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Cette page présente toutes les
chapelles du CÔTÉ SUD et les vitraux du XVIe siècle
qui s'y trouvent.
Comme pour les chapelles du côté nord, l'ordre de présentation
est celui du visiteur qui parcourt l'église depuis l'entrée
occidentale. On pourra porter un regard admiratif sur la baie
20 et les panneaux créés par l'atelier de Valentin
Bousch dans les années 1514-1520.
Les numéros de vitraux suivent l'attribution du Corpus
Vitrearum. Ils vont donc en décroissant.
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En page
1 : l'architecture de l'église, son ornementation
et les vitraux modernes + texte sur les vitraux.
En page
2 : le chur, les vitraux de l'abside et des absidioles,
les verrières des bas-cotés et de la façade
ouest.
En page
3 : les chapelles nord et leurs verrières.
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LES CHAPELLES LATÉRALES SUD ET LEURS VITRAUX |
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Vue des chapelles latérales sud et, au niveau supérieur,
des grandes verrières du XIXe siècle.
De gauche à droite : chapelle Saint-Nicolas, chapelle Saint-Vincent-Saint-Fiacre-Saint-Isidore,
chapelle Saint-Pierre-Fourier et chapelle Sainte-Barbe. |
CHAPELLE SUD SAINTE-BARBE |
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Baie 26 dans la chapelle Sainte-Barbe. |
Baie 26 : le tympan. |
Baie 26.
Jusque dans les années 1880, la baie 26 possédait
des panneaux du XVIe siècle avec des scènes
figurées. Lors de la restauration qui a suivi, ils
ont été déplacés dans la baie
19. Il ne reste aujourd'hui dans les lancettes qu'un semis
moderne de fleurs de lys sur fond d'azur.
Néanmoins le tympan présente toujours un intérêt
archéologique. Les têtes de lancettes affichent,
dans deux médaillons, la marque de donateurs non nobles.
L'une est sur fond bleu, l'autre sur fond rouge. Au centre,
un ciboire d'orfèvrerie avec une guirlande de feuillage
(vraisemblablement à sa place d'origine). D'après
son style, il pourrait être l'uvre de l'atelier
de Valentin Bousch.
Les anges des quatre mouchettes sont des créations
modernes des deux restaurateurs des années 1850, Napoléon
Ribes et Désiré Laurent. Ce sont des pastiches
du premier quart du XVIe siècle.
Enfin, le soufflet supérieur est aux armes de la ville
de Strasbourg : un écusson d'argent à la bande
de gueules. Ce petit vitrail, qui est à sa place d'origine,
est sans doute l'uvre de l'atelier de Valentin Bousch.
Il est daté vers 1518 par le Corpus Vitrearum.
La présence de ces armoiries fait penser que le vitrail
d'origine a probablement été offert par la ville
de Strasbourg. Comme celle-ci a adhéré officiellement
à la Réforme en 1529, la création du
vitrail ne peut être qu'antérieure à cette
date.
Source : «Les vitraux de Saint-Nicolas-de-Port»,
Corpus Vitrearum, Michel Hérold, 1993.
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CHAPELLE SUD SAINT-PIERRE-FOURIER - BAIES 22 et
24 |
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Chapelle sud Saint-Pierre Fourier. |
Baies
22 et 24. Elles sont situées dans
la chapelle à double baie qui est la plus étroite
de l'église. En effet, la déviation
de six degrés entraîne en quelque sorte
le besoin de «faire pivoter» la nef autour
d'un axe (voir plan).
C'est la chapelle Saint-Pierre-Fourier qui assume ce
rôle. Étant moins longue, ces baies n'ont
que deux lancettes et non pas trois, comme dans les
autres baies des huit chapelles de la nef.
.Dans la baie 22
(ci-dessous à droite), un saint archevêque
(traditionnellement présenté comme étant
saint Claude) lit un ouvrage pieux. Tête et mitre
sont modernes, ainsi que le soubassement où figure
l'inscription St Claude en lettres gothiques.
On peut regretter le choix des créateurs de colorer
le soubassement en ocre : les deux anges qui tiennent
le cartouche apparaissent comme des démons de
l'enfer... Tout le reste de cette verrière (damas
d'arrière-plan et somptueux habit pontifical)
est attribué à l'atelier de Valentin
Bousch et daté du premier quart du XVIe siècle.
La baie 24 avait
été enrichie, vers 1850, de créations
modernes dans son tympan et ses parties hautes par Napoléon
Rives et Désiré Laurent. On
y voyait notamment une image de saint Joseph charpentier.
Non déposés en 1939 parce que non classés,
ces créations ont été ruinés
en juin 1940. Notons qu'il faut voir ici une exception
à la règle de la dépose : le tympan
et les panneaux hauts des lancettes étant totalement
modernes et nettement séparés du reste,
les Monuments historiques ne les ont pas fait déposer.
Les deux saints évêques qu'il nous reste
dans les lancettes sont du premier quart du XVIe siècle
(à part les soubassements qui datent de 1850
et qui, eux, ont bien été déposés).
Assez bien conservés, ils sont attribués
à un atelier lorrain anonyme. Dans la lancette
de gauche, saint Honoré, patron des boulangers
et des pâtissiers, debout, tient un livre ouvert.
De la main droite, il tient, non pas sa crosse, mais
une pelle à enfourner, ce qui est son attribut
iconographique. Le dais, constitué de fragments,
est incomplet. --»
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CHAPELLE SUD SAINT-PIERRE-FOURIER - BAIE
24 |
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La verrière de la baie 24 avec saint Honoré et
saint Firmin.
Premier quart du XVIe siècle. |
---»» Michel
Hérold, pour le Corpus Vitrearum, mentionne
que la verrière a probablement été
offerte par la confrérie Saint-Honoré,
fondée dans le cloître du prieuré
de Saint-Nicolas-de-Port en 1480. Ce qui serait aussi
une exception au constat selon lequel, au XVIe siècle,
les confréries n'ont pas offert de verrières
de l'église
La tradition locale voit, dans le saint évêque
de la lancette de droite, saint Firmin, évêque
de Verdun, mais aucun attribut iconographique ne vient
le confirmer. Initialement cette chapelle était
consacrée à saint Firmin et à saint
Blaise. Cependant, comme les verrières s'adaptent
parfaitement aux baies, elles peuvent très bien
être à cette place depuis l'origine.
Hormis quelques détails dans les costumes, il
est évident que le carton utilisé pour
l'une des baies a été réutilisé,
inversé, pour l'autre. Source : «Les
vitraux de Saint-Nicolas-de-Port», Corpus Vitrearum,
Michel Hérold, 1993.
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Baie 24 : Saint Honoré, détail.
Premier quart du XVIe siècle.
Atelier lorrain anonyme.
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Baie 24 : Saint Firmin, détail.
Premier quart du XVIe siècle.
Atelier lorrain anonyme. |
CHAPELLE SUD SAINT-VINCENT - SAINT-FIACRE
- SAINT-ISODORE - BAIES 18 et 20 |
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Chapelle sud Saint-Vincent-Saint-Fiacre-Saint-Isidore. |
La verrière de la baie 20 dans la chapelle Saint-Vincent-Saint-Fiacre-Saint-Isidore.
Premier quart du XVIe siècle. |
Baie 20 (2/2).
---»» Le mendiant est loin d'être
en guenilles. D'habitude, dans cette scène classique
(donnée ci-dessous), il est dessiné à
moitié nu, les habits en lambeaux. L'expression
sévère de cet homme laisse aussi perplexe
: on a l'impression qu'il prend l'aumône pour
un dû. L'auteur du carton, en 1850, avait-il une
idée derrière la tête ? Pourtant,
à l'époque contemporaine, les artistes
représentent plutôt le mendiant dans une
tenue inspirant la pitié. On pourra se reporter,
à ce sujet, à la peinture sur fresque
de Victor-Louis Mottez à l'église Saint-Sulpice
à Paris et au bas-relief de Maxime Real del Sarte
à l'église Saint-Martin
de Vitré.
Dans le panneau de sainte
Catherine de la baie 20, la sainte tient l'épée
de son supplice (vitrail assez bien conservé).
Au-dessus des lancettes, les deux losanges reçoivent,
à gauche, les armoiries d'un donateur non noble
; à droite, un blason qui ne respecte d'ailleurs
en rien les règles de l'héraldique. Il
doit s'agir aussi de celui d'un donateur non noble.
Source : «Les vitraux de
Saint-Nicolas-de-Port», Corpus Vitrearum, Michel
Hérold, 1993.
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CHAPELLE SUD SAINT-PIERRE-FOURIER - BAIE
22 |
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Baie 22 : Saint Claude.
Premier quart du XVIe siècle.
Atelier de Valentin Bousch (excepté le soubassement et
le visage du saint). |
CHAPELLE SUD ST-VINCENT-ST-FIACRE-ST-ISODORE
- BAIE 20 |
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Baie
20 (1/2). Cette belle verrière comprend
des éléments d'origine et des éléments
rapportés, notamment saint
Georges sur son destrier et sainte
Catherine. Les hauts de lancettes sont modernes
(1850).
Le programme iconographique originel de cette baie et
de sa voisine relatait la Maternité virginale
de Marie. On en trouve quelques traces dans la baie
18, mais bien davantage dans cette baie. Ainsi les
anges du tympan, qui sont d'origine, portent des phylactères
avec les inscriptions : VIRGO PRECIOSA, VIRGO PULCHRA,
VIRGO GENEROSA. Ces anges sont attribués
à l'atelier de Jacot de Toul.
De même, les trois panneaux de la lancette de
gauche, qui sont d'origine et attribués à
un atelier lorrain anonyme, sont des préfigurations
de la maternité de Marie : la Vision de la
porte close d'Ézéchiel, la Verge d'Aaron,
frère de Moïse, et le Miracle de la toison
de Gédéon. Enfin, sur la droite, la belle
Vierge
coiffée d'une couronne d'étoiles sur un
fond de lumière rouge faisait aussi partie de
l'iconographie initiale. Elle est attribuée au
même atelier lorrain. Certains auteurs la présentent
comme une Vierge de l'Apocalypse.
Les trois panneaux qui attirent le plus le regard (parce
que les plus grands) viennent d'autres baies. Leur style
les fait attribuer à l'atelier de Valentin
Bousch. Les deux les plus travaillés sont
sans conteste le saint Georges (donné ci-dessous)
et le saint
Martin. Ce dernier est le plus restauré :
toute l'arcade de pierre est une création de
1850.
Saint Georges combat le démon à grands
coups d'épée sur un fond damassé
rouge qui met bien en valeur le cavalier et son destrier.
Saint Martin, cette fois sur un fond damassé
bleu et lui aussi à cheval, s'apprête à
couper son manteau en deux. Un mendiant barbu tend la
main pour s'en saisir. On n'oubliera pas que la tête
de saint Martin, celle du mendiant ainsi que son justaucorps
sont des créations de 1850. ---»»
Suite
2/2
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Baie 20 : Saint Georges dans la lancette centrale.
Atribué à l'atelier de Valentin Bousch.
Vers 1514-1520.
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Baie 20 : Saint Martin dans la lancette centrale.
Attribué à l'atelier de Valentin Bousch.
Vers 1514-1520. |
Baie 20 : La Vierge «de l'Apocalypse», détail.
Attribuée à un atelier lorrain anonyme. |
Les
«préfigurations de la maternité
de Marie» (1/2).
Dans la baie 20, ce sont des symboles vétéro-testamentaires
tirés d'une analyse très poussée
de l'Ancien Testament. On sait que les théologiens
juifs n'ont cessé de reprocher aux évêques
et aux chrétiens du Moyen Âge de voir,
dans la Bible, des symboles partout. En fait, ces symboles
n'avaient pas d'autre but que de transformer l'Ancien
Testament en une annonce monumentale et divine du Nouveau.
Les trois préfigurations présentes dans
la baie 20 donnent un bon exemple de ce que des esprits
critiques pourraient en effet regarder comme un excès
dans l'allégorie.
La Vision de la porte close d'Ézéchiel
se rapporte au Livre d'Ézéchiel.
Le prophète a une vision du Temple de Jérusalem
et voit fermée la porte qui est face à
l'Orient. Le Seigneur lui dit alors : «Cette porte
restera fermée, on ne l'ouvrira pas, personne
n'entrera par là car le Seigneur, le Dieu d'Israël,
est entré par là.» Les théologiens
chrétiens ont établi un parallèle
entre la porte du Temple, restée close après
le passage de Dieu, et Marie, regardée comme
la porte du Ciel, restée vierge malgré
le «passage» du Messie. Autrement dit, la
porte close de l'Ancien Testament annonce la permanence
de l'hymen.
L'histoire de la Verge d'Aaron, frère
de Moïse, est tirée du Livre des Nombres.
On se reportera à un encadré de l'église
Saint-François-Xavier
à Paris pour en connaître la teneur exacte.
Ayant déposé sa verge aride dans un tabernacle,
Aaron voit au matin son bâton transformé
en une branche couverte de feuilles et de fruits. Outre
la confirmation divine qu'Aaron est bien le souverain
sacrificateur (et les théologiens juifs s'en
tiennent là), les chrétiens ont vu, à
la suite d'Isaïe, dans cette floraison miraculeuse,
l'annonce de la maternité divine associée
à la virginité perpétuelle de Marie.
C'est là-dessus que vient se greffer l'Arbre
de Jessé, chronologie des rois de Juda qui
aboutit à la naissance du Christ.
Le Miracle de la toison de Gédéon
est tiré du Livre des Juges. Et, cette
fois, on pourra estimer que l'excès allégorique
est poussé jusqu'au bout. Gédéon
a reçu de Dieu la mission de chasser les Madianites
qui oppriment le peuple juif. Mais le jeune homme veut
être sûr de la réalité de
cette mission. Il demande donc à Dieu de se manifester
en inondant de rosée, au petit matin, une toison
de laine, alors que tout le sol alentour sera sec. Ce
qui est accompli. Mais, Gédéon demande
aussi le miracle inverse (!) : une toison totalement
sèche sur un sol baigné de rosée.
---»» Suite
2/2.
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Baie 20 : Gédéon en armure et priant.
Attribué à un atelier lorrain anonyme. |
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Baie 20 : Saint Martin partage son manteau, détail.
Tête et vêtement du mendiant ont été
recréés vers 1850. |
Baie 20 : La Verge d'Aaron
et la Vision de la porte close d'Ézéchiel.
Panneaux attribués à un atelier lorrain
anonyme. |
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Baie 20 : La Vierge «de l'Apocalypse».
Atelier lorrain anonyme.
Le Pélican au-dessous n'a pas de rapport avec le
thème
de la Maternité virginale de Marie qui est le thème
iconographique originel de la chapelle. |
Baie 20 : Aaron, détail.
Attribué à un atelier lorrain anonyme. |
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CHAPELLE SUD SAINT-VINCENT-SAINT-FIACRE-SAINT-ISODORE
- BAIE 18 |
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Verrière de la baie 18 dans la chapelle
Saint-Vincent-Saint-Fiacre-Saint-Isidore.
Le saint Georges, à gauche, est à moitié
du début du XVIe siècle.
Saint Vincent et saint Fiacre sont de 1850. |
Baie 18 : Un ange tenant le phylactère :
«Virgo in partum» dans le tympan.
Vitrail attribué à Jacot de Toul.
Vers 1510-1515. |
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Baie 18 (1/2).
D'après le Corpus Vitrearum, l'incendie
de 1635 n'a pas épargné les trois lancettes
de cette baie. Le verre blanc, qu'on y trouvait depuis
ce drame, n'a été remplacé par
des panneaux figurés que vers 1850, lors de la
restauration entreprise par Napoléon Rives et
Désiré Laurent. Dans la baie de gauche,
les restaurateurs ont casé un saint Georges,
uvre du premier quart du XVIe siècle venant
probablement de la baie
24. (On notera que cette supposition de Michel Hérold,
pour le Corpus Vitrearum, est en contradiction
avec la possibilité que les deux saints, Honoré
et Firmin, de la baie
24 s'y trouvent dès l'origine.)
Seule la moitié supérieure du saint Georges
est d'origine (attribuée à l'atelier de
Valentin Bousch). La partie basse est une création
de 1850. Au centre et à droite, les figures de
saint Vincent et saint Fiacre sont également
des créations de 1850. --»» Suite
2/2
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Baie 18 : Le Père céleste dans le tympan.
Vitrail attribué à Jacot de Toul.
Vers 1510-1515. |
Baie 18 : Un ange portant le phylactère
«Sancte Vincenti» dans le tympan.
Vitrail attribué à Jacot de Toul.
Vers 1510-1515. |
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CHAPELLE SUD SAINT-NICOLAS - BAIES 14 et 16 |
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La chapelle sud Saint-Nicolas et ses vitraux modernes. |
Statue de saint Nicolas dans la chapelle. |
Baie 14 : Le sire de Joinville offre un vaisseau
et le sire de Rechicourt est délivré de ses chaînes.
Verrière moderne de 1951.
Atelier de Jacques Hallez.. |
Chapelle Saint-Nicolas : Armoiries dans le soubassement de l'autel. |
La
chapelle Saint-Nicolas a été
fondée par les gouverneurs de la ville en l'honneur
de sainte Barbe et de sainte Marguerite. Elle devient
chapelle patronale de saint Nicolas en 1866.
Après avoir admiré les vitraux de Valentin
Bousch, par exemple ceux de la Transfiguration,
les mots manquent pour décrire les uvres
de 1951 des baies 14 et 16 créées par
l'atelier de Jacques Hallez... Jusqu'en 1940, il y avait
des vitraux du XIXe siècle.
L'autel, dû à J. Laurent et A. Pierron,
est en stuc rehaussé d'or et de couleurs, lit-on
dans l'ouvrage édité par l'Association
Connaissance et Renaissance. La statue de saint
Nicolas, en terre cuite, est entourée de petits
anges.
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Baie 16 : Jeanne d'Arc et Simon Moycet.
Verrière moderne de 1951.
Dans le tympan : saint Nicolas.
Atelier de Jacques Hallez.. |
Statue de sainte Jeanne d'Arc
près de la chapelle Saint-Nicolas
(uvre du sculpteur Thomas Pierron de Nancy).
Une statue représentant Claude de Guise
lui faisait pendant.
Elle a été détruite lors du bombardement
de juin 1940. |
CHAPELLE SUD SAINTE-JEANNE-DE-VALOIS - BAIE
10 |
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Documentation
: «Congrès archéologique de France, Nancy et Verdun»,
1933, article d'André Philippe sur la basilique Saint-Nicolas
(avec les notes de Pierre Marot pour l'historique)
+ «Congrès archéologique de France, Nancy et Lorraine
méridionale», 2006, article de Pierre Sesmat sur la basilique
Saint-Nicolas
+ «La basilique de saint Nicolas en Lorraine», Association
Connaissance et Renaissance de la Basilique de Saint Nicolas de Port,
1979
+ «Lorraine gothique» de Marie-Claire Burnand, éditions
Picard, 1989
+ «Lorraine gothique» de Suzanne Braun, éditions
Faton, 2013
+ «Les vitraux de Lorraine et d'Alsace», Corpus Vitrearum,
1994
+ «Les vitraux de Saint-Nicolas-de-Port», Corpus Vitrearum,
Michel Hérold, 1993
+ «Le vitrail en Lorraine du XIIe au XXe siècle»,
Éditions Serpenoise, Centre culturel des Prémontrés,
1983
+ Brochure «Découvrir la basilique de Saint-Nicolas-de-Port»,
Association Connaissance et Renaissance de la Basilique de Saint Nicolas
de Port, 2008. |
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