un oiseau-lyre dans un écoinçon du transept.
Le chœur vu depuis l'autel de messe
Le chœur vu depuis l'autel de messe.
Les fenêtres hautes du chœur
Les fenêtres hautes du chœur

Architecture. La photo ci-dessus des fenêtres hautes du chœur montre le parti suivi par l'architecte : une sophistication de la décoration dans un style roman. On remarque les voûtes en plein cintre qui relient les fenêtres à la voûte d'ogives. Les deux retombées de ces voûtes en plein cintre reposent sur des colonnettes semi-engagées. Celles-ci viennent buter sur des culots situés au niveau des culots qui couronnent les colonnettes principales de la nef. L'ensemble garde une allure assez aérienne.

Apparition du Sacré–Cœur à sainte Marie–Marguerite
Marie-Marguerite
Alacoque devant
le Sacré-Cœur.
Vitrail central du chœur
Présentation de Jésus au temple Présentation de Jésus au temple
Présentation de Jésus au temple
Vitrail de l'abside gauche (Atelier Boulanger, Rouen).
Vue d'ensemble du transept gauche et du chœur
Vue d'ensemble du transept gauche et du chœur.
Sainte-Marie Madeleine au pied de la croix
Sainte-Marie Madeleine au pied de la croix.
Vitrail de l'abside droite
(Atelier Boulanger, Rouen)
La Vierge, saint Jean et une sainte femme
La Vierge, saint Jean et une sainte femme.
Vitrail de l'abside droite
(Atelier Boulanger, Rouen)
La partie haute du chœur
La partie haute du chœur.
Le vitrail central est contemporain. Il illustre une apparition du Christ à sainte Marguerite-Marie
selon le modèle visible à la chapelle du Couvent des Sœurs de la Visitation à Paray-le-Monial.
Statue du Sacré-Cœur au centre de l'abside
Statue du Sacré-Cœur au centre de l'abside
par Eugène Bénet.
L'orgue de chœur
L'orgue de chœur
Fin du XIXe siècle.
Jésus et les quatre évangélistes dans le sous–bassement du maître–autel
Jésus et les quatre évangélistes dans le sous-bassement du maître-autel.
Bronze doré, œuvre d'Alphonse Guilloux.
Quatre saints locaux (vitrail de l'atelier Moïse, 1903)
Ce beau vitrail présente quatre saints locaux qui
ont marqué l'histoire religieuse de la Normandie :
SAINT OUEN, SAINT VANDRILLE
SAINTE HILDEMARQUE
(première supérieure de l'abbaye de Fécamp)
et SAINT VANINGUE
Vitrail de l'atelier Gustave Moïse, Rouen, 1903 .
LE DÉAMBULATOIRE ET LES CHAPELLES RAYONNANTES
Le déambulatoire gauche et les chapelles Saint-Fiacre et Saint-Joseph
Le déambulatoire gauche et les chapelles Saint-Fiacre et Saint-Joseph.
La chapelle rayonnante Saint-Joseph et ses quatre vitraux de la Sainte Famille
La chapelle rayonnante Saint-Joseph et ses quatre vitraux de la Sainte Famille.
Saint Joseph artisan
Saint Joseph artisan.
Jésus charpentier
Jésus charpentier.
Jésus aide son père
Jésus aide son père.
La Vierge à la cruche
La Vierge à la cruche.
Quatre vitraux du tout début du XXe siècle sur la vie de la Sainte Famille (atelier Gustave Moïse, Rouen, vers 1900).

La Sainte Famille. Le vitrail de droite représente vraisemblablement la Vierge portant une cruche sur la tête (scène habituelle au Proche-Orient à l'époque de Jésus). Néanmoins ce vitrail est fort peu courant. L'auteur du carton a-t-il dû obtenir un accord express de l'évêché avant de traduire son projet en vitrail? L'histoire ne le dit pas. Concernant ces attitudes peu banales de la Vierge, on se reportera à un autre vitrail du XIXe siècle, représentant la Sainte Famille, à l'église Notre-Dame-la-Riche à Tours. On y voit la Vierge en train d'applaudir, toute fière, les prouesses du jeune Jésus ouvrier.

Vitrail du Sacré-Cœur
Vitrail du Sacré-Cœur
consacré au Commerce et à l'Industrie 1901.
Saint Jacques le Majeur
Saint Jacques le Majeur
Vitrail de l'atelier Moïse, vers 1890.
Statue de sainte Rose de Lima
Statue de sainte Rose de Lima
Art populaire.
Statue de saint Fiacre
Statue de saint Fiacre
Chapelle Saint-Fiacre.
À DROITE ---»»»
Chapelle rayonnante de la Vierge

Les quatre vitraux principaux sont reproduits ci-dessous.
Le port de Rouen
Le port de Rouen
Vitrail du Sacré-Cœur.
Les usines de Rouen
Les usines de Rouen
Vitrail du Sacré-Cœur .

Le vitrail du Sacré-Cœur, donné à gauche et que l'on peut voir dans la chapelle Saint-Joseph et des travailleurs, a été offert par Mesdemoiselles Marie-Louise et Henriette Hesse en 1901. Dans le panneau central, le phylactère du haut porte la mention «Union fraternelle du Commerce et de l'Industrie» ; celui du bas porte la devise «Tout par le Sacré-Cœur». Ajoutons que le cœur a été dessiné selon les indications données par sainte Marguerite-Marie.
Ce vitrail est consacré à l'industrie rouennaise de la fin du XIXe et du début du XXe siècle, une industrie qui s'est amplement développée dans le quartier ouest de la ville - là où se trouve l'église - en bénéficiant de la présence du port. L'histoire ne dit pas qui étaient les demoiselles Hesse (sans doute des membres d'une grande famille industrielle de la ville). Dans les panneaux du haut et du bas de ce très beau vitrail, deux médaillons représentent des scènes instructives pour les historiens : une vue du port de Rouen vers 1900 et une vue des usines rouennaises.
Le thème de la glorification du travail apparaît encore dans cette même chapelle Saint-Joseph, au niveau du maître-autel : Tirant a réalisé un bas-relief dans le soubassement qui illustre Jésus bénissant le Commerce et l'Industrie (voir ci-dessous à droite).

Chapelle Saint-Baptiste-de-la-Salle
Chapelle Saint-Baptiste-de-la-Salle.
Le Bon Pasteur
Le Bon Pasteur (avec un casque colonial !)
Atelier Moïse, Rouen, vers 1900.
Statue de saint Jean-Baptiste-de-la-Salle
Statue de saint Jean-Baptiste-de-la-Salle
Fin du XIXe siècle.
Saint Stanislas Kostka (?), détail
Saint Stanislas Kostka (?), détail.

Qui est le saint mystérieux, portant l'Enfant-Jésus dans ses bras, donné ci-dessus? Il n'y a pas de nom sur le socle et le visage poupin ne correspond guère à celui d'Antoine de Padoue, nom qui vient à l'esprit quand l'Enfant-Jésus est porté dans les bras. C'est bien sûr la piste iconographique à suivre. Est-ce saint Stanislas Kostka? Né à Rostow en 1550, Stanislas devient novice jésuite et part pour Rome où il meurt à dix-huit ans. Il est représenté en costume de la Compagnie de Jésus ou en pèlerin. Le personnage de la statue porte le surplis, vêtement de chœur traditionnel des clercs   ---»»»

---»»»   et des laïcs qui servent la messe (comme les enfants de chœur). Stanislas Kostka est donc une réponse plausible. Saint Félix de Cantalice Porri? Frère mineur capucin né en 1515 et mort à Rome en 1587, cet ouvrier agricole reçoit d'un ange l'ordre d'entrer au couvent. Il restera quêteur à Rome pendant quarante ans. À cette époque, où la Contre-Réforme bat son plein, il sera proche de Philippe de Néri et de Charles de Borromée. Félix est d'ordinaire représenté avec le costume de l'ordre, parfois avec une besace sur l'épaule gauche. Il n'y a pas de raison de le sculpter en jouvenceau et en surplis. Est-ce Conrad d'Offida? Né en 1241 à Offida (Italie), frère mineur entré chez les Franciscains et mort à Bastia en 1306, Conrad sera très actif dans le mouvement spirituel de l'ordre. Il est représenté avec le costume de franciscain et son iconographie est proche de celle de saint Antoine de Padoue. Il n'y a pas de raison non plus de le sculpter jeune et en surplis.
De ces quatre saints que l'iconographie associe avec l'Enfant-Jésus porté dans les bras, Stanislas Kostka, parce que mort à dix-huit ans, paraît le seul choix possible. Il est étrange que le sculpteur n'ait pas gravé de nom sur le socle. Voulait-on proposer une énigme aux prélats et aux fidèles du futur?
Source : Dictionnaire iconographique des saints de Bernard Berthod et Élisabeth Hardouin-Fugier aux Éditions de l'Amateur.

Chapelle rayonnante de la Vierge
Maître-autel en pierre et bronze doré
Maître-autel en pierre et bronze doré
Chapelle Saint-Joseph et des travailleurs
Fin du XIXe siècle.
«Jésus bénissant le Commerce et l'Industrie» par Tirant
«Jésus bénissant le Commerce et l'Industrie» par Tirant
Bas-relief de l'autel Saint-Joseph.
Le déambulatoire
Le déambulatoire
Épisode de la vie de saint Antoine de Padoue
Épisode de la vie de saint Antoine de Padoue
Le miracle de la mule (atelier Moïse, Rouen, vers 1900)
Voir le récit du miracle à l'église Saint-Antoine-de-Padoue
au Chesnay, près de Versailles.
LES VITRAUX DE LA CHAPELLE DE LA VIERGE, atelier Moïse, vers 1900
Jésus parmi les docteurs de la Loi
Jésus parmi les docteurs de la Loi
Vitrail de gauche
Jésus parmi les docteurs de la loi
Jésus parmi les docteurs de la loi
Vitrail de droite
L'Annonciation
L'Annonciation :
La Vierge
L'Annonciation
L'Annonciation :
L'Archange Gabriel
Chapelle rayonnante Saint-Fiacre, des maraîchers et des fleuristes
Chapelle rayonnante Saint-Fiacre, des maraîchers et des fleuristes.
Jésus au jardin des Oliviers ou «vitrail de l'agonie»
Jésus au jardin des Oliviers ou «vitrail de l'agonie»
Atelier Moïse, Rouen, vers 1900.
L'Assomption
L'Assomption
Atelier Moïse, Rouen, vers 1900.
Saint Dominique reçoit le Rosaire
Saint Dominique reçoit le Rosaire
Vitrail de l'atelier Moïse, Rouen, vers 1900.
Piéta en face de la chapelle axiale
Piéta en face de la chapelle axiale.
Saint Filleul
Saint Filleul
XVe évêque de Rouen.
Le déambulatoire droit
Le déambulatoire droit.
Mis à part les moellons sur les murs, l'atmosphère médiévale du style roman est assez bien rendue.
Jeanne d'Arc
Jeanne d'Arc.
La nef et la tribune d'orgue vus du chœur
La nef et la tribune d'orgue vus du chœur.

Documentation : «Églises de Rouen» d'Edgard Naillon, éditions Defontaine, Rouen, 1941
+ «Histoire de Rouen» d'Henry Decaëns, éditions Jean-Paul Gisserot
+ feuillets descriptifs sur la basilique consultables dans l'église
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